Jean Charles Coovi Gomez clarifie 5 questions historiques majeures restées jusqu’ici sans appréciation rationnelle :
1- l’origine des "Sémites" en général et du peuple juif en particulier.
2- l’initiation d’ABRAHAM, l’ancêtre éponyme du peuple juif, par le grand prêtre MELCHISEDECH à Canaan et en Égypte, puis celle de JOSEPH par PUTIPHAR suivie de l’élucidation de la nature des contacts entre les Noirs Égyptiens et les peuplades sémitiques infiltrées dans la vallée du Nil.
3- le prétendu "esclavage" des Juifs en Égypte et l’instrumentalisation qui en a été faite dans les commentaires rabbiniques puis dans la littérature patristique pour justifier, à posteriori, par le biais de la "malédiction noachique", la Traite négrière européenne et la colonisation.
4- le rôle des banquiers Juifs actionnaires et bénéficiaires de la Traite négrière européenne et l’implication active des pôles hollandais et italiens dans le flux et le reflux du trafic de la chair humaine entre l’Afrique, l’Europe et le "Nouveau Monde".
5- le réinvestissement des sur-profits amassés grâce à la Traite des Nègres dans le développement du machinisme et par suite dans la révolution industrielle qui à son tour, impliquait la conquête coloniale.
Un point de vue intéressant qui s'efforce de rétablir, sans complaisance aucune, la vérité historique.
Jean-Paul Demoule nous donne une introduction à l'un des événements les plus important de l'histoire de l'humanité : la "révolution néolithique".
Cette période aura vu naître l'agriculture, la sédentarisation et la spécialisation du travail, mais aussi l'avènement de formes de domination institutionnelles qui précèdent l'Etat.
Un moment important à connaître.
Etienne Klein commence par exposer les différentes implications de la découverte du Boson de Higgs, notamment en ce qui concerne les questions de l'origine de l'univers, du temps et des relations masse/substance.
Jean-Pierre Dupuy continue en présentant le concept d'auto-transcendance, soit la saisie d'un point de repère dans l'avenir que nous déterminons par l'action même de ce choix, et les conséquences de cette vision du futur sur la construction de l'histoire.
Le "darwinisme social" de triste réputation est au fond une méprise complète quant à la signification des théories darwiniennes.
Dans "La seconde révolution darwinienne" Patrick Tort développait le concept d'effet réversif de l'évolution, qu'il reprend dans "L'Effet Darwin", et entreprend de montrer comment les principes de l'évolution ne sauraient être résumés en quelques slogans simplistes, en particulier lorsqu'on cherche à les appliquer aux sociétés humaines.
Le véritable darwinisme social est sans doute aux antipodes de ce qu'on a coutume de désigner ainsi.