Si le grand public connaît les noms des syndicats des autres salariés, des étudiants et du patronat, si chacun sait ce que recouvrent les sigles CGT, UNEF, MEDEF, qui peut dire comment les journalistes sont organisés ? Qui a entendu une déclaration d’un de leurs syndicats quand un grand reporter est enlevé ou tué ou licencié, ou contraint par l’actionnaire principal de jeter son papier dans la corbeille ?
Un usurpateur s’est substitué à eux, un coucou a pondu un oeuf dans leur nid, un intrus y est né, y a grossi démesurément. Il s’appelle Reporters Sans Frontières, aberration génétique dont le bec s’ouvre sur un estomac insatiable qui engloutit argent des contribuables français et européens, dons de richissimes sponsors privés, contributions d’anonymes compatissants et, plus discrètement, les billets verts de l’Oncle Sam qui n’a jamais confondu organisation humanitaire et relais médiatique de sa politique guerrière.
Parce que Reporters sans frontières ne répugne pas à propager des fausses nouvelles utiles à l’Empire, parce qu’elle s’évertue à minimiser les crimes de l’US Army contre les grands reporters, parce qu’elle revendique son mutisme sur les effets pervers de la concentration de la presse dans les mains des puissances financières, parce qu’elle dirige l’essentiel de ses tirs idéologiques sur les plus faibles, elle n’aide ni ne protège les journalistes, elle participe à la déconsidération dont ils souffrent. Elle les met en danger.
Forte de plus de 300 collaborateurs, la Fondation Bertelsmann (sorte de think tank allemand) est capable d'intervenir sur tous les grands sujets qui intéressent les acteurs de la mondialisation.
Outre un engagement dans le domaine de la santé, il est peu de débats concernant l'avenir de l'UE auxquels elle n'ait pas imprimé sa marque.
Dans un contexte de tensions entre les Etats-Unis et l'Europe, la Fondation Bertelsmann se pose en médiatrice en imaginant les contours d'une "gouvernance mondiale".
Face à l'agravation des logiques répressives envers les peuples, et face à la censure des actions de résistances, Alain Soral explique patiemment les logiques de domination à l'oeuvre en illustrant ses propos par de récentes affaires.
De la censure de certains livres génants à l'imposition du "mariage pour tous", il en appelle encore une fois à une prise de conscience de la dérive totalitaire de nos classes dirigeantes.
Homme de lettres façonné par ses références littéraires, Maurras a su faire école, autour de lui et de l’Action française. De profondes et durables amitiés se sont nouées jusqu’aux ruptures fracassantes avec des disciples devenus "dissidents".
Olivier Dard nous révèle ici tous les réseaux et les influences qui, en France ou à l’étranger, se rattachent au "maître de Martigues". Il nous montre que Maurras est bien ce "contemporain capital" dont le parcours est essentiel pour comprendre le premier XXe siècle.