La crise sanitaire du COVID-19 a mis en lumière une problématique majeure au sein de la science médicale occidentale : une perte massive de confiance et d'efficacité dans les systèmes de soins. Cette crise de confiance, exacerbée par des scandales tels que le PfizerGate, a révélé des failles profondes, où la collusion entre l'industrie pharmaceutique et les instances de régulation a remis en question l'intégrité des pratiques médicales. La gestion de la pandémie a également mis en exergue une méthodologie scientifique qui, loin de garantir une approche rigoureuse et objective, a parfois imposé une vision autoritaire, manquant de véracité scientifique.
Pour comprendre cette crise, il est essentiel de revenir aux fondements de la science médicale occidentale. Depuis la Renaissance, la médecine occidentale s'est distinguée par des avancées majeures, telles que la dissection des corps et la découverte des germes, qui ont révolutionné notre compréhension de la santé et de la maladie. La médecine, initialement basée sur l'observation et l'expérience, a progressivement évolué vers une science reposant sur des preuves tangibles. Cependant, cette évolution a également conduit à une forme de dogmatisme, où la méthodologie scientifique est devenue une norme parfois rigide, peu adaptable aux réalités complexes et variées de la santé humaine.
Aujourd'hui, nous sommes confrontés à un tournant décisif. La défaillance du système de santé occidental, la marginalisation des pratiques alternatives, et les dysfonctionnements des comités de surveillance sont autant de signes d'une crise profonde. Deux scénarios se dessinent : l'un, pessimiste, où cette radicalisation mène à une dégradation encore plus prononcée de la confiance et de l'efficacité des soins ; l'autre, optimiste, où cette crise offre l'opportunité d'une refonte en profondeur de notre rapport à la science médicale et à la santé, vers une approche plus holistique et respectueuse de la diversité des savoirs.
Ainsi, la crise actuelle n'est pas seulement une remise en question des méthodes, mais aussi une invitation à repenser la place de la science médicale dans nos sociétés, pour qu'elle puisse véritablement servir l'humanité dans toute sa complexité.
La domestication est un processus ancestral par lequel les humains ont transformé les êtres vivants pour répondre à leurs besoins. Cette interaction crée une symbiose où les espèces domestiquées perdent souvent leur capacité de survie en milieu sauvage, devenant dépendantes des humains pour leur subsistance et leur protection.
Au-delà des plantes et des animaux, les humains eux-mêmes sont sujets à un processus de domestication. Ce n'est pas une simple adaptation passive, mais un modelage actif des aptitudes et des comportements à travers l'éducation, les normes sociales et les institutions. Cette domestication humaine vise à internaliser des caractéristiques génétiques et comportementales favorables à la société, tout en éliminant celles qui sont moins profitables.
La domestication humaine peut être tracée à travers l'histoire, des premières civilisations jusqu'à l'ère industrielle, les sociétés ayant constamment développé des méthodes pour façonner les comportements et les aptitudes des individus. Les Lumières ont introduit des idéaux humanistes et égalitaires, mais la domestication s'est poursuivie sous des formes plus subtiles et sophistiquées.
La domestication établit une relation de dépendance entre le domesticateur et le domestiqué, souvent au détriment de la liberté et de l'autonomie de ce dernier. Cette relation, autrefois perçue comme celle entre maître et domestique, a été dépersonnalisée par la civilisation industrielle pour réduire la dissonance cognitive et masquer les rapports de domination.
Intellectuel de sensibilité écologiste, chef d'entreprise et ancien homme politique, Laurent Ozon explore les implications profondes de la domestication sur l'Homme tant ce processus soulève des questions cruciales sur la liberté, l'autonomie et les rapports de pouvoir dans nos sociétés modernes. Comprendre la domestication humaine, c'est aussi reconnaître la nécessité de réévaluer notre conception de l'individu et de la société, et de repenser les structures qui façonnent nos vies.
Dans un monde où la stabilité est plus que jamais un mirage, les puissances mondiales se réalignent dans un ballet complexe de stratégies et d'influences. C'est en compagnie de Laurent Ozon que nous explorons les évolutions attendues de 2024 à 2030, alors que se dessine un futur où la géopolitique se réinvente, oscillant entre coopération forcée et conflits ouverts.
Au sein d'un échiquier complexe où de vieux conflits se transforment et de nouvelles alliances se forment, il est essentiel d'en surveiller les développements pour tenter de déchiffrer le cours et, peut-être, trouver un chemin vers une paix durable ou, au moins, un mode de coexistence stable.
Face à une convergence de crises écologiques, géopolitiques et culturelles, Laurent Ozon présente une analyse puissante de la nécessité impérieuse pour la France de repenser ses stratégies de coopération et de survie, en misant sur l'écologie profonde et le localisme. C'est à partir de ses diverses expériences en tant que pompier militaire, entrepreneur et penseur écologique qu'il dénonce les méthodes de gestion politique exacerbant le stress sociétal, éloignant l'humanité de ses racines naturelles et de sa capacité à innover de manière organique.
Partant d'une critique de l'uniformisation culturelle provoquée par des siècles de centralisation et de politiques d'assimilation, Laurent Ozon explique que face à la globalisation et à ses impacts homogénéisants, la sauvegarde des cultures locales devient un acte de résistance essentiel.
Un entretien crucial pour ceux qui cherchent à comprendre les enjeux de notre époque et à participer activement à la redéfinition de notre futur collectif.
