Depuis la chute du Mur de Berlin, la fin du bloc communiste en Europe et la disparition de l’Union Soviétique, l’Est intrigue.
En effet, l’Occident lui a rapidement inoculé ses tares mais pourtant, l’Est demeure autre.
Georges Feltin-Tracol veut nous réinformer des réalités de cette région trop méconnue et nous aider à comprendre la situation intellectuelle de nos voisins orientaux des steppes et de la taïga.
"L’Amérique postmoderne fonctionne depuis 1945 comme une photocopie géante de la métaréalité ; non l’Amérique telle qu’elle est, mais l’Amérique telle qu’elle devrait être dans le monde entier. La seule différence est que, au XXIe siècle, l’histoire (…) est passée à la vitesse supérieure. Les événements se succèdent de façon désordonnée et foncent à toute allure vers un chaos total."
Depuis la chute du Mur de Berlin, la fin du bloc communiste en Europe et la disparition de l’Union Soviétique, l’Est intrigue.
Cette curiosité se complète par une inquiétude : ne préfigure-t-il pas notre avenir ? En effet, l’Occident lui a inoculé ses tares (individualisme, atlantisme, mondialisme, économisme, matérialisme, relativisme culturel, nihilisme spirituel).
Pourtant, l’Est demeure autre.
On observe néanmoins la convergence rapide de l’homo sovieticus et de l’homo americanus vers le type du World Man.
A rebours des tropismes occidental et atlantiste des cénacles universitaires et des média hexagonaux, Georges Feltin-Tracol réinforme en dépassant les commentaires habituels pour la réalité, parfois caché ou occulté, des faits.
Ces Réflexions à l’Est aident à mieux comprendre la situation intellectuelle de nos voisins orientaux des steppes et de la taïga.
Cette émission est animée par PGL et Ulysse Girard.
Comment considérer notre vieille Europe ?
Au travers de l'Union Européenne ? Considérére comme une bonne fée et un gage de survie pour nos peuples et notre culture par les uns, elle est vue comme l'incarnation du monstre totalitaire technochratique par les autres.
L'Europe : entité abstraite allant à l’encontre de l’inaltérable ligne bleue des Vosges ou espoir d’un Empire de l’Atlantique à Vladivostok ?
Après examen de notre histoire politique européenne, on constate rapidement qu'il n'existe que deux grands modèles d'organisation politique : la nation (précédée par le royaume), et l’Empire.
Et si la forme nationale n'était qu'un produit de la modernité, fruit d'une "métaphysique de la subjectivité" ? Et si notre renouveau viendrait du principe impérial ?
C'est en tout cas ce que défend Alain de Benoist dans cette émission.
Bien que des crises de toutes sortes assaillent l'Europe (économie, démographique, politique), le peuple ne semble pas encore réagir à la hauteur du danger.
Et pourtant, la rébellion est plus que jamais nécessaire !
Georges Feltin-Tracol s'attache à dessiner le sens que devrait prendre ce combat en dressant d'abord un état des lieux et en esquissant ensuite quelques idées d'action à mener.