Marion Sigaut démarre la conférence en racontant l'épisode des Grands jours d'Auvergne sous Louis XIV, pendant lequel la justice sera réatablie en faveur du peuple et au nom du roi, contre les pouvoirs locaux.
C'est ensuite au tour de Stéphane Blanchonnet, président du Comité directeur de l'Action française, d'expliquer en quoi la monarchie est le mode de gouvernement le mieux adapté à la France, en explicitant les argument maurrassiens, fondés sur l'étude des faits historiques (empirisme organisateur).
Alain Soral conclue la séance en louant la pensée de Charles Maurras, fondée sur la dialectique et l'approche historique, tout comme le marxisme.
Ces similitudes devraient permettre aux amoureux sincères de notre pays de se retrouver dans une résistance commune aux épreuves qui l'accablent.
L’oeuvre d’Alexandre Douguine nous invite à la fois à un dépassement des trois idées politiques caduques que sont le libéralisme, le socialisme et le fascisme, à une réflexion géopolitique sur la théorie des grands espaces et à une tentative de transposition politique de la pensée métaphysique d’Heidegger.
Ces réflexions d’un penseur majeur de la Russie contemporaine peuvent-elles et doivent-elles inspirer les nationalistes français ?
Le féminisme apparaît à bien des égards comme une des manifestations les plus radicales de l'individualisme moderne. En refusant l'idée de vocations différenciées pour les hommes et les femmes, –idée présente dans toute civilisation–, il veut chasser la nature de l'un de ses derniers bastions.
Stéphane Blanchonnet défend la thèse d'une nécessaire complémentarité entre les sexes qui a pour corollaire la reconnaissance des différences naturelles.