50 ans de guerre de l'information. Avec Christian Harbulot pour l'Ecole de guerre économique.


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2023

La guerre de l'information par le contenu est peu étudiée dans le monde académique ainsi que -malheureusement- dans l'appareil d'Etat.
C'est la raison pour laquelle Christian Harbulot, expert international en intelligence économique et directeur de l'Ecole de Guerre Economique, nous propose cette série d'émissions, démarche pédagogique visant à faire naître une réelle culture civile du combat par l'information.

Une série d'émission animée par Nicolas Moinet.

Un destin français. Avec Jean-Marie Le Pen sur TV Libertés.


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2019

Alors que paraîssent les Mémoires de Jean-Marie Le Pen, il est temps de partir à la découverte de celui que certains qualifient de "menhir", symbole de force et de verticalité, tandis que d'autres en font le "diable de la République".
Au fil des entretiens va se dessiner le portrait sans filtre d'un petit Breton poussé par le Grande France. De Jean-Marie à Le Pen, de la Trinité-sur-Mer à la maison de Montretout, va se construire l'histoire incroyable et inégalée d'un destin français ayant marqué l'histoire de la 5e République.
Entre scoops et confidences, le fondateur du Front National revient sur ses décennies de combat au service de la France…

Un entretien mené par Martial Bild et Arnaud Soyez.

Les communistes et les guerres de décolonisation. Avec Alain Ruscio au Cercle Universitaire d'Études Marxistes.


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21.03.2019

Historien et spécialiste de l'histoire coloniale, Alain Ruscio a consacré sa thèse à l'Indochine coloniale. Il a plus récemment étudié l'Algérie coloniale et élargi ses travaux vers une histoire comparative des colonies françaises.
Lors de cette conférence, Alain Ruscio compare la position et l'action des communistes lors des deux guerres de décolonisation, les guerres d'Indochine et d'Algérie (1945-1962) pour nous permettre d'appréhender cette problématique de manière dépassionnée.

Histoire de l'Indochine française. Avec Dominique Venner et Philippe Conrad chez Bernard Lugan sur Radio Courtoisie.


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12.05.2004

Si l’on s’intéresse aux causes lointaines, la guerre d’Indochine n’a pas commencé en 1945, mais trois siècles plus tôt, en 1625, quand débarque au Vietnam un jésuite français, le R.P. Alexandre de Rhodes. À sa façon, cet homme remarquable est un conquérant, comme ses confrères qui entreprennent à la même époque une tâche analogue au Japon et en Chine. S’emparer des esprits n’est pas la moindre des conquêtes. Ces missionnaires s’inscrivent dans le grand mouvement d’expansion occidentale qui a commencé au siècle précédent. La propagation d’une religion radicalement étrangère à la tradition d’un pays de très ancienne civilisation, provoquera au fil du temps des réactions de défense immunitaire. Elles seront d’autant plus vives que, dans le sillage des missionnaires, accostent des commerçants aux dents longues, des marins et des soldats. En dehors d’exceptions, les colonisateurs sont aussi universalistes dans leurs desseins que les Américains d’aujourd’hui, convaincus qu’ils sont d’apporter "la" civilisation et le "progrès" pour le bien de tous. Ainsi débute l’histoire équivoque de la colonisation qui, pour l’Indochine, ne devient effective qu’à partir de 1858.
Après coup, quand viendra l’énorme lame de fond du reflux européen, il sera facile de juger le passé avec sévérité et de se livrer aux délices de l’auto-culpabilisation. L’anticolonialisme dressera le tableau le plus noir du passé, provoquant des ripostes qui flatteront les réussites en masquant les ombres. Polémiques stériles. En Indochine et ailleurs, l’aventure coloniale de la France n’avait été qu’un moment particulier du grand mouvement d’expansion qui jeta les Européens sur toutes les routes du monde, véritable mouvement tellurique, au même titre que les grandes invasions, les changements climatiques ou les effets des révolutions techniques. La faiblesse attire la force comme le vide attire le plein, et personne n’y peut rien.
Au XIXe siècle, face à l’envahissante supériorité technique et matérielle de l’Europe et des États-Unis, si elles voulaient survivre sans être dominées, les autres nations, notamment en Asie, étaient contraintes de s’occidentaliser, donc de se renier. Défi gigantesque et souvent mortel auquel le Japon a été le seul à répondre par ses propres moyens. Ce fut une formidable révolution que celle de l’ère Meiji, conduite par la caste militaire des samouraïs, mais révolution réussie puisqu’elle est parvenue à préserver une part réelle de la tradition japonaise au sein de la modernité. Pour la Chine et le Vietnam, il n’en fut pas de même. La modernité leur fut imposée de l’extérieur, par l’adoption de systèmes spirituels étrangers, destructeurs de leur tradition spécifique. En Chine, ce fut le rôle du communisme, système mental et social issu des pathologies européennes. Quant au Vietnam, il subit d’abord l’acculturation de la colonisation française, et fut laminé ensuite, comme la Chine, par le communisme qui sut exploiter à son profit un puissant éveil nationaliste.
Après 1945, le reflux fut plus ou moins intelligemment conduit. Les Britanniques, dont l’empire était beaucoup plus vaste que celui de la France, ont su réaliser leur retrait le moins mal possible pour eux-mêmes. On ne peut en dire autant des Français. Au Vietnam, l’aveuglement de tous les gouvernements, depuis 1945, a conduit à une guerre cruelle que le pouvoir politique refusait d’assumer tout en s’y soumettant. Ne furent grands que les combattants. Alors que la société politique de l’époque n’inspire que mépris et dégoût, les soldats furent souvent admirables. C’est en eux que se maintenait l’âme d’un pays veule et assoupi.
Dans les derniers jours de la bataille de Dien Bien Phu, alors que tout était perdu, 1 520 volontaires dont 680 non parachutistes se présentèrent pour sauter dans la fournaise. Parmi eux, des plantons et des secrétaires. Pourquoi ont-ils fait cela ? Pour les copains, par enthousiasme sacrificiel, par une sorte d’espérance tragique. Dans les heures noires comme dans les autres, souvenez-vous de ceux-là. Ils incitent à se tenir debout.

Dien Bien Phu avant Dien Bien Phu. Avec Pierre Pélissier sur Canal Académie.


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2005

La défaite de Dien Bien Phu a été largement commentée dans les médias. En revanche, la période précédent la fameuse bataille reste inconnue alors qu’elle explique le désastre militaire. Pierre Pélissier revient sur cette époque où se mêlent indécisions politiques et malentendus militaires.

L’honneur d’un temoin. Avec Pierre Schoendoerffer sur Canal Académie.


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2007

Interview par Elizabeth Antébi du cinéaste mythique, réalisateur de "La 317ème Section" à "L’Honneur d’un Capitaine" jusqu'à "Le Crabe-Tambour".

Jacques Chancel s'entretient avec le professeur Choron, alias Georges Bernier.


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14.05.1981

Emission "Radioscopie" diffusée sur France Inter.

Les camps viets : une tragédie oubliée. Avec le Colonel Luciani sur Méridien Zéro.


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03.06.2012

Wilsdorf et Eugène Krampon reçoivent le Colonel Luciani (ancien du 1er BEP) pour évoquer avec lui une des pages les plus tragiques de la guerre d'Indochine : Les camps de concentration du Viet Minh.