- 0'00'00 : Introduction
- 0'01'01 : Critique de la politique actuelle
- 0'13'16 : Le stress vital et l'adaptation humaine
- 0'21'52 : L'homme augmenté et la technique
- 0'22'37 : La dépendance humaine aux prothèses
- 0'26'01 : Débats sur l'accélération technologique
- 0'32'00 : L'importance de l'intuition et de la culture
- 0'39'01 : Civilisation des Lumières et culture
- 0'44'10 : La collaboration face aux défis
- 0'45'02 : L'histoire de la nation française
- 0'47'30 : La destruction de la diversité culturelle
- 0'54'01 : Les enjeux actuels de la France et de l'Europe
- 1'05'56 : La coopération vs la nuisance réciproque
- 1'07'00 : Rôle de la culture et de l'histoire
- 1'10'02 : Localisme et responsabilité sociale
- 1'15'01 : Conservation et apprentissage du passé
- 1'18'18 : Économie et fiscalité
- 1'23'00 : Immigration et coopération sociale
- 1'27'33 : Coopération et civisme
- 1'30'05 : Remigration et développement
- 1'36'01 : Défis démographiques
- 1'39'43 : La guerre et ses conséquences
- 1'49'00 : Critique des élites
- 1'50'00 : Impact de l'immigration
- 1'51'14 : Conflit de civilisations
- 1'53'00 : Vision politique
Une émission menée par Nicolas Stoquer.
Directeur de projet dans une grande entreprise industrielle française, Marc Rameaux est également auteur de plusieurs ouvrages sur l'économie, le souverainisme et la société.
Par-delà ses critiques de la mondialisation et de l'Union européenne, il veut réhabiliter une vision plus équilibrée et plus humaine de l'économie de marché, fondée sur la responsabilité individuelle, l'autonomie de l'individu et la souveraineté nationale. L'une des dimensions de cet art de vivre est la sexualité, notamment la façon dont celle-ci est comprise à droite.
Comme comprendre le parcours entamé aujourd'hui par la jeunesse face à la misère sexuelle indutie par la logique du marché du désir ? Comment la crise des rapports entre les sexes, la montée des inégalités, la perte des repères identitaires et la radicalisation des idéologies révèlent-elles les profondes mutations de la société contemporaine ? Et quelles sont les solutions envisageables pour sortir de l'impasse et construire un monde plus juste et plus harmonieux ?
- 0'00'00 : Introduction
- 0'01'41 : La sexualité, un sujet politique
- 0'04'36 : Le souverainisme, une alternative humaniste
- 0'05'38 : La misère sexuelle à droite
- 0'08'43 : La demande féminine de masculinité
- 0'13'26 : L'accomplissement masculin, un critère universel
- 0'16'56 : Les apparences et la réalité, le jeu de la séduction
- 0'19'51 : La sexualité et le couple, deux sphères distinctes
- 0'21'53 : La sexualité et la politique, deux domaines liés
- 0'24'41 : La critique de Thaïs, une influenceuse qui donne des conseils aux hommes
- 0'28'00 : La recherche de l'authenticité et de l’essence des choses
- 0'32'02 : La sexualité comme une question de psychisme et de relation cérébrale
- 0'41'05 : La thèse principale sur les relations de soumission et de domination
- 0'49'23 : Les relations domination et soumission sexuelle (DESS) entre les hommes et les femmes
- 0'52'01 : La place du plaisir de la femme et de l'homme dans la culture de la domination
- 1'10'08 : Analyse des aspects psychologiques, littéraires et sociologiques de ces relations
- 1'12'52 : Le désir sexuel des hommes jeunes et la qualité des relations
- 1'15'45 : L'hypergamie des femmes et la pression sociale
- 1'18'00 : L'attitude de gentleman dominateur et l’art martial
- 1'20'36 : L'homosexualité et la politique, le mariage pour tous
- 1'27'40 : Le souverainisme comme un humanisme et un retour à l'authenticité
- 1'36'41 : L'égalité professionnelle entre hommes et femmes
- 1'39'07 : La notion de virtus ou de vertu romaine
- 1'42'58 : Le souverainisme comme un humanisme
L'évolution démographique globale de l’humanité s’est longtemps caractérisée par une forte natalité et une forte mortalité. La transition démographique s'est engagée chez les populations européennes d’abord, puis chez d'autres, progressivement.
Cette transition démographique est-elle en train de devenir une implosion démographique ? Les sociétés complexes sont-elles structurellement stériles ?
Parmi les causes avancées pour expliquer l'effondrement de la démographie, le facteur environnemental reste largement ignoré ou relativisé par les médias et le monde politique. Un désintérêt que l'on peut trouver, pour le moins, suspect.
L'écologie comme science apparaît à la fin du XIXe siècle de la nécessité d'étudier les espèces vivantes en contexte, c'est-à-dire sur leur lieu de vie et dans le réseau de liens qui les lient aux autres espèces.
L'écologie politique, quant à elle, a une tout autre histoire qui, dernière, peut même être comprise comme une trahison des idéaux des premiers écologistes.
- 00'00 : Introduction
- 01'45 : Les deux types d'écologie
- 11'08 : Maurice Strong
- 27'15 : L 'éco-anxiété
- 47'30 : Le narratif climatique
- 55'10 : La manipulation climatique
Personnalité célèbre de la dissidence et du paysage intellectuel, Alain Soral est connu pour ses positions affirmées contre l'élite oligarchique occidentale, qui lui valent de multiples persécutions et aujourd'hui un exil forcé en Suisse.
Auteur d'ouvrages marquants et président de l'association Égalité & Réconciliation, il est présent pour fournir son analyse de la situation politique actuelle, qui se trouve aujourd'hui à un véritable point de non-retour vers la destruction programmée de la France.