Le temps du choix. Avec Michel Drac au Cercle Jacques Bainville.


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13.04.2012

L'orateur s'interroge sur nos futurs disponibles qui semblent se réduire à deux options : la Grèce ou l'Argentine ?
Il s'interroge ensuite sur le mode de gouvernement le plus approprié en abordant la question des régimes politiques, en s'interrogeant aussi bien sur la contenu effectif de la démocratie, de la monarchie ou des dégénérescences ploutocratiques.
Enfin, un appel personnel et collectif nous en lançant pour nous préparer à l'effondrement de notre système économique.

Interview de Pierre Hillard par WeAreChange Brest.


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25.07.2009

Quelques questions posées au politologue:
  Quelles conséquences les attentats du 11/09 ont-elles eu sur le monde et l'avancée de la gouvernance mondiale?
  Quelle a été votre réaction au limogage d'Aymeric chauprade par Hervé Morin suite à la publication de son livre "Chronique du Choc des Civilisations"?
  Comment voyez vous l'avenir de la liberté d'expression en France? Ou se prennent réellement les décisions à l'issu des reunions du Bilderberg, C.F.R., Trilatérale?
  Quelles étaient les sujets de débat du Bilderberg 2009?
  Que pensez vous des réactions de certains représentants des pays dits démocratiques suite aux propos tenues par le présidents Ahmadinedjad lors de la Conférence Mondiale contre le racisme (Durban2)?
  Quel est votre avis sur la nouvelle politique anticapitaliste mené ensemble par les présidents Hugo Chavez et Amhadinedjad? Quel serait les impacts d'un conflit entre l'Iran et l'Israel?
  Comment se répartiront les rôles de la gouvernance mondial entre les différentes puissances du 21e siècle?
  Quelles seront les conséquences de la fusion de la zone de libre échange Euroatlantique et l'Alena? Quel événement risquerait d'être le point de non retour du Nouvel Ordre Mondial?
  A par la fondation Bertelsmann, quel goupe ou think tank influence les lois et décisions de la politique européenne? Quelles seront les moyens de pression utilisés pour faire changer d'avis les Irlandais sur le traité de Lisbonne?
  Quelles conséquences la ratification de ce traité aura-t-il?
  Quelles sont vos craintes pour l'Europe suite aux elections de 2009?
  Que pensez-vous du Codex Alimentarius?
  Que pensez-vous des multinationales tel que Nestle ou Monsanto?
  Influencerait-elle la politique européenne?
  Quelles sont les moyens actuels tendant à l'uniformisation de l'européen?
  Quelles conséquences ont eu les décisions prisent lors du G20 et de la rentrée de la France dans l'O.T.A.N.?
  Que pensez vous de l'avenir de la Bretagne dans l'optique des politiques régionalistes européennes? De quoi sera fait la fin de l'année 2009?
  Et les années 2010, 2011, 2012? Quel est le sujet de votre prochain ouvrage?

L'affaire Karachi. Avec Henry de Lesquen sur Radio Courtoisie.


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26.09.2011

Expositon des suites de l'Affaire Karachi (fin septembre 2011), avec les révélations de Hélène de Yougoslavie, future ex-Femme de Thierry Gaubert (né Goldenberg); ainsi que les maladresses de Brice Hortefeux.

Peut-on vouloir dépasser le libéralisme sans être socialiste ? Par Laurent de Briey au CEPPECS.


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24.04.2010

La crise financière a suscité une remise en cause du cadre libéral qui dominait aussi bien à gauche qu’à droite depuis trente ans. Si cette remise en cause rend possible et souhaitable un renouveau du socialisme, elle représente également une opportunité pour l’émergence de théories politiques alternatives. Parmi celles-ci, l’humanisme démocratique appelle à un dépassement du libéralisme, tout en s’affirmant à la fois progressiste et centriste.
Conférence donnée au Collège Européen de Philosophie Politique de l'Education, de la Culture et de la Subjectivité (Ceppecs) dans le cadre du cycle "Qu'est-ce que le socialisme ?"

