Voilà 20 ans que la région des Grands Lacs africains, particulièrement la République Démocratique du Congo et le Rwanda, