Quand une conception politique de la nation affronte une idée charnelle de la même réalité, cela donne un débat entre Jacques Sapir et Jean-Yves Le Gallou.
Deux approches différentes, qui se rapprochent parfois mais s'affrontent souvent, pour répondre à une même question : que pouvons-nous faire pour sortir la France de ses problèmes ?
Dans le cadre du "Libre journal de Serge de Beketch", les trois compères Bernard Lugan, Philippe Conrad et Dominique Venner évoquent l'un des points majeurs de la seconde guerre mondiale, à savoir les relations conflictuelles entre l'Allemagne et l'URSS, du pacte germano-soviétique à l'opération Barbarossa.
On peut raisonnablement estimer que, depuis la nuit des temps, tous les représentants de notre espèce connaissent épisodiquement des moments de déprime ; le mal-être, le flou identitaire et la douleur d’exister font jusqu’à un certain point partie intégrante de notre condition. On peut imaginer aussi que certaines personnes sont plus vulnérables que d’autres à ce que nous appelons aujourd’hui la "dépression", que ce soit pour des raisons purement psychologiques, liées à l’éducation, ou pour des raisons physiologiques, liées au circuit neurologique et hormonal du corps.
Mais il y a néanmoins tout lieu de penser que notre époque est la proie d’un sentiment exacerbé de malaise intérieur. Depuis le tournant des années 1830 et l’entrée brutale dans la révolution industrielle, l’Occident semble ainsi submergé par une vague plus ou moins généralisée de "spleen", que les auteurs romantiques qualifiaient avec optimisme de "mal du siècle", sans savoir que nous l’éprouverions encore près de deux cents ans après eux… Notre art s’en est largement fait l’écho, tout au long du XXe siècle, de même que nos publications médicales, nos magazines, nos reportages télévisés et nos conversations. La "dépression" est partout, superficiellement soignée par les traitements pharmacologiques à la mode, comme une rustine apposée sur un navire en voie de perdition.
Thibaut Isabel se proposent de faire le point sur quelques-uns des aspects les plus marquants de cet étrange nihilisme contemporain, dont le surpassement constituera sans doute le principal défi des siècles à venir.
Émission du "Libre Journal des idées politiques".
Si la crise qui frappe le monde entier est certes une crise bancaire et financière, c'est d'abord la première crise de l'unification planétaire, affirme Hervé Juvin, qui cherche à montrer les logiques, les intérêts et les passions à l'œuvre derrière le désordre des systèmes, des actions et des comportements.
Le système occidental dominait le monde, mais c'en est fini. Il n'a plus le monopole du bien ni des certitudes.
Nous vivons le renversement du monde. Cette crise le rend sensible avec acuité, si elle n'en est pas la cause : elle révèle que l'économie ne peut constituer le fondement, hors marché, des sociétés.
Une émission présentée par Patrick Péhèle.
"Combien d'insultes se préparent contre mon humilité cosmique... L'heure commence où une génération neuve naît de mon oeuvre neuve : l'oeuvre est là, partout en ma tête ; c'est une uvre gigantesque : j'ai mal à la tête. J'ai chanté ici, auprès de vous, mes pages, dans notre intimité, l'approche amoureuse de Celle que prétextant tout ils ont tous fui : la Présence.
Les penseurs : y en a-t-il ? Où sont-ils ? Ont-ils place derrière leurs oreilles de cocker, ces moins que chancres ? Je chante la teneur de la Substance Prime, par-dessus la tête des mondes philosophiquement constitués.
Il y a, avant que de dire combien ils ont retenu la Vérité captive, Il y a, avant de dire la désobstruction de la conscience réflexive et la source trinitaire de cette énergie spirituelle, Il y a, entre mes mains, dans ce Journal qui devance l'oeuvre principale, Il y a ce nocturne ourdissant avant la profonde Aube de pourpre." Maxence Caron
La France n'en a que pour Zemmour.
C'est la Zemmour Mania : Les Français s'arrachent le livre du chroniqueur vedette du Figaro et de RTL, Le suicide français. Ils se pressent en rangs serrés à ses conférences.
C'est le Zemmour Bashing : Le premier secrétaire du PS dénonce la "zemmourisation de la société". Le vert Noël Mamère écrit une dénonciation Contre Zemmour.
Alors ? Zemmour est-il le messie d'une France déboussolée ou un diable d'extrême-droite ? Qui est vraiment Eric Zemmour, que dit-il, que veut-il ?