Dans cette conférence, l'essayiste Sylvain Durain poursuit le travail qui l'a amené à écrire Ce Sang qui nous Lie. Il développe notamment ses intuitions concernant la nouvelle religion écologiste mondiale qui semble s'imposer dans la vie intellectuelle et médiatique moderne : la religion "gaïatique".
Par un mélange d'écologisme et de collapsologie, Sylvain Durain démontre qu'il s'agit en fait d'un retour à l'archaïque et que cette nouvelle ré-volution manipule la jeunesse et utilise une nouvelle figure de "golem", la jeune Greta, au service de la déesse-mère Gaïa.
Que peut notre culture face aux assauts du monde actuel ? Telle est la question que se pose Stéphane Edouard devant l'effacement progressif d'une culture de type classique au profit de la modernité apportée par les nouvelles technologies, s'appuyant sur les travaux d'Alessandro Baricco.
Et avant de juger, il s'agit de comprendre qui sont ces barbares qui met à sac le village de la culture. Plus encore, il nous faut comprendre comment ils procèdent, quels sont leur logique, leur mode de fonctionnement, les dégâts qu'ils ont causés et les leçons qu'on peut en tirer.
A travers divers exemples (le vin, le football, les livres, Internet), Stéphane Edouard dresse un fulgurant portrait de cette mutation et s'interroge sur le concept d'expérience, sur la localisation du sens, pour nous et pour ces nouveaux barbares.
Un passionnant voyage dans le présent qui nous autorise une réflexion forte et articulée sur l'avenir de la culture.
Pourquoi cet épisode de l'histoire contemporaine se rappelle-t-il si souvent à notre mémoire ? Et alors que certains s'y opposent franchement, d'autres le commémorent : pourquoi ? Il en va probablement de l'identité et de l'avenir de l'être collectif qui s'identifie à cette séquence historique, comme modèle ou comme repoussoir.
Sur le plan historique il s'agira donc d'évoquer la signification et les causes de "l'évènement Mai 68", sa portée au présent et de "tirer des leçons de l’histoire". Or, l'histoire de Mai 68 n'a pas encore été réellement écrite. Le serait-elle dans sa véracité qu'elle en plongerait plus d'un dans un abîme de perplexité, notre époque ayant porté au sommet d'un art majeur la pratique de l'occultation et de la manipulation.
Néanmoins des voix discordantes commencent à se faire entendre à contre-courant des versions officielles...
Une conférence conjointement organisée par la Revue Eléments, la Revue Rébellion et le Cercle Politeia.
Nous savons que la trajectoire empreintée par notre modernité nous emmène au désastre. Et pourtant, il nous semble impossible de la modifier.
En outre, les questions qui ont mobilisé des générations de penseurs - la vie telle qu'on aimerait vraiment la vivre, le sens d'une existence humaine - tendent à disparaître de l'horizon du pensable.
Comment l'idéal moderne de liberté, dont l'affranchissement de la tradition constitue le fondement, a-t-il pu nous entraîner aussi loin dans l'égarement ?
Être du camp des gardiens de la cité, tel est le sens du combat des souverainistes.
Parce que la France est notre patrie, parce que notre peuple souffre, et parce que nos "élites" travaillent au mieux pour eux-mêmes, au pire pour l'étranger, nous nous devons de travailler à l'élaboration d'une alternative crédible, bâtie sur les fondements de notre tradition politique.
Camarades, au travail !