Si la vulgate considère la Révolution conservatrice allemande comme un "laboratoire d’idées", il n’en demeure pas moins que cette dernière représente une extraordinaire aventure métapolitique qui inspire encore beaucoup d’idéologues, de philosophes et d’artistes aujourd’hui à travers le monde.
L’une de ses grandes figures, Arthur Moeller van den Bruck, proposa en son temps de penser un système politique qui succéderait au IIe Reich bismarko-wilhelminien au-delà des clivages gauche/droite, où les oppositions entre socialisme et nationalisme seraient sublimées en une synthèse nouvelle.
Robert Steuckers, avec l'aide de Pascal Lassalle, nous propose ici de redécouvrir cet épisode intéressant de l'histoire intellectuelle dissidente de l'entre-deux-guerres.
Étudiant en lettres, section histoire romaine, Gabriele Adinolfi a débuté ses activités politiques durant les mouvements étudiants de la fin des années 1960. En 1968, il rejoint le Mouvement social italien (MSI), dans sa section "Filippo Anfuso" de Rome.
Exilé de son pays d'origine pendant de longues années, il a continué à mené une réflexion politique ancrée dans le leg de l'expérience fascite italienne.
Sa vision du monde a le mérite de s'opposer frontalement à la logique capitaliste néoliberale, qui reste le seul et vrai impérialisme aujourd'hui.
Une conversation radicale et hors des sentiers battus.
La société française est en état de décompositation avancée.
Alors que toutes les instances de pouvoir semblent plus que jamais vérouillées, que pouvons-nous espérer ?
Les nouveaux outils de communications, comme l'Internet, ont en tout cas le mérite de court-circuiter les média aux ordres du pouvoir.
Cette révolution de l'information suffira-t-elle à inverser le rapport de force ? Que pouvons-nous faire pour continuer le combat pour la France ?
Alain Soral, l’essayiste le plus connu de la mouvance dissidente, adulé par les uns et honni par les autres, marque l’époque par ses analyses et ne laisse personne indifférent.
De l’UPR à Moualek en passant par Marine Le Pen et toutes les autres polémiques, il répond à tout avec sincérité, et sans langue de bois.
La cohérence de son discours et de son action sur la longueur ont enfin l'air de porter leurs fruits. Par son travail, il a notamment contribué à réintroduire une idée de la France chez des gens qui en avaient été privés.
Alain Soral : gauche du travail et droite des valeurs, pour une réconciliation nationale !
Il paraît difficile d'aborder le sujet de la drague -pratique jugée immorale, minable et très éloignée de la pensée- de manière sérieuse.
Alain Soral s'y est risqué au travers de son livre "Sociologie du dragueur", livre qu'il présente ici.
Pourquoi, quand, où et comment drague-t-on ? La drague a-t-elle évolué ? Toutes ces questions sont ici abordés.
Comment survivre en ville ? La planète est au bord de l’abîme. La mondialisation débridée et la globalisation qu’elle engendre nous précipitent dans une période d’accélération et de convergence de problèmes considérables. Crises économiques, politiques et sociales, dérèglements climatiques, surpopulation, pénurie de pétrole et de matières premières, dettes colossales des Etats, périls alimentaires et sanitaires, l’effondrement de toute vie "normale" menace à tout instant. Le chaos -temporaire ou de longue durée- prendra le plus grand nombre d’entre nous au dépourvu, et la majorité de la population mondiale qui vit dans les villes, se retrouvera plongée dans un environnement de violence, sans pitié, piégée dans de véritables rues barbares livrées aux révoltes, aux guerres et à la famine.
Piero San Giorgio et Michel Drac nous font partagent ici une analyse claire de ces enjeux, et proposent des pistes pour que chacun puisse prendre ses responsabilités pour se préparer au mieux aux conditions extrêmes qui pourraient être, dès demain, notre futur.
L'émission est menée par le Lt Sturm, accompagné de Jean-Louis Roumégace.
L'Union européenne est en crise.
Une crise identitaire avant d’être institutionnelle ou économique. Les résultats des élections européennes du 22 mai dernier l'ont une nouvelle fois montré. Le club d'épiciers baptisé "Union européenne" aura réussi le tour de force de transformer l'Europe en cauchemar pour ses peuples.
Les intervenants du colloque "Europe marché ou Europe puissance" réunis par la revue Éléments ont, chacun à leur manière, pointé les menaces de cette construction européenne, menée en dépit du bon sens, obsédée par les valeurs universalistes qui au bout du compte la nie.
Au terme de ce colloque qui a vu des personnalités d'horizons différents prendre la parole, le mot d'ordre général était : "Pour l'Europe, contre Bruxelles".
Jean-Claude Valla (1944-2010) restera, devant l'histoire, comme l'une dey des figures les plus importantes et les plus attachantes de la Nouvelle Droite.
Son parcours personnel et son œuvre ne sauraient toutefois y être réduits. Militant nationaliste dans les années 1960, il fut dans la décennie suivante le chef de file incontesté du GRECE et le principal animateur, avec Alain de Benoist, d’un combat métapolitique qu’il devait illustrer en lançant la revue Éléments en 1973 et en dirigeant les rédactions d’hebdomadaires aussi prestigieux que Le Figaro Magazine ou Magazine Hebdo.
Meneur d’hommes qui savait allier la délicatesse à la fermeté, Jean-Claude Valla était un grand journaliste, doublé d’un historien non conformiste et scrupuleux.
C'est ce parcours hors normes que viennent nous conter Alain de Benoist, Pierre Vial et Michel Marmin, tous amis proches et compagnons de combat de Jean-Claude Valla.
L'émission s'articule autour du célèbre livre de Hongbing Song qui a fait bouger les lignes économiques officielles de régime chinois, et depuis peu disponible en français aux éditions Le Retour aux Sources.
Vendu à plus de 2 millions d'exemplaires en Chine, "Currency Wars" déroule l'histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild à la fin du 18e siècle jusqu'à la crise de 2008.
Livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois, "La Guerre des Monnaies" a fait comprendre aux dirigeants de la future première économie mondiale qu'une guerre redoutable livrée dans les coulisses du pouvoir, suivant un axe Londres/Wall Street, tentait d'établir coûte que coûte un nouvel ordre mondial au profit d une oligarchie financière sans foi ni loi.
L'avenir nous dira si cette lecture a été profitable à la futur première puissance économique mondiale !
Une émission menée par Jean-Louis Roumégace.
Pouvons-nous encore réfléchir de manière neuve au problème du Progrès, ce grand mythe fondateur de la modernité, clé de la domination de l’Occident sur le reste du monde ?
Pierre de la Coste nous propose d'interpréter l'idéologie progressiste comme une dégénérescense laïcisée d'une querelle théologique spécifiquement chrétienne, suivant le bon mot de Chesterton. C'est ainsi qu'on peut voir le Progrès comme le passage du mystère chrétien du salut aux contradictions modernes du sens de l'histoire.
La sotériologie a connu deux grandes hérésies -selon l'Eglise catholique- : le protestantisme (la prédestination) et le pélégianisme (le libre-arbitre) qui prétendaient toutes deux résoudre le mystère du salut. Analogiquement, ces deux tendances se retrouveraient respectivement dans le capitalisme mondialisé et dans le communisme soviétique, prétendant également résoudre le sens de l'histoire.
Cette clé de lecture nous permet de revisiter à nouveaux frais notre histoire récente.