La Gnose (connaissance), se présente comme une transcendance réservée à des initiés, une connaissance ésotérique des pensées divines.
C'est un principe radicalement opposé à la doctrine chrétienne ayant régulièrement "contaminé" la saine doctrine dispensée dans l'Eglise.
Etienne Couvert explique donc ici l'histoire et l'actualité de cette hérésie.
Evocation importante des circonstances et du déroulement de la Première Croisade dans les toutes dernières années du XIe siècle, ainsi que des contre-vérités continuant à se dire à ce sujet :
- le terme de Croisade n'a pas été utilisé pendant les premières croisades. On parlait de "pèlerinage", puis de "voyage outre-mer"
- on ne peut pas parler de "conquête" mais de "reconquête" : lorsque les croisés arrivent à Antioche, la ville n'est occupée par les musulmans que depuis 15 ans. La prise de Jérusalem, elle, se fait contre les armées égyptiennes qui n'ont repris la ville aux turcs que depuis 1 an !
- la guerre féodale, encadrée par la "paix de Dieu" appliquée strictement, était non seulement loin de la barbarie habituellement dépeinte, mais moins violente que la guerre moderne : elle épargnait certains lieux, certaines catégories de la population (femmes et enfants en particulier), et certains jours de la semaine
- la numérotation des croisades est ridicule et non historique.
- les Croisades ont été un "succès", dans la mesure où elles ont permis de rétablir durablement la liberté de "pèlerinage"
- les Croisades ont probablement retardé de 400 ans la chute de Constantinople - malgré le faux paradoxe de la prise de la ville par les croisés
- lors de la première croisade, et de l'appel de Clermont, on ne part pas combattre l'Islam ou les musulmans, puisque cette religion était tout bonnement inconnue par les foules en Occident
Cet évènement majeur pour la chrétienté occidentale et orientale s'inscrit bien dans un contexte et une continuité méconnus que l'historien Jacques Heers nous rappelle fort à propos.
80 000 jeunes venus de toute l’Europe étaient présents à la réunion organisée par la communauté de Taizé à Paris en janvier 2003, et il existe environ 1800 groupes de prière charismatiques en France aujourd'hui.
Ces activités, marquées par un enthousiasme conquérant, montrent que le Renouveau charismatique est devenu une composante importante du catholicisme. Son influence sur la vie de l’Eglise semble croître régulièrement.
Qu’est-il réellement ? Quelles sont ses origines, ses caractéristiques ?
Arnaud de Lassus a analysé le mouvement en détail et nous en propose ici une éclairante synthèse.
Une conférence pour essayer de comprendre la perte d'influence du catholicisme au sein de la société française, particulièrement dans le domaine de la conduite politique du pays.
Y aurait-il moyen de renverser la tendance ? Quelles sont les marges de manoeuvres pour les mouvements se réclamant du catholicisme ?