Les racines anglo-saxonnes du mondialisme. Avec François Sainz et Jean-Patrick Arteault sur Méridien Zéro.


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13.02.2011

L'émission s'intéresse d'abord à l'ouvrage "Les secrets de la réserve fédérale" d'Eustace Mullins, récemment traduit aux éditions "Le retour aux sources".
C'est ensuite l'étiologie de la vision du monde mondialiste qui est menée, avec une insistance plus particulière sur ses racines anglo-saxonnes.

Etats-Unis : danger ! Alain de Benoist au 25e colloque du GRECE.


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24.11.1992

Une mise en perpective de l'histoire et du devenir des Etats-Unis en temps qu'entité porteuse d'une idéologie universaliste, quelque temps après l'effondrement de l'URSS.

Entretien avec Raymond Boudon sur Enquête&Débat.


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02.02.2011

Raymond Boudon est l’un des sociologues français les plus connus et respectés actuellement dans le monde, alors qu'il reste quasiment inconnu du grand public en France.
Cet entretien permet de nous faire une idée d'un des grands défenseur de l'individualisme méthodologique en sciences sociales.

Europe contre Occident. Avec Georges Feltin-Tracol sur Méridien Zéro.


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03.10.2010

Une réflexion sur le sens de l'Occident, définit comme la civilisation planétaire, fille prodigue et bâtarde de l'Europe, aujourd'hui dominée par le modèle américain, qui vise à universaliser le primat absolu de la société marchande et de l'égalitarisme individualiste, et dont la conséquence fut de faire oublier aux européens leur destin propre (Guillaume Faye, Robert Steuckers et Pierre Fréson).

Strauss, Bloom et l'Amérique. Entretient avec Pierre Manent pour Le Bulletin d'Amérique.


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09.06.2011

Familier de la vie des idées américaine, Pierre Manent a bien recevoir Le Bulletin d'Amérique pour un entretien filmé.
Revenant sur sa découverte de Léo Strauss et des Etats-Unis, il jete un regard à la fois critique et bienveillant sur ce pays.
L'entretien est découpé comme suit :
  - Comment avez-vous découvert les Etats-Unis?
  - En quoi Léo Strauss est-il ce "grand libérateur" que vous évoquez dans "Le Regard politique"?
  - Les Professeurs Michael et Catherine Zuckert soulèvent, dans "The Truth About Leo Strauss", ce qu’ils perçoivent comme le grand paradoxe straussien: Léo Strauss aurait en effet laissé à ses élèves un héritage difficile, que l’on peut résumer ainsi: 1. L’Amérique est moderne; 2. La modernité est mauvaise or 3. L’Amérique est bonne. Qu’en pensez-vous?
  - Vous avez vous-même déclaré "je crois que si on a l’ambition de comprendre la politique moderne, il faut une certaine compréhension des Etats-Unis et donc avoir un certain amour pour les Etats-Unis". L’idée d’amour est très forte. Qu’entendiez-vous par là?
  - Vous avez été l’ami d’Allan Bloom, auteur, entre autres, de "L’âme désarmée" et de "L’Amour et l’Amitié". Vous avez reproché à Saul Bellow d’avoir échoué de portraiturer celui-ci dans "Ravelstein". Alors, qui était-il?
  - Vous dites qu’Allan Bloom aimait profondément la France. Ensuite, vous notez discrètement que "certains de ses élèves, qui l’accompagnaient, ont pris de la France une vue de plus en plus négative". Comment l’expliquez vous? Etait-ce le signe d’une nouvelle Amérique?
  - La question de la religion dans la dynamique de l’Occident parcourt l’ensemble de votre oeuvre. Quelle est la place de la religion dans la dynamique de l’Amérique?
  - L’Amérique peut-elle apprendre quelque chose de la France?

Paria urbains. Avec Loïc Wacquant chez Daniel Mermet sur France Inter.


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14.06.2006

Penser les banlieues françaises comme une reproduction des ghettos américains permet au gouvernement d’adopter comme aux Etats-Unis des politiques répressives et sécuritaires.
En quoi cette approche -rapprocher les ghettos de nos banlieues- est-elle erronnée ? Participe-t-elle de l' "excuse sociologique" ?
Quelles sont les problèmes spécifiques que rencontre le prolétariat français dé-sosialisé ? Quels pourraient-être les remêdes à de tels maux ?

Achever Clausewitz. Avec René Girard sur France Culture.


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16.10.2007

Observateur des campagnes napoléoniennes, Clausewitz a compris la nature de la guerre moderne : les termes de "duel", d'"action réciproque" ou de "montée aux extrêmes" désignent un mécanisme implacable, qui s'est depuis imposé comme l'unique loi de l'histoire.
Loin de contenir la violence, la politique court derrière la guerre : les moyens guerriers sont devenus des fins.
René Girard fait de Clausewitz le témoin fasciné d'une accélération de l'histoire. Hanté par le conflit franco-allemand, ce stratège éclaire, mieux qu'aucun autre, le mouvement qui va détruire l'Europe.
"Achever Clausewitz", c'est lever un tabou : celui qui nous empêchait de voir que l'apocalypse a commencé. Car la violence des hommes, échappant à tout contrôle, menace aujourd'hui la planète entière.

Surveiller pour discipliner : les transformations contemporaines de l’Etat. Avec Loïc Wacquant au festival Raison d'agir à Poitiers.


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25.03.2010

Le conférencier nous montre que le tour punitif pris par les politiques pénales lors de la dernière décennie ne relève pas du diptyque "crime et châtiment", mais annonce l'instauration d'un nouveau gouvernement de l'insécurité sociale qu’il caractérise de "libéral-paternaliste" : libéral en haut, envers les entreprises et les classes privilégiés, et paternaliste en bas, à l’égard des populations précarisées et déstabilisées par la dérégulation économique et le retrait de la protection sociale.
Au sein de cet État-centaure, la police, les tribunaux et la prison retrouvent leur rôle historique d'origine : plier les populations indociles à l'ordre économique et moral émergent.
Le déploiement de politiques pénales agressives ne participe pas d’un chimérique "programme sécuritaire" qui relèverait du registre de la "répression" : elle s’inscrit au contraire dans la production du Léviathan néolibéral capable de discipliner le précariat postindustriel.