La crise idéologique du socialisme. Avec Marcel Gauchet au CEPPECS.


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06.02.2010

L’ombre des années 30 continue de peser lourdement sur notre perception de la crise actuelle. Pourtant, soutient Marcel Gauchet, la différence saute aux yeux : l’offre idéologique par rapport à la crise que nous vivons est à peu près nulle. Elle se résume en fait à des succédanés d’idéologies du passé dont les adeptes eux-mêmes mesurent bien le caractère peu adéquat par rapport à la situation.
Sous l’effet de l’évolution de nos sociétés depuis la seconde moitié des années septante, le socialisme, tant dans sa branche révolutionnaire ou communiste que réformiste ou sociale-démocrate, est entré dans une profonde crise idéologique indépendante de ses succès comme de ses échecs électoraux, crise dont il faut comprendre les tenants et les aboutissants.
Le noyau de l’idée socialiste reposait sur deux piliers qui se sont écroulés sinon fortement érodés.
En premier lieu, le socialisme a perdu son acteur historique privilégié, le prolétariat, et le facteur de transformation sociale associé à celui-ci, la lutte de classes.
En second lieu, le socialisme a perdu l’assurance d’être au moteur de l’histoire et du changement social du fait de l’échec ou de la perte de confiance dans ses moyens, mais aussi à cause de l’effacement de son but.
Après trente années de consécration de notre foi dans la maîtrise du futur, la crise consécutive au choc pétrolier de 1973 a déjoué les prévisions techniques et fait défaillir les outils de gestion collective et de régulation économique. La rationalité de l’Etat comme le caractère désintéressé de ses agents ont été progressivement remis en doute. L’avenir cessant d’être figurable, la crise des instruments permettant d’en percer le mystère va amorcer le retour des marchés comme technique indépassable de gestion des incertitudes.
Enfin, le caractère souhaitable de la dissociation de l’Etat et de la société civile, l’échec de l’expérience collectiviste soviétique mais aussi le constat que la pénétration de la connaissance dans la gestion collective est plutôt source d’opacité et de dépossession que de transparence et de réunion avec soi vont peu à peu défaire la perspective d’une fin de l’histoire sous le signe de la communion humaine.
Au final, si l’objectif d’une société plus juste et plus démocratique conserve toute sa pertinence, force est de constater qu’il nous faudra pour y atteindre d’autres outils que ceux que l’évolution de nos sociétés a mise en défaut.
Conférence donnée au Collège Européen de Philosophie Politique de l'Education, de la Culture et de la Subjectivité (Ceppecs) dans le cadre du cycle "Qu'est-ce que le socialisme ?"

Une certaine idée de la France. Avec Hervé le Bras sur France Culture.


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22.03.2012

Existe-t-il une France qui transcenderait les différences, au point de les gommer ?
Emission "Du grain à moudre".

Walter Lippmann et le libéralisme de gauche. Avec Alain Laurent à l'Institut Turgot.


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03.03.2011

La réédition du célèbre ouvrage de Walter Lippmann, "La Cité libre" (1937), est l’occasion de revenir sur les thèses bien balancées (ni laissez-faire, ni État-providence…) de ce grand penseur américain, associées à l’apparition du premier "néolibéralisme" lors du colloque Lippmann qui eut lieu à Paris en août 1938 (Hayek et Mises s’y opposèrent aux "libéraux sociaux").
Alain Laurent, philosophe libéral, fait le point sur ce qu’il y a de "néo" dans ce néolibéralisme version Lippmann, comme dans celui que journalistes et politiciens vilipendent de nos jours.

L'Etat royal, socle des libertés. Par Olivier Perceval à l'Action Française.


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04.03.2011

La monarchie n’est pas une invention de théoriciens ou d’idéologues géniaux. C’est une construction empirique qui s’est affinée au long des siècles jusqu’à donner un système équilibré.
C'est le principe de subsidiarité qui, confortant les usages, les coutumes et la tradition, permet de garder vivantes les libertés réelles des individus insérés dans leurs communautés naturelles.