L'être contre l'avoir, pour une critique radicale et définitive du faux omniprésent. Avec Francis Cousin chez Emmanuel Ratier sur Radio Courtoisie.


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17.10.2012

Une présentation du travail de Francis Cousin, qui plaide pour un retour à la communauté de l'être contre le mensonge du spectacle de la marchandise et de l'avoir capitaliste.

Le problème de Dieu. Avec Henri Guillemin au Club 44 à la Chaux-de-Fond.


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16.02.1987

Henri Guillemin déploie ici un panorama vigoureux et magistral sur la question de Dieu.
Cette conférence trouve son origine dans le trouble qu’il ressent face à la chute de la pratique du christianisme dans le monde : la foi semble reculer devant la science.
Il parcourt donc les siècles qui nous séparent de Jésus jusqu’à aujourd’hui, à travers les écrits de philosophes, d'écrivains, de biologistes et de théologiens pour essayer de comprendre d’où nous vient la connaissance intuitive qui nous pousse à prononcer ce "mot si difficile et dénaturé de Dieu".
Il s’interroge aussi sur les chances du christianisme dans le monde d’aujourd’hui et ne se prive pas de remettre en question l’institution catholique, dont le dogme n’est pas immuable.
Sa conclusion est formelle : "Tout se passe en fait en nous".

L'affaire Jésus. Avec Henri Guillemin au Club 44 à la Chaux-de-Fonds.


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18.05.1981

Henri Guillemin fait ici la critique historique de l’histoire sainte, puis celle de la pratique chrétienne au XIXe siècle notamment, avant de livrer sa profession de foi.
Après la description des sources et la critique historique des documents attestant de la vie de Jésus, il retrace la biographie de "Joshua ben Josef" jusqu’à une description clinique et lyrique de la torture de la croix.
En seconde partie, Henri Guillemin décrit l’incohérence et l’hypocrisie de l’alliance du trône et de l’autel dans l’application de la parole chrétienne, à l'aide de plusieurs exemples historiques.
Il clôt cet exposé en récitant sa propre profession de foi, qui se veut être celle d’un "homme de bonne volonté".

Loi de Dieu, lois des hommes : facteur d'union ou de discorde ? Avec Rémi Brague au Conservatoire National des Arts et Métiers.


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08.12.2009

D'où nous vient l'idée de loi divine ? Cette notion -qui nous est devenue quasiment étrangère- a pourtant dominé les croyances et les pratiques pendant près de trois millénaires.
L'alliance entre Dieu et la loi, nouée en Grèce antique et dans la tradition biblique, a revêtu des formes différentes dans le judaïsme, le christianisme puis l'islam.
C'est cette aventure que nous conte Rémi Brague.

Catholiques et musulmans : partenaires ou adversaires ? Avec l'Abbé Guillaume de Tanouarn, Tareq Oubrou, Camel Bechikh et le Père Michel Lelong à Fils de France.


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09.11.2013

C'est à un débat islamo-chrétien plein de respect -quoique viril- et de vérité que nous propose Camel Bechikh en réunissant l’abbé Guillaume de Tanoüarn et l’imam Tareq Oubrou.
La conférence est présentée par le père Michel Lelong.

Malebranche précurseur. Avec Alain Badiou à la Librairie Tropiques.


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03.10.2013

Alain Badiou présente son séminaire de 1986 sur Malebranche, précurseur cartésien et baroque de la dialectique hegelienne.
Au-delà de l'exceptionnelle qualité stylistique du discours philosophique de Malebranche, en quoi cette esthétique philosophique baroque peut-elle nous gratifier encore aujourd'hui, et nous conduire vers la théorie "moderne" de la phénoménologie du sujet, par la "vision en Dieu".
Une heure de jubilatoire "clarté et distinction", avec évidemment en arrière plan... l'Être et l'événement.

Quand notre monde est devenu chrétien (312-394). Avec Paul Veyne à la Bibliothèque municipale de Lyon.


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24.06.2008

Paul Veyne cherche à comprendre, avec toute la bonne fin d'un incroyant, comment le christianisme a pu, entre 300 et 400, s'imposer à tout l'Occident. Un empereur romain, Constantin, maître de cet Occident, converti sincèrement au christianisme, veut christianiser le monde pour le sauver. Il s'est converti parce qu'à ce grand empereur il fallait une grande religion. Or, face aux dieux païens, le christianisme, bien que secte très minoritaire, était la religion d'avant-garde qui ne ressemblait à rien de connu. Constantin s'est borné à aider les chrétiens à mettre en place leur Eglise, ce réseau d'évêchés tissé sur l'immense empire romain. Lentement, avec docilité, les foules païennes se sont fait un christianisme à elles.