Aux sources du mondialisme, par Pierre Hillard chez les Non-Alignés.


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15.12.2012

Est dressé, dans cette conférence une vue d’ensemble des méthodes et projets du mondialisme.
Partant de ses travaux sur les minorités et les indépendantismes, Pierre Hillard remonte progressivement jusqu’aux sources messianiques les plus anciennes de ce projet. Il nous livre ici une analyse encore inédite des ambitions et des visées mondialistes.
L’avènement d’un État mondial est-il inéluctable ? Quelle métaphysique sous-tend cette ambition totalitaire ? Qui veut rebâtir Babel ? Qu’est-ce que le « Noachisme » ? Qui veut une nouvelle religion mondiale ?
Après avoir exploré les arcanes des organisations supra et infra-étatiques qui veulent dissoudre les nations, Pierre Hillard oriente maintenant ses travaux sur ce qu’il estime être le cœur et la matrice du mondialisme mais aussi son but final : l’établissement d’une religion mondiale pilotée par un peuple de prêtres de l’humanité. Cette religion, le Noachisme, ne pouvant pleinement s’étendre qu’après la destruction du principal obstacle sur son chemin : la religion catholique romaine.

La lecture bourdieusienne du néolibéralisme et ses implications politiques. Avec Christian Laval au séminaire Sophiapol.


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11.02.2012

Cette intervention vise à mieux comprendre certains aspects du travail de Pierre Bourdieu ainsi que les relations qu’il entretenait avec d’autres disciplines que la sociologie.
Christian Laval tentra d'évoquer sa place parmi les théories sociologiques du politique, certains de ses objets politiques comme le néolibéralisme ou la politique éducative, ou les modalités de son engagement dans l’espace public.

Le complexe d'Orphée. Avec Jean-Claude Michéa à Répliques.


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06.02.2012

Michéa présente sa vision du devenir historique, en y voyant à l'oeuvre le déploiement de la logique libérale. Y sont abordés les origines d'un tel mouvement et le thème de la common decency comme remède possible.

Marx : quelle actualité ? Avec Christian Laval et Pierre Dardot sur France Culture.


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24.02.2012

Un retour sur l'oeuvre de Marx, relue au travers des contradictions qui la traversent et qui la rendent féconde.
Emission "Les Nouveaux chemins de la connaissance".

Entretien avec Alain Soral sur Radio 15-18.


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27.05.2012

L'intellectuel dissident s'entretient sur différents sujets d'actualité en faisant usage de la grille d'analyse explicitée dans "Comprendre l'Empire".

La science et la spiritualité, les progrès de la science. Avec Jean Staune sur France Culture.


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16.03.2013

Jean Staune est spécialisé dans l’analyse des mutations de la société qu'il analyse la fois sous les angles sociologique, philosophique et scientifique.
Métaphysiquement évolutionniste, il soutient que l'évolution n'est pas uniquement darwinienne. Il montre que les dernières avancées scientifiques ré-autorisent une approche anti-matérialiste de la science qui réintroduit du sens au sein de l'expérience humaine.

Peut-on vouloir dépasser le libéralisme sans être socialiste ? Par Laurent de Briey au CEPPECS.


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24.04.2010

La crise financière a suscité une remise en cause du cadre libéral qui dominait aussi bien à gauche qu’à droite depuis trente ans. Si cette remise en cause rend possible et souhaitable un renouveau du socialisme, elle représente également une opportunité pour l’émergence de théories politiques alternatives. Parmi celles-ci, l’humanisme démocratique appelle à un dépassement du libéralisme, tout en s’affirmant à la fois progressiste et centriste.
Conférence donnée au Collège Européen de Philosophie Politique de l'Education, de la Culture et de la Subjectivité (Ceppecs) dans le cadre du cycle "Qu'est-ce que le socialisme ?"

La sociologie peut-elle prévoir ? Avec Edgar Morin à l'Université Toulouse II-Le Mirail.


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01.03.2000

La connaissance d'un présent complexe, ou du moins la conscience que l'on en a, permet-elle de "savoir ce qui est promis à la décadence rapide et ce qui va germer dans le futur" ?
Convoquant tour à tour Euripide, Hegel, Pascal, Bartholomeo De Las Casas, Ortega y Grasset ou Lévi-Strauss, la philosophie des Lumières et les Droits de l'homme, les "technosciences", la biologie, la physique ou la cybernétique et même la science-fiction, Edgar Morin rend compte de la difficulté, voire de l'impossibilité, de toute prévision : "On n'est jamais sûr d'avoir une connaissance de ce qui va contribuer à l'imprévisibilité de notre futur". Les événements imprévus, perturbateurs et inassimilables tels que l'on en a connus dans l'histoire ancienne ou récente, l'évolution des courants majoritaires dominants face aux contre-courants ainsi que les interactions continues entre les événements au niveau local et au niveau mondial ne permettent pas de prédire le futur. Surtout à l'heure de la globalisation et des changements induits par les avancées de la recherche scientifique sur le vivant, sur le génome. Ce moment où "l'Humanité peut remporter une première victoire de façon non mythologique sur la mort", et où, paradoxalement, "pèse sur l'Humanité la menace d'une mort collective et totale dûe aux risques nucléaires et écologiques" ne permet aucune prévision. "Nul ne possède un observatoire d'où il puisse déclarer que l'on n'inventera pas des formes sociales nouvelles, la créativité humaine ne peut pas être déclarée comme close". Néanmoins, malgré ces facteurs d'incertitude, Edgar Morin pense que la sociologie peut proposer une "problématisation du futur" qui serait assortie de vigilance, fondée sur un pari pour certaines valeurs et qui, plutôt qu'un plan programmé, mettrait en œuvre une stratégie modifiable selon le hasard des événements... "et puis, il faut s'attendre à de l'inattendu".