La France en danger de multiculturalisme. Avec Laurent Ozon sur Radio Courtoisie.


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12.05.2012

Ancien militant écologiste, ex-cadre du Front national et fondateur du mouvement "Maison commune", Laurent Ozon développe une réflexion métapolitique sur le multiculturalisme, les impostures que recèle ce concept ainsi que les dangers que son application, pour des motifs idéologiques, fait courir à la France.

Emission du "Libre journal des Lycéens", animé par Hugues Sérapion.

Actualité de Louis-Ferdinand Céline. Avec Marc Laudelout, David Alliot, Alain de Benoist, Marc Hanrez, Joseph Vebret, Valéria Ferretti et Matthias Gadre chez Emmanuel Ratier sur Radio Courtoisie.


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16.11.2011

Les différentes personnalités ici rassemblées s'emploient à cerner la vie et l'oeuvre de l'écrivain Louis-Ferdinand Céline (1894-1961), depuis sa jeunesse passage Choiseul jusqu'à sa mort à Meudon.
Le portrait du plus grand écrivain français du XXe siècle émerge peu à peu.

Émission du "Libre journal de la résistance française".

Jean de Pange et le destin européen. Avec Javier Ruiz Portella et Jean-François Thull aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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20.10.2009

Une émission en deux temps qui nous fait d'abord découvrir la figure atypique de Jean de Pange, âme inquiète et ardente au service de l'idée européenne, grâce à Jean-François Thul qui lui a consacré une biographie.
En deuxième partie, Javier Ruiz Portella, essayiste et directeur de la revue El Manifiesto, revient sur l'actualité politique espagnole et européenne.

Existe-t-il un socialisme opposé à la gauche ? Avec David L'Epée, Christian Brosio, Thibault Isabel et Bruno Saint-Ellier chez Arnaud Guyot-Jeannin sur Radio Courtoisie.


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09.02.2016

Savons-nous encore vraiment ce qu’était le socialisme ? Rien n’est moins sûr, à l’heure où l’imaginaire marchand colonise l’ensemble de la planète. La critique du capitalisme est passée aux oubliettes depuis le tournant social-démocrate de la présidence Mitterrand, en 1983, si bien que la gauche se résume désormais à l’aile réformiste du parti libéral. L’image qu’elle nous donne au XXe siècle ne ressemble en rien à ce qu’elle était cent ans plus tôt. Mais le problème est plus complexe qu’il n’y paraît.
Car la trahison de la gauche n’est pas seulement affaire de degrés en plus ou en moins dans la radicalité des réformes, comme tendent par exemple à le penser les derniers représentants du communisme français. La gauche s’est aussi éloignée du socialisme par les orientations générales de son discours. La question n’est pas à ce titre de savoir si elle est suffisamment à gauche, mais si elle est suffisamment socialiste ! Sa rupture idéologique avec les pionniers du mouvement concerne la nature même de ses revendications.

Émission du "Libre journal des enjeux actuels".

L'anthropologie des Lumières. Avec Xavier Martin sur Radio Courtoisie.


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30.09.2014

Un mérite essentiel de l'esprit des Lumières ? Avoir promu et fortifié la haute idée d'une unité du genre humain. Tous les traités, tous les manuels, tous ceux qui forgent l'opinion en réitèrent l'affirmation avec un tel ensemble et un tel enthousiasme, qu'il est probable qu'ils y croient.
Étrange phénomène : la réalité est très différente. L'esprit de libre examen, dont également sont crédités avec ferveur les "philosophes" ceux-ci l'ont appliqué, parmi d'autres objets de quelque conséquence, à la notion même de l'humanité, qu'ils en sont venus à nier comme essence au nom du progrès. Il en résulte, sous leur plume, au moins à titre de tendance très appuyée, une dilution du genre humain dans l'animalité, dilution d'autant plus séduisante à leurs yeux qu'elle bat en brèche, comme dépassée scientifiquement, la conception biblique de l'homme.
Les retombées n'en sont pas minces. L'humanité, dans le propos des "philosophes" devient friable. Lorsque ceux-ci vont jusqu'au bout des conséquences de leurs principes, des éboulements s'en suivent, qui sont spectaculaires : ce sont des pans entiers de la famille humaine qui se trouvent dissociés de l'humanité pleine, qui sont "bestialisés" ou sous-humanisés, ou exposés à l'être. Pierre-André Taguieff avait pu l'écrire : le siècle des Lumières est bien celui, effectivement, "de la construction intellectuelle du "sous-homme" ". Vont en faire les frais des minorités. très majoritaires : les ethnies exotiques, le sexe féminin, le peuple en général.
Cet effondrement de l'image de l'homme appellera des suites. Il pèsera sur toute l'anthropologie du XIXè siècle. Au bout du compte, en procéderont un peu plus tard des hécatombes qu'il est curieux, voire incongru, de n'imputer tout au contraire qu'à la noirceur de prétendues et improbables "anti-Lumières".

