Sociologie du dragueur. Avec Alain Soral interrogé par Rémy Pautrat pour Become In Seduction.


(1)
1480 Vues
0 commentaire
2008

Il paraît difficile d'aborder le sujet de la drague -pratique jugée immorale, minable et très éloignée de la pensée- de manière sérieuse.
Alain Soral s'y est risqué au travers de son livre "Sociologie du dragueur", livre qu'il présente ici.
Pourquoi, quand, où et comment drague-t-on ? La drague a-t-elle évolué ? Toutes ces questions sont ici abordés.

Questions/Réponses. Avec Alain Soral pour E&R.


(1)
1748 Vues
0 commentaire
14.06.2014

Alain Soral répond -en improvisation- aux nombreuses questions qui lui sont posées par des internautes :

   0’53 - L’affaire de la fournée, la normalisation du FN et les antisionistes virtuels
  13’15 - Le traité transatlantique, parachèvement du plan Marschall
  24’15 - Les grands penseurs avant Clouscard
  32’30 - Décadence culturelle française
  39’07 - DSK, le film
  46’56 - Vladimir Poutine Vs Elkabbach
  55’42 - Alain Soral, anti-impérialiste éternellement lié à la France
  59’10 - Unité de la spiritualité et de la politique
1’06’40 - Réelection de Bachar EL-Assad
1’14’25 - Le pape, traître au Christ et agent du droit-de-l’hommisme
1’18’00 - Coupe du monde de football et corruption du sport-spectacle
1’22’50 - Marc-édouard Nabe le graphomaniaque
1’26’33 - Banque alternative et insoumission économique
1’30’06 - Casapound, modèle contre-culturel spécifiquement italien
1’35’00 - National-socialisme nord-coréen Vs démocratie de marché états-unienne
1’47’10 - Les jeux de hasard, marqueurs de l’effondrement moral
1’49’20 - Le monde associatif et le réseau pour sortir de l’isolement social et politique

Le libéralisme : principes et critiques. Avec Alain de Benoist pour le cercle Henri Lagrange.


(0)
1923 Vues
0 commentaire
05.2014

Alain de Benoist revient sur la généalogie du libéralisme, une idéologie qui se forme au XVIIIe siècle mais qui tire sa substance du nominalisme.
Un entretien passionnant et très pédagogique.

Mai 68 : au-delà de la commémoration, à quoi bon encore en parler ? Avec Jean-Pierre Le Goff et Gérard Leclerc à l'association Les Epées.


(0)
1165 Vues
0 commentaire
24.06.2008

Les deux intervenants nous font partager leur vision dépassionnée de mai 68 en replaçant intelligemment cet événement dans son contexte tant politique, économique, "sociétal", que spirituel forts de leur expérience de sociologue pour l'un et de journaliste pour l'autre.

La France et le marché : les sources philosophiques d'une incompatibilité d'humeur. Avec Jean-Pierre Dupuy à l'Académie des sciences morales et politiques.


(0)
1346 Vues
0 commentaire
17.06.2013

Quelle est la source de l’ordre social ? La volonté humaine préside-t-elle à sa destinée ou doit-on réfléchir autrement ? Telle est l'une des grandes problématiques de la philosophie sociale.
Jean-Pierre Dupuy défend ici l’idée que les philosophes français -depuis le XVIIIe siècle- ont été aveugles au concept d'auto-organisation du social.
Il rappelle les sources de cette incapacité française et procède à une critique de Rousseau, au travers de celle qu'en fait Benjamin Constant au XIXe siècle, pour la mettre en parallèle de la "Théorie des sentiments moraux" d'Adam Smith.
Enfin, il convoque l’analyse de Friedrich Hayek et sa mise en cause du cartésianisme et du rousseauisme de la Révolution française, du positivisme d’Auguste Comte et du Saint-Simonisme de l’Ecole Polytechnique.

Qui a tué la réalité ? Avec Jean Baudrillard questionné par Elisabeth Lévy sur France Culture.


(0)
1700 Vues
0 commentaire
24.12.2005

Dissection des chroniques de la virtualisation du monde, rédigées par le "flic métaphysique lancé aux trousses des assassins du référent" qu'est Jean Baudrillard.

Emission le "Premier pouvoir".

Du paradigme structuraliste au paradigme cognitiviste. Avec Francis Wolff au Centre de Recherches sur les arts et le langage.


(0)
1710 Vues
0 commentaire
03.02.2014

Un beau jour, à la fin du siècle dernier, l'homme a changé.
Considéré à la lumière de la psychanalyse ou de l'anthropologie culturelle depuis une trentaine d'années, il était soumis au poids des structures, déterminé par ses conditions sociales ou familiales, gouverné par des désirs inconscients, dépendant de son histoire, de sa culture, de sa langue. C'était en somme un "sujet assujetti". Cet homme des sciences humaines et sociales qui, au milieu du siècle, s'épanouissait dans le paradigme structuraliste de Lévi-Strauss, Benveniste ou Lacan, et qui triomphait encore chez Bourdieu, cet homme-là s'est effacé furtivement du paysage.
De nouvelles sciences nous parlaient d'un nouvel homme. C'était les neurosciences, les sciences cognitives, la biologie de l'évolution. L'homme qu'elles dessinaient n'avait rien à voir avec le précédent : il était soumis au poids de l'évolution des espèces, déterminé par ses gènes, dépendant des performances de son cerveau. C'était en somme un "animal comme les autres". On était passé de l' "homme structural" à l' "homme neuronal", selon le titre du livre marquant de Jean-Pierre Changeux. On avait "changé de paradigme".
La controverse n'est pas que théorique ; elle a des enjeux pratiques. Car notre façon de prendre en charge les autistes ou les anorexiques, de réprimer ou de soigner l'homosexualité ou justement de ne pas la réprimer ni la soigner, d'éduquer les enfants ou de punir les délinquants, de traiter les animaux ou de mesurer le pouvoir des machines, dépendent de la définition que l'on donne de l'homme. En changeant d'humanité, on bouleverse forcément nos grilles d'évaluation morale et juridique. Car de la réponse à la question "qu'est-ce que l'homme ?", dépendent ce que nous pouvons connaître et ce que nous devons faire.
Nous nous proposons d'analyser les principes épistémologiques de ces deux paradigmes et d'esquisser leurs conséquences morales et politiques.

Le désir et la sexualité aujourd'hui. Avec Alain Soral sur la RTS.


(1)
1478 Vues
0 commentaire
13.06.2004

Suite à la parution de "Misères du désir", Alain Soral revient sur les évolutions récentes de notre société "occidentale" en matière de sexualité, en appuyant son analyse sur l'outil marxiste (rôle prééminent des classes sociales dans la détermination des individus).

Emission du Train Bleu.