Description :
Aussi individualiste l’un que l’autre et fréquentant des milieux très différents, Céline et Drieu n’ont pas eu l’occasion de se rencontrer beaucoup personnellement.
Mais Drieu professait une grande admiration pour Céline et l’a exprimée dans ses critiques : pour lui, le Voyage est essentiellement un livre sain. On possède également une lettre très cordiale de Céline à Drieu en 1941.
Tous deux très marqués par la guerre, ils se rejoignaient dans leur amour de la littérature et des femmes – et en particulier des Américaines –, dans leur dénonciation de la décadence et dans leur détestation du monde moderne.
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