Le célèbre physicien n'aurait pas lui-même produit la théorie de la telativité, mais plagié au mathématicien français Henri Poincaré (1854-1912), cousin germain du Président français Raymond Poincaré.
Cette théorie aurait donc été découverte, formalisée et publiée avant les travaux d'Einstein. Celui-ci n'aurait fait que les lire et profiter du nouveau pouvoir des mass media américains pour assoir sa réputation, après la mort de Poincaré en 1912.
Les explications sont données par Dean Mamas, Docteur en physique nucléaire, américain d'origine grecque et militant pour la réhabilitation de Poincaré.
La science est souvent présentée –et parfois pensée– comme un monstre froid capable d’exorciser l’imaginaire, vu comme un parasite, une scorie encombrante susceptible de souiller les meilleures intentions de la raison. L’adjectif "imaginaire" (un malade imaginaire…) ne renvoie-t-il pas à la fausseté, à l’irréalité, aux chimères, aux illusions, bref à toutes ces choses que la science se voue justement à combattre ?
Mais si pareille caricature était exacte, d’où sortiraient les nouvelles idées ?
Conférence prononcée dans le cadre du cycle "Jeudi de l'Imaginaire".
Etienne Klein commence par exposer les différentes implications de la découverte du Boson de Higgs, notamment en ce qui concerne les questions de l'origine de l'univers, du temps et des relations masse/substance.
Jean-Pierre Dupuy continue en présentant le concept d'auto-transcendance, soit la saisie d'un point de repère dans l'avenir que nous déterminons par l'action même de ce choix, et les conséquences de cette vision du futur sur la construction de l'histoire.
Normand Baillargeon présente le livre d'Edward Bernays "Propaganda. Comment manipuler l’opinion en démocratie", écrit en 1928. Ce personnage, bien que mal connu, est considéré comme le père des relations publiques et a durablement influencé le fonctionnement des démocraties libérales au XXe siècle.
Il est également question de la première traduction de "Principes de reconstruction sociale" (1916) de Bertrand Russell.
Emission "Les publications universitaires".
Allons-nous manquer d’eau ? Se battra-t-on pour l’eau au XXI ème siècle comme on s’est battu pour le pétrole ou pour l’or ?
L’eau est-elle un bien collectif ? un bien collectif ? un bien de marché ? Les problèmes que l'on rencontre viennent-ils d'un manque d’eau ou plutôt de la pollution ? Qui consomme l'eau : les populations, l'industrie ou l'agriculture ? Qu'est ce que la "sécurité hydrique" ?
Telles sont quelques unes des questions abordées par Bernard Barraqué dans la communication qu’il a donnée devant les membres de l’Académie des sciences morales et politiques.
Dans les critiques de la théorie du choix rationnel, on insiste le plus souvent sur l’importance des comportements irrationnels.
Sans nier la pertinence de cette objection, il convient d’y ajouter celle qui consiste à souligner l’indétermination de la théorie dans un grand nombre de circonstances.
Les sources de cette indétermination se trouvent notamment dans l’incertitude (au sens de Frank Knight), que ce soit l’incertitude brute ou l’incertitude stratégique.
Les deux critiques sont pourtant liées l’une à l’autre, puisque le refus de reconnaître l’indétermination est parfois cause d’irrationalité.