Catholiques et musulmans : partenaires ou adversaires ? Avec l'Abbé Guillaume de Tanouarn, Tareq Oubrou, Camel Bechikh et le Père Michel Lelong à Fils de France.


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09.11.2013

C'est à un débat islamo-chrétien plein de respect -quoique viril- et de vérité que nous propose Camel Bechikh en réunissant l’abbé Guillaume de Tanoüarn et l’imam Tareq Oubrou.
La conférence est présentée par le père Michel Lelong.

Vérité et relativisme. Avec Barbara Cassin aux rencontres philosophiques de Langres.


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24.09.2011

En temps que philologue et traductrice, Barbara Cassin connait bien le problème de la pluralité interpértative et plaide pour la reconnaissance des fondements historiques et cognitifs de la notion de point de vue.
C'est donc une conception plus souple de la vérité qui est ici défendue, ou le mal à pourchasser se nomme "absolutisme", posture qui empêche d'entrer en relation avec l'autre.
Le mot "relativisme" désigne donc la position par laquelle on échappe à ces deux paresses : celle de l'absolutisme du point de vue et celle de l'universalité qui se met à l'abri de la contradiction.

La vérité peut-elle survivre à la démocratie ? Avec Pascal Engel au Collège de France.


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28.05.2010

L’une des raisons pour lesquelles la vérité et la démocratie ne semblent pas faire bon ménage est qu’on a tendance à confondre, d’une part, la liberté d’opinion et de parole avec l’égale vérité des opinions, ce qui revient à adopter une forme de relativisme, et, d’autre part, la règle de majorité avec une règle de vérité, ce qui revient à adopter une forme de théorie de la vérité comme consensus.
Parce que la démocratie libérale repose sur le principe de la pluralité des valeurs et sur la neutralité axiologique, on a tendance à penser qu’elle exige de traiter toutes les opinions comme également respectables et, moyennant une confusion de plus, comme également vraies.
Parce que la démocratie suppose la règle selon laquelle, en matière de décisions, la majorité doit l’emporter, on suppose que les opinions majoritaires ont le plus de chances d’être vraies, et qu’elles sont vraies parce qu’elles sont celles de la majorité.
Comment donc envisager le rôle de la vérité dans la démocratie ?

L'existence de Dieu : essai d'investigation philosophique. Avec Frédéric Guillaud sur Radio Courtoisie.


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06.06.2013

Frédéric Guillaud ne parle pas de religion. Son but n’est pas de plaider la cause d’une quelconque confession, avec ses dogmes et ses préceptes, mais d’examiner la question de savoir s’il existe un être suprême, suffisamment distinct du monde pour qu’on puisse l’appeler "Dieu". Il s’agit donc d’une recherche purement philosophique, appuyée sur les seules ressources de l’expérience et de la logique.
Pour avancer dans cette voie, Frédéric Guillaud commence par réfuter les objections les plus couramment opposées à cette entreprise (freudisme, matérialisme, kantisme), avant de développer deux types d’arguments tendant à prouver qu’il existe un Dieu : les premiers partent du constat que l’univers physique ne se suffit pas à lui-même, qu’il ne saurait donc exister sans avoir une cause transcendante ; les seconds, qui se fondent sur l’analyse des idées et des aspirations humaines, arrivent à la conclusion anti-voltairienne que "si Dieu n’existait pas, nous ne pourrions pas l’inventer". Ces deux types d’arguments, qui furent d’abord élaborés par les philosophes de l’Antiquité et les théologiens du Moyen Age, font l’objet d’une reformulation rigoureuse, nourrie par les travaux des philosophes anglo-saxons contemporains.
L'ambition affichée étant d’accréditer à nouveau l’idée que l’existence de Dieu n’est pas seulement l’objet d’une foi incommunicable, mais la conclusion au moins probable de raisonnements accessibles à tous.

Les origines intellectuelles de la Révolution française. Avec Jean Brun à Aix-en-Provence.


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07.10.1988

Il faut interpréter les épisodes révolutionnaires comme des actes marquant l'avènement, dans le domaine du politique, de l'autoréférence comme norme : la transcendance est rabattue dans l'immanence.
Conférence donnée au colloque "Esprit révolutionnaire et foi chrétienne" à la Faculté libre de théologie réformée d'Aix-en-Provence, les 7, 8 et 9 octobre 1988.

Le paganisme. Débat entre Alain de Benoist et Gustave Thibon à l'Union Royaliste Provencale.


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15.04.1982

Le débat prend place après la parution en 1981 du livre d'Alain de Benoist "Comment peut-on être païen ?"
Gustave Thibon répond aux attaques et prend la défense de la vision chrétienne du monde en rappelant, selon le mot de Victor Hugo, que Dieu reste "l'Etre en qui tout se fond, mais de qui tout diffère".

L'individu qui vient après le libéralisme. Avec Dany-Robert Dufour à la librairie Ombres Blanches.


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05.11.2011

Comment dépasser la crise – politique, économique, morale, esthétique, subjective,  etc. – qui affecte aujourd’hui tous les aspects de la vie en société ?
Après avoir subi au 20e  siècle des séismes dévastateurs de nature différente, comment la civilisation occidentale peut-elle se refonder ?
L’auteur s’interroge, en tant que philosophe et citoyen, sur les moyens de résister au dernier totalitarisme en date : le néolibéralisme.
Faut-il, après les avoir dépoussiérés, en revenir aux grands récits venus l’un de Jérusalem –avec les monothéismes–, l’autre de la Grèce –avec le Logos et la raison philosophique ?
Il est en tout cas temps de trouver une issue. Celle, possible, que propose l’auteur : faire enfin advenir un individu qui, rejetant les comportements grégaies sans pour autant adopter une attitude égoïste, deviendrait enfin "sympathique", c’est-à-dire libre et ouvert à l’autre.

Croyance et vérité. Avec Roger Pouivet aux Rencontres philosophiques de Langres.


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24.09.2011

Une réflexion sur la possibilité de justification des croyances et de l'épistémologie en jeu pour y parvenir.
Cette tentative d'articulation des croyances et de la vérité est résolue par le moyen de l'amour.