Émission du Libre journal de Lydwine Helly.

Vienne et la Mitteleuropa danubienne. Avec David Tarot et Dominique Venner chez Philippe Conrad sur Radio Courtoisie.


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31.01.2012

Frontière de l’Empire romain face aux "Barbares", le Danube s’est imposé comme le trait d’union d’une nouvelle Europe née de la rencontre des mondes germanique, slave et magyar.
Sur ses berges, l’Österreich est devenue au fil des siècles le centre de gravité du grand empire des Habsbourg et Vienne, sa capitale, s’est affirmée comme l’un des foyers majeurs de la culture européenne.
Ce rempart de la Chrétienté face au péril ottoman, lieu des fastes de la cour de Marie-Thérèse, capitale de la musique où l’œuvre de Schubert fait écho à celles de Mozart et de Haydn, fut aussi le lieu des avant-gardes du premier XXe siècle – à l’époque de la Sécession et de Klimt – quand Freud et Kafka ouvraient de nouvelles pistes à l’intelligence du monde.
Intégrées de longue date à un ensemble politique et dynastique commun, la Prague de Charles IV et de Rodolphe II et la Budapest de Liszt et de Bartók ont quant à elles participé à la subtile alchimie qui a permis à l’histoire de construire dans l’ensemble danubien un espace de civilisation original dont la marque demeure.

Le chavisme a-t-il un avenir en Amérique latine ? Avec Vincent Lapierre chez Emmanuel Ratier sur Radio Courtoisie.


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27.05.2015

Vincent Lapierre est un universitaire connu des français pour son travail de réinformation sur le Venezuela d'Hugo Chavez via la traduction en français de bon nombre des discours de celui qui incarnait la "Révolution bolivarienne".
Il revient donc dans cette émission sur les idées et la vision politique d'un homme qui correspondrait, selon nos catégories politiques, à un certain nationalisme de gauche.

Émission du "Libre journal de la résistance française".

Pétain, De Gaulle : une autre vision de l'histoire. Avec le colonel Michel Le Pargneux sur Radio Courtoisie.


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2014

Cette série d'émissions met en scène deux soldats que la houle de l'histoire avait réunis avant de les séparer dans un naufrage.
L'un, dont la gloire militaire demeure impérissable, s'identifiait aux français.
L'autre, dont l'arme redoutable fut le Verbe, s'identifiait à la France.
L'un, dont Vigny eût immortalisé la grandeur et le sacrifice, eut pour maître le devoir.
L'autre, dont l'exemple fut suivi par des "soldats perdus" qu'il condamna, eut pour maîtresse sa conscience.
L'un fut, selon le mot de Clemenceau, toujours prêt au sacrifice personnel.
L'autre, fut, sa vie durant, animé d'une volonté impérieuse de dominer.
L'un et l'autre s'affrontèrent dans le culte d'un même amour, un amour qui obsédait l'un, lorsqu'au soir de son agonie sa voix s'était élevée, haute et claire : "La France, je n'ai jamais aimé qu'elle".

Émission du "Libre Journal des auditeurs et des musiciens" de Didier Rochard.