La marchandisation de la vie à l'ère de la bioéconomie. Avec Céline Lafontaine et Marie Gaille à la Fondation de l'Ecologie Politique à Paris.


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07.05.2014

La bioéconomie est le stade ultime du capitalisme !
C'est en étudiant les nouvelles dynamiques liées à la bioéconomie que Céline Lafontaine dresse ce constat. Sang, tissus, cellules, ovules : le corps humain s'est constitué en nouveau marché mondial.
Céline Lafontaine, de son point de vue féministe matérialiste, se propose de dégager les enjeux épistémologiques, politiques et éthiques de cette évolution sans précédent, liée aux nouveaux espaces des possibles que les dernières avancées scientifiques et technologiques autorisent.
Marie Gaille lui répond dans un second temps. La séance se termine par un échange avec les participants.

L'échange est animé par Catherine Larrère.

Scénarii d'avenir. Avec Michel Drac à Bordeaux.


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07.06.2014

Alors que la situation géopolitique globale continue à se dégrader, que la santé de l'économie mondiale laisse à désirer, et sachant que l'information dont nous disposons est limitée (ou biaisée), que pouvons-nous raisonnablement anticiper ?
Le pouvoir (politique et économique) est aujourd'hui plus que vérouillé : ce n'est pourtant pas une raison pour arrêter de réfléchir et imaginer des solutions qui nous autoriserons à retrouver quelques espaces de liberté.

Traité transatlantique : la grande menace. Avec Alain de Benoist aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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29.04.2014

Négocié dans l’opacité la plus totale depuis juillet 2013 par les États-Unis et l’Union européenne, le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissements vise à mettre en place une gigantesque zone de libre-échange. Objectif : créer un ensemble euro-atlantique sous contrôle états-unien.
Alain de Benoist nous révèle toutes les monstruosités de ce traité négocié dans le dos des peuples qui le subiront.

Vers un 3e capitalisme industriel : critique de la mécroissance et économie de la contribution. Avec Bernard Stiegler au Club 44 à la Chaux-de-Fond.


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05.11.2009

Bernard Stiegler nous délivre ici sa réflexion sur la situation passée, présente et à venir du capitalisme, en gardant au coeur de son analyse la question de la technique. 
Il soutient que la société industrielle a connu jusqu’à présent deux grands modèles organisationnels. 
Le premier est le productivisme, qui domina XIXe siècle. Fondé sur le machinisme industriel qui engendre une augmentation spectaculaire de la productivité, il bénéficie presque exclusivement à ce que l’on appelle alors la bourgeoisie – petite, moyenne ou grande. 
Au XXe siècle, une autre organisation de la société industrielle se met en œuvre aux États-Unis, pour se répandre ensuite dans le monde entier. Ce n’est plus seulement une organisation de la production, mais aussi de la consommation. La stimulation de la consommation s’opère à travers les techniques de marketing. 
C’est ce modèle caractéristique du XXe siècle qui s’est effondré au mois d’octobre 2008. La faillite de General Motors n’est pas qu'une conséquence des spéculations de l’économie virtuelle dans le monde de l’économie réelle : à travers cette crise, c’est le modèle consumériste qui a rencontré ses limites dans une combinaison de facteurs toxiques que cette conférence propose d’analyser comme une mécroissance. L’enjeu est alors de repenser la croissance sur de nouvelles bases.
Bernard Stiegler soutiendra que l’avenir de la croissance, qui suppose le dépassement de la "mécroissance", consiste en une économie de la contribution où l’opposition fonctionnelle entre production et consommation devient caduque.

L'Europe face à la crise économique. Avec Alain de Benoist, Louis Alexandre, Fredérik Melville, et Karl Hubert sur Radio Courtoisie.


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19.11.2011

Comment comprendre la crise économique qui s'abat sur le continent européen ? Quelles en sont les logiques ? Est-ce une simple crise conjoncturelle, ou s'agit-il d'un problème structurel lié à la logique capitaliste de notre économie ?

Une émission du Libre Journal des Lycéens, animée par Romain Lecap.

La guerre des monnaies. Avec François Sainz, Jean-François Goulon, Lucien Cerise, et Antony Bonamy sur Méridien Zéro.


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28.02.2014

L'émission s'articule autour du célèbre livre de Hongbing Song qui a fait bouger les lignes économiques officielles de régime chinois, et depuis peu disponible en français aux éditions Le Retour aux Sources. 
Vendu à plus de 2 millions d'exemplaires en Chine, "Currency Wars" déroule l'histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild à la fin du 18e siècle jusqu'à la crise de 2008.
Livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois, "La Guerre des Monnaies" a fait comprendre aux dirigeants de la future première économie mondiale qu'une guerre redoutable livrée dans les coulisses du pouvoir, suivant un axe Londres/Wall Street, tentait d'établir coûte que coûte un nouvel ordre mondial au profit d une oligarchie financière sans foi ni loi.
L'avenir nous dira si cette lecture a été profitable à la futur première puissance économique mondiale !

Une émission menée par Jean-Louis Roumégace.

Nous et les autres : la problèmatique de l'identité. Avec Alain de Benoist à Zagreb.


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14.04.2014

Qu'est ce que l'identité ?
Ce concept a ceci de paradoxal qu'il semble de plus en plus difficile à saisir à mesure qu'on l'examine. 
Mais d'où vient ce malaise moderne qui nous empêche de nous définir ? Peut-on y trouver un remède ?
Une conférence passionante d'Alain de Benoist.

Europe Mad Max. Avec Bernard Wicht sur Méridien Zéro.


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27.09.2013

Bernard Wicht propose une réflexion originale sur le sens de l'histoire européenne et sur le devenir de nos sociétés.
Il observe de près le rôle que les guerres ont menées dans le développement de nos états modernes.
C'est ainsi que son dernier livre a comme sujet central la nation de citoyen-soldat, alors que les armées nationales sont en train de disparaître/ont disparu dans la plupart des pays d'Europe. 
Apparu sur le devant de la scène avec la Révolution française, le citoyen-soldat est le reflet de la souveraineté populaire et nationale, l'expression de l'idée républicaine que le pouvoir n'appartient pas principalement à l'Etat mais aux citoyens. Sa disparition progressive aujourd'hui signifierait-elle alors une éclipse de la démocratie ? 
Nous ne sommes plus en 1789, ni non plus à l'âge des révolutions et des idéologies. C'est plutôt le chaos qui caractérise notre époque, avec le déclin de l'Etat moderne, l'atomisation du corps social et la fin de l'idéal national. 
Par conséquent, s'interroger sur le citoyen-soldat à l'heure actuelle, c'est se demander quelle "cause" défendre de nos jours alors que les maîtres mots sont sécurité et risque zéro.