La notoriété grandissante des interventions d’Étienne Chouard depuis le "référendum" de 2005, lui permet de devenir l’un des penseurs les écouté sur la crise économique en Europe et la démocratie.
Il s’intéresse tout particulièrement à l’examen d’un système combinant tirage au sort de représentants du peuple non-reconductibles et révocables à tout moment, de façon à éviter toute oligarchie politique.
C'est donc vers une application radicale du principe démocratique, puisée aux sources Athniennes et aux multiples expériences menées ça et là depuis 2500 ans, qu'Etienne Chouard nous invite.
Exposé de la doctrine positiviste maurassienne, considèrant que l'organisation et les institutions de la société doivent être le fruit de la sélection opérée par les siècles. Cette solution est considérée comme efficace, car adaptée à chaque situation nationale, au contraire de l'application des théories idéalistes (la démocratie, le communisme, le libéralisme).
Pour la France, la monarchie fait évidemment partie de ces institutions, nécessaire pour freiner les rivalités franco-françaises.
L'idée républicaine reste une idée neuve.
Après des décennies de détours utopiques ou à l'inverse d'asservissement aux supposées lois de l'économie, nous sommes loin d'en avoir épuisé ou même deviné tout le potentiel.
Elle seule permet de redéfinir un idéal libérateur pour notre époque. Des citoyens libres dans une république émancipée : voici les linéaments d'un programme social-républicain.
Emission "Des sous et des hommes".
Les sayanim -informateurs en hébreu- sont des Juifs de la diaspora qui, par "patriotisme", acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes.
Leur nombre en France se situerait, selon les auteurs, autour de trois mille. Ils se recrutent principalement au sein du Bnaï Brit (franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives nationales.
Jacob Cohen nous raconte son expérience dans le milieu de la franc-maçonnerie de l'influence de certains lobbies juifs sur la politique française.
Les deux exposés d'Annie Lacroix-Riz et de Jacques Nikonoff visent à mettre en évidence les continuités historiques de la politique allemande depuis la fin de la première Guerre Mondiale jusqu’au début de la construction européenne, depuis l’hyperinflation des années 20 jusqu'aux déflations salariales et délocalisations contemporaines. Soit le dilemne d'une nation dont le projet de domination impériale n'a jamais déserté ses classes dirigeantes.