Benjamin Bayart nous démontre ici ce qu’est effectivement Internet et comment cet outil a permis de modifier fondamentalement la façon dont nous faisons société.
Il existe donc désormais un outil qui offre la possibilité à chacun d’entre nous, non seulement d’accéder à tout moment à une multitude de contenus, mais également de diffuser ses propres contenus de façon autonome (ou pas) et sans que ces contenus soient au préalable filtrés, analysés, avalisés ou censurés par une tierce partie (ou pas).
Dès lors des enjeux forts semblent se dégager si l'on souhaite défendre ce bien commun qu'est l'Internet. Parmi ces enjeux citons à minima celui qui consiste en la nécessité de préserver la neutralité du réseau, condition sine qua non si l’on souhaite défendre les libertés fondamentales telle que celle énoncé dans l’article 11 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui garantit à tout citoyen le droit de parler, écrire et imprimer librement.
La majorité des critiques économiques actuelles portent sur le néolibéralisme et la bulle financière. Et si la financiarisation de l’économie avait paradoxalement permis au modèle capitaliste de durer au-delà des limites qu’on pouvait lui prévoir ?
Dans quelle mesure peut-on penser dépasser aujourd’hui le système capitaliste ? Ne devons nous pas envisager un changement radical de paradigme économique, de système de répartition des ressources ?
Un changement qui concerne autant nos catégories de pensée que nos habitudes de comportement.
Depuis la fin de la 2e Guerre Mondiale et jusqu'aux années 90, l'Allemagne apparaissait à la France comme un partenaire fiable et honnête.
Le redressement économique du pays ces dernières années, aussi soudain qu'inattendu, allié à la crise de l'euro, réactualise en Allemagne l'idée flatteuse d'une supériorité de principe. L'intérêt exclusif du pays submerge les digues du partenariat européen.
Comment expliquer la fin du mal-nommé "couple franco-allemand" ?
En s'appuyant sur l'histoire de longue durée, Alain Favaletto nous permet de comprendre pourquoi l'Allemagne semble aujourd'hui faire cavalier seul au sein d'une Europe moribonde.
Mais que se passe-t-il réellement en Ukraine ? Comment se fait-il que des partis démocrates se retrouvent alliés aux côtés de structures néo-nazies pour lutter contre le tropisme pro-Russe du gouvernement en place ?
Entre manipulation médiatique et réseaux de déstabilisation occidentaux, les derniers événement ont un arrière-goût étrange de Révolution Orange...
En s’appuyant sur la période qui va de 1965 à 1985, pendant laquelle la rue devint le terrain d’affrontement entre l’extrême gauche, l’extrême droite et les forces de l’ordre (et appellée communément "années de plomb"), Gabriel Adinolfi et Michel Drac abordent le thème brûlant de la stratégie de la tension.
Pour produire 14.000 milliards de revenu national (PIB), les Etats-Unis ont généré plus de 50.000 milliards de dette totale, qui leur coûte 4.000 milliards d’intérêts par an : le dollar est devenu la plus grande bulle spéculative de l’histoire et va s’effondrer prochainement.
Quant aux attaques à l’encontre de l’euro, elles ne sont qu’un écran de fumée pour masquer la faillite de l’économie américaine.
Ce sont les positions que soutient Myret Zaki dans son dernier livre "La fin du dollar".
Sa grille de lecture est ici utilisée dans cette nouvelle revue de presse économique, en compagnie de Pierre Jovanovic.