Le 6 avril 2024 marquera les 30e commémorations du génocide survenu au Rwanda, au cours duquel près d'un million de Rwandais ont perdu la vie. Ce drame est particulièrement resté dans la mémoire collective de l'humanité à cause de la nature extravagante des massacres qui l'ont caractérisé.
Le récit des évènements, qui a émergé au lendemain du génocide, a installé les Hutus, prétendument soutenus par la France, dans le rôle des "Nazis tropicaux", tout en attribuant à Paul Kagame et à la rébellion tutsie du Front patriotique rwandais (FPR) celui des "libérateurs" du Rwanda qui ont mis fin au génocide.
Un narratif bien éloigné de la réalité historique...
Alliés à l'islamo-gauchisme, les "décoloniaux" ont entrepris de déconstruire la France au moyen d'un terrorisme médiatique et intellectuel sans précédent. Ce n'est pas de "séparatisme" qu'il s’agit. Ils ne veulent en effet pas faire sécession. Ils bénéficient de tant d’avantages dans cette France qui les accueille, les nourrit, les loge, les soigne, les éduque… et qu'ils haïssent…
Leur but est d'invertir la France. Pour ensuite la soumettre en lui imposant des normes raciales, philosophiques, culturelles, sociales, politiques, historiques, alimentaires, vestimentaires, artistiques, sexuelles et religieuses qui, toutes, vont à l'encontre de sa nature profonde.
En pleine déroute intellectuelle, acculés dans l'impasse idéologique des "droits de l'homme", du "vivre ensemble", du "pas d'amalgame" et du sépulcre phraséologique de la "laïcité", les dirigeants français sont désarmés face à cette entreprise de subversion et de conquête, unique dans l'Histoire millénaire de ce pays.
Quant aux indigènes français, sommés de débaptiser leurs rues, de dépouiller leurs musées, de renier leur Histoire, d'abattre leurs statues, et, quasiment, de devoir s'excuser d'exister, ils ont le choix entre la "soumission" et la réaction.
Or, cette dernière passe par la totale remise en question du corpus idéologique dominant, terreau sur lequel se développent et prospèrent les pensées invasives qui veulent faire de la France autre chose que la France…
Émission "Vendredi c'est PYR !", animée par Pierre-Yves Rougeyron et Maxime Logerot.
Le 22 juin 1994, le Conseil de sécurité de l’ONU autorise par la résolution 929 le déploiement d'une force multinationale sous commandement français au Zaïre et au Rwanda pour mettre en sécurité les personnes en danger au Rwanda. Or, depuis plus de vingt ans, journalistes, membres d'ONG, chercheurs et surtout le régime du Rwanda accusent la France d’avoir participé à la préparation puis à l'exécution du génocide. Celles-ci sont-elles exactes ? Sur quelles preuves reposent-elles ?
Après plus de dix années de recherches dans les archives du Conseil de sécurité, de l'Elysée, du ministère français de la Défense, celles du gouvernement des Etats-Unis et du Tribunal Pénal International pour le Rwanda ainsi que le recueil de nombreux témoignages, Charles Onana répond à ces questions.
Il démontre aussi que les dirigeants actuels du Rwanda ont, pendant plus de deux mois, empêché l'intervention de l'ONU, encourageant ainsi les massacres plutôt que l'arrêt des hostilités et le partage du pouvoir, comme le prévoyaient les accords de paix signés en 1993 à Arusha.
Le travail de Charles Onana est le premier du genre entièrement consacré à la mission Turquoise. Il remet en cause tout ce que l’on croyait savoir jusqu'ici.
Accrochés à des pourcentages de PIB désincarnés ou artificiels, "experts" et médias mentent à l'Afrique quand ils lui font croire qu'elle a "démarré" et qu'une "classe moyenne" y est née. En effet, non seulement le continent ne se développe pas, mais, au sud du Sahara, il est même revenu à une économie de "comptoir".
Au XVIIIe siècle ces derniers étaient esclavagistes ; aujourd'hui, ils sont pétroliers, gaziers ou miniers. Comme ceux d'hier, ceux d'aujourd'hui n'enrichissent qu'une infime minorité d'acteurs-profiteurs cependant que la masse de la population subit en tentant de survivre.
Allons-nous donc continuer de mentir à l'Afrique quand, confrontées à la misère et pour échapper au désastre dont elles sont les premières victimes, ses jeunes générations migrent en masse, du village à la ville et de la ville à l'étranger, risquant leur vie dans de dangeureuses équipées vers de supposés "paradis" ?
Afin d'attaquer les vraies causes du mal, les acteurs africains et européens doivent commencer par cesser de s'abriter derrière ces postures dogmatiques et ces mensonges qui, depuis des décennies, engluent le continent dans les échecs.
Vingt ans après les faits, il n'est plus possible de dire que le génocide du Rwanda était programmé, que la France en serait complice, que pour le commettre, les "extrémistes" hutu avaient créé une cellule secrète nommée Akazu, qu'ils avaient dressé des listes de Tutsi à abattre, qu'ils avaient fondé la radio des Milles Collines pour les besoins de leur propagande génocidaire, qu'ils assassinèrent leur propre président en abattant son avion et qu'enfin ils firent un coup d'état dans la nuit du 6 au 7 avril 1994.
Ces idées reçues, qui constituaient les bases de l'histoire officielle écrite par les vainqueurs de la guerre civile rwandaise afin de légitimer la conquête du pouvoir par le général Kagamé, ont été balayées par le Tribunal Pénal International pour le Rwanda créé par le Conseil de sécurité de l'ONU afin de juger les responsables de ce génocide.
Expert assermenté dans les principaux procès qui se tinrent devant ce tribunal, Bernard Lugan a eu accès à la totalité des ses archives, ce qui lui permet de rétablir la vérité au sujet du génocide du Rwanda.
Émission du "Libre Journal des historiens", animée par Philippe Conrad.
Depuis un quart de siècle les connaissances que nous avons du passé de l'Afrique et de l'histoire coloniale ont fait de tels progrès que la plupart des dogmes sur lesquels reposait la culture dominante ont été renversés.
Cependant, le monde médiatique et la classe politique demeurent enfermés dans leurs certitudes d'hier et dans un état des connaissances obsolète : postulat de la richesse de l'Europe fondée sur l'exploitation de ses colonies ; idée que la France devrait des réparations à l'Algérie alors qu'elle s'y est ruinée durant 130 ans ; affirmation de la seule culpabilité européenne dans le domaine de la traite des Noirs quand la réalité est qu'une partie de l'Afrique a vendu l'autre aux traitants ; croyance selon laquelle, en Afrique du Sud, les Noirs sont partout chez eux alors que, sur 1/3 du pays, les Blancs ont l'antériorité de la présence ; manipulation concernant le prétendu massacre d'Algériens à Paris le 17 octobre 1961 ; etc.
Le but des derniers travaux de Bernard Lugan est de rendre accessible au plus large public le résultat de ces travaux universitaires novateurs qui réduisent à néant les principaux mythes et mensonges qui nourrissent l'idéologie de la repentance.
Émission "Libéré sur parole", animée par Tepa.
Le 6 avril 1994, un avion Falcon 50 transportant deux chefs d'Etat africains, leurs collaborateurs et trois Français membres de l'équipage, est abattu par un missile SAM 16 au-dessus de l'aéroport de Kigali. L'ONU reconnaît que cet attentat est l'élément déclencheur des massacres atroces qui se vont se commettre dans tout le Rwanda. Or, depuis 20 ans, cet acte terroriste reste impuni. Le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR), censé juger tous les crimes commis en 1994, a décidé d'écarter l'attentat des procès. Pourquoi ?
Plus spécifiquement, quel rôle exact l'armée française a-t-elle joué pendant le génocide et pourquoi le régime de Paul Kagame actuellement au pouvoir au Rwanda ne cesse-t-il d'accuser la France dans les événement tragiques qui ont eut lieu dans cette région ?
Pour ce grand entretien, Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'actualité politique et géopolitique de mars 2018.
Une analyse où les actualités nationale et internationale sont passées au crible de l'intérêt français souverain.
PARTIE 1 :
- Commentaire sur la dernière vidéo
- Actualité du Cercle Aristote
QUESTIONS NATIONALES
- Attentat de Carcassonne, l’héroïsme d’Arnaud Beltrame, l’islamisme en France
- Tariq Ramadan
- L’élection d’Olivier Faure à la tête du PS
- Actualité des mouvements souverainistes et congrès du FN
- Sarkozy et la Libye
- Mayotte / Nouvelles Calédonie
- Liberté de la presse française et l’affaire Préstalis
- Le général de Villiers rejoint le Boston Consulting Group
- Occupation de la Basilique de Saint Denis
QUESTION INTERNATIONALES
- L'UE et les lobbies
- La réélection de Poutine et l'affaire de l'espion russe
PARTIE 2 :
- Série de viols en Angleterre
- Un point sur la Syrie
- Un point sur l’Arabie Saoudite
- Résultats en Italie
- Stephen Smith et l’africanisation de l’Europe
- Rwanda et le livre de Guillaume Ancel
- Nomination de John Bolton
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
- Quel scandale industriel doit on réparer en premier ?
- Doit-on laisser la SNCF ou EDF investir à l’étranger alors qu’elles ne se renouvellent pas en France ?
- Quoi penser de la multiplication des rapatriements d’or ?
DOCTRINE
- L’Europe des six
- La controverse Alain
- Quels mai 68 ?