Régis Debray est-il réactionnaire ? Avec Régis Debray à Répliques sur France Culture.


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01.04.2006

Examinant les valeurs de ceux qui sont dans le camps du progrès et ceux appartenant à celui de la réaction, Régis Debray montre qu'aujourd'hui, des progrès multiples, complémentaires et pluridisciplinaires se sont substitués à la notion totalitaire, abstraite et idéalisée d'un progrès censé changer le monde.
Il revient également sur son propre itinéraire, livrant une analyse morale et philosophique.

Perspectives métapolitiques. Avec Gabriele Adinolfi pour les Non-Alignés.


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09.2015

Alors que l'intervention Russe en Syrie se poursuit, Gabriele Adinolfi nous livre son analyse du contexte géopolitique global et délivre quelques orientations métapolitiques. 
Malgré l’accélération dramatique de l’actualité, le message qui est délivré reste d’actualité, notamment en ce qui concerne l’engagement politique.

Actualité française et internationale. Avec Alain Soral à L’Heure la plus sombre pour E&R.


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18.01.2016

Pour ce 20ème numéro de L’Heure la plus sombre, Alain Soral, président d’Egalité & Réconciliation, est invité pour commenter avec lui l’actualité politique.
Au sommaire de l’émission :
 - Introduction 
 - 03’13 : Bilan de l’année 2015
 - 10’15 : Le consensus contre l’islam 
 - 14’31 : Vers une guerre civile programmée ? 
 - 20’00 : La situation explosive en Corse 
 - 25’33 : Les élections au Venezuela : quel avenir pour le chavisme ? 
 - 36’11 : Donald Trump, l’ovni américain 
 - 41’41 : Daech, bientôt en Libye ? 
 - 48’15 : Une lueur d’espoir ? 
 - 52’20 : Minos Herbes, Dents de l’ombre, album Nano (disponible sur Kontrekulture.com)

La République contre les libertés. Avec Nicolas Bourgoin pour Culture Populaire.


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05.2015

Quadrillage des quartiers populaires, vidéosurveillance omniprésente, contrôle accru des communications et des déplacements, chasse aux marginaux et aux sans-papiers, inflation des gardes à vue et des incarcérations, alourdissement des peines, généralisation des mesures de sûreté : nous sommes entrés dans un processus révolutionnaire de radicalisation du contrôle social et de mutation du droit pénal. Il débute avec la rédaction du rapport Peyrefitte, se poursuit avec la politique de la ville des années quatre-vingts et la "guerre" contre les violences urbaines des années quatre-vingt-dix, trouve son apogée avec la profusion des lois liberticides de la décennie 2000 pour se stabiliser provisoirement avec le retour de la gauche.
Comment expliquer cette escalade ? L’option sécuritaire n’est pas une réponse à une prétendue montée de la délinquance mais au délitement du tissu social et économique. Le recours à l’option punitive est un moyen pour l’État de reprendre la main en réaffirmant sa souveraineté face à une crise qui le met en échec d’autant plus crûment que les politiques économiques échappent à son contrôle en s’internationalisant.
L’autoritarisme est ainsi le pendant de la libéralisation de l’économie et de l’érosion de l’État providence que connaissent nos sociétés occidentales depuis la fin de la période keynésienne. Il est le versant obscur de la mondialisation du capitalisme.

À quoi bon en finir avec la monnaie unique ? Débat entre Jacques Sapir et Xavier Ragot à l'Ecole Normale Supérieure.


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06.05.2015

Quatre ans après le début de la crise des dettes souveraines, la pérennité de la monnaie unique demeure précaire, et son existence même sujette à caution. Le risque de déflation toujours présent, et le lancement d’un programme ambitieux de rachat d’obligations souveraines par la Banque Centrale Européenne, montrent que la crise est loin d’être dernière nous et que le risque d’implosion persiste.
Cette conférence se fixe pour objectif de dresser un premier bilan de la réponse qui a été apportée à la crise et d’aborder avec lucidité, pragmatisme et ouverture d’esprit les problèmes persistants de la zone euro.
S’agit-il d’incompatibilités structurelles, prouvant par l’absurde l’erreur historique de l’union monétaire ? Ou plutôt de freins au bon fonctionnement de la zone, qu’il s’agirait d’éliminer progressivement avec les avancées de l’intégration ?
Déséquilibres de compétitivité, politique monétaire, monnaie unique, mécanismes de stabilité, union bancaire, harmonisation fiscale : toutes ces dimensions seront au cœur des débats. En tête, une seule question : la zone euro a-t-elle un avenir ; et, si tel est le cas, à quoi ressemblera-t-il ?

Quelle trajectoire de la France dans des temps incertains ? Avec Michel Drac pour Kernews.


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08.01.2016

Le système a atteint ses limites, tout le monde le sait. Comme le ferait un mathématicien, peut-on analyser la trajectoire de la France d’après une triangulation à partir de sa politique étrangère, sa politique économique et sa politique intérieure ?
Tel est l’exercice auquel s’est attaché Michel Drac dans son dernier livre, dans lequel il nous invite à envisager la France d’après l'effondrement, en estimant qu’il sera plus intéressant pour les français de vivre après la France, que de vivre avec la France d'aujourd'hui.

L'effondrement qui vient. Avec Pablo Servigne aux Rencontres Déconomiques.


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2015

Un nombre croissant d’auteurs, de scientifiques et d’institutions annoncent la fin imminente de la civilisation industrielle telle qu’elle s’est constituée depuis plus de deux siècles. Pourquoi est-il devenu si difficile d’éviter un tel scénario ?
En évitant toute posture pessimiste ou optimiste, Pablo Servigne décortique les ressorts d’un possible effondrement et propose un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet fort inconfortable.
L’effondrement est-il l’horizon de notre génération ? Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer et à vivre…

Crise de et dans l'Union européenne : l'Europe par la dette. Avec Pierre-Yves Rougeyron à l'Université d'automne du Mouvement Politique d'Emancipation Populaire.


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03.11.2012

Pierre-Yves Rougeyron nous explique comment la France, petit à petit, a perdu sa souveraineté monétaire et a été mise en esclavage par la dette. Il montre comment l'élite des hautes fonctionnaires a renoncé à l'indépendance de la Nation française et à son âme. 
Cette histoire est une suite de manipulations successives, organisées et pilotées pour ne profiter qu'aux seules banques privées. Grâce à la loi du 3 janvier 1973 et aux textes européens qui l'entérienent, la France a été conquise sans bruit, sans une balle tirée et sans aucune résistance : chaque semaine, ce sont 4 nouveaux milliards, empruntés par l’État pour payer retraites, salaires et aussi... intérêts de la dette, qui s'ajoutent aux 1700 milliards déjà dus, alors qu'au même moment 800 emplois industriels sont détruits chaque jour. 
Aurions-nous affaire à la pire trahison de l'Histoire de France ?