Une conférence dans laquelle l'authentique catholique réactionnaire et défenseur du principe national qu'était Thomas Molnar opère une comparaison de deux systèmes qui se veulent opposés : le libéralisme et le socialisme.
Malgré l'apparente opposition, l'histoire de la philosophie nous permet de leur trouver une origine commune, et l'étude de leur réalisation concrète nous laisse entrevoir une finalité semblable : la production d'un monde tendant à l'homogénéisation et à l'uniformité. C'est le même rêve de l’homme moderne qui se cache sous ces deux idéologies : l’utopie et la technologie, le miracle politique et le miracle matériel, idéaux éphémères qui s’écroulent à chaque instant.
Le mote d'ordre est donc : "Ni Washington, ni Moscou : pour un monde de nation indépendantes !"
Remarque : la qualité audio est très mauvaise.
Comment comprendre la crise économique qui s'abat sur le continent européen ? Quelles en sont les logiques ? Est-ce une simple crise conjoncturelle, ou s'agit-il d'un problème structurel lié à la logique capitaliste de notre économie ?
Une émission du Libre Journal des Lycéens, animée par Romain Lecap.
Si la vulgate considère la Révolution conservatrice allemande comme un "laboratoire d’idées", il n’en demeure pas moins que cette dernière représente une extraordinaire aventure métapolitique qui inspire encore beaucoup d’idéologues, de philosophes et d’artistes aujourd’hui à travers le monde.
L’une de ses grandes figures, Arthur Moeller van den Bruck, proposa en son temps de penser un système politique qui succéderait au IIe Reich bismarko-wilhelminien au-delà des clivages gauche/droite, où les oppositions entre socialisme et nationalisme seraient sublimées en une synthèse nouvelle.
Robert Steuckers, avec l'aide de Pascal Lassalle, nous propose ici de redécouvrir cet épisode intéressant de l'histoire intellectuelle dissidente de l'entre-deux-guerres.