Staline : la bureaucratie dans un seul pays ? Avec Jean-Jacques Marie à la Librairie Tropiques.


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23.03.2013

À l'occasion de la (60ème) commémoration du rappel de Staline au paradis des petits pères des peuples, Jean-Jacques Marie repose la question du "socialisme dans un seul pays".
Face à l'occident sombrant dans la "grande crise" de 1929, les successeurs de Lenine sauront sortir leur pays de l'age féodal, mais pas de sa pénurie !
Une description érudite et raisonnée de la période stalinienne de l'URSS, de ses apparatchicks et des contradictions qui déboucheront, aujourd'hui, sur leur mutation en oligarchie mafieuse, marquant la fin de l'Union Soviétique, et de la pénurie... pour certains.

Les révoltes arabes. Avec Philippe Prévost sur Méridien Zéro.


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17.07.2011

Que faut-il penser des soulèvements populaires agitant le monde arabe ? Comment en comprendre les logiques internes et externes ? Quelles peuvent-en être les issues possibles ?

Afrique du Sud : permanences et changements. Avec Pierre-Olivier Sabalot sur Méridien Zéro.


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13.06.2010

Un essai de mise en perspective de la situation sociale et ethnique en Afrique du Sud, afin de comprendre la complexité des réalités du pays.

L'héritage de la Phalange. Avec Olivier Grimaldi sur Méridien Zéro.


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26.06.2011

Une réflexion sur l'organisation politique espagnole national-syndicaliste de la Phalange, au travers notamment de son fondateur et théoricien principal José Antonio Primo de Rivera.
Cet angle de vue nous révèle également une autre guerre d'Espagne que celle qui nous est continuellement contée par les médias dominants.

1789 : la Declaration des droits de l’homme et du citoyen et la Terreur. Avec Florence Gauthier à Lyon.


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02.02.2007

La Révolution française fut une révolution des droits de l’homme et du citoyen.
Elle parvint à abolir le régime féodal et l’esclavage dans les colonies, deux des piliers de l’oppression des peuples. Elle entama encore une lutte contre l’expropriation de la paysannerie, le chômage et la vie chère et mit le droit à l’existence et aux moyens de la conserver à l’ordre du jour du contrat social. Elle fonda encore un droit des peuples à leur souveraineté et refusa toute "guerre offensive", y compris coloniale.
La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen synthétisait un projet de République démocratique, qui fut expérimenté de 1792 à 94, créant un espace public démocratique allant en s’élargissant, et dont les racines théoriques remontent aux Humanistes de la Renaissance, au XVIe siècle.
Et pourtant, son évocation s’accompagne immédiatement de son contraire : la Terreur. Le mot laisse derrière lui des images de répression accompagnée de flots de sang.
Il convient de rappeler quels actes et quelles personnes ont été réprimées, mais aussi de comprendre comment un tel rapprochement entre "droits de l’homme" et Terreur a pu se faire, éclipsant les premiers au profit de la seconde.
En effet, une telle substitution ne date pas de l’après-révolution, mais précisément du tout début de celle-ci, et plus exactement, du moment même où la Déclaration des droits fut votée, le 26 août 1789.

La conférence est donnée dans le cadre de l'exposition "La grande Révolution de 2014" de Raphaël Julliard du 13 janvier au 3 mars 2007.

Rencontre avec Robert Steuckers, sur Méridien Zéro.


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12.06.2011

Découverte du parcours intellectuel et militant du penseur belge et européen Robert Steuckers, ancien compagnon de route de la Nouvelle Droite.

Au-delà de la nation, l'Empire ! Avec Alain de Benoist sur Méridien Zéro.


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17.04.2011

Après examen de notre histoire politique européenne, on constate rapidement qu'il n'existe que deux grands modèles d'organisation politique : la nation (précédée par le royaume), et l’Empire.
Et si la forme nationale n'était qu'un produit de la modernité, fruit d'une "métaphysique de la subjectivité" ? Et si notre renouveau viendrait du principe impérial ?
C'est en tout cas ce que défend Alain de Benoist dans cette émission.

Le féminisme des travailleuses. Avec Jocelyne George à la Librairie Tropiques.


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07.03.2012

De 1955 à 1989, la CGT a publié un magazine féminin, Antoinette. L’histoire de cet objet de presse singulier était nécessaire pour le mettre à sa place dans celle du féminisme.
Démystifier le réel et non pas l’exorciser, tel fut le projet de ce magazine unique dans le monde syndical. Il n’eut pas les moyens économiques de concurrencer la presse dite féminine et donc de dévoiler massivement l’idéologie qu’elle véhicule, mais il servit le féminisme des militantes car sa diffusion, toujours difficile, fut pour elles un moyen de se rendre visibles dans le syndicat et dans l’entreprise. La vente de masse d’Antoinette chaque 8 mars fut un élément important de la popularisation de cette journée des femmes.
Jocelyne George, historienne , et féministe de la première heure, témoigne de son parcours de militante et révèle à certain(e)s que les luttes pour l'égalité, la liberté et les droits des femmes n'ont pas commencé avec le M.L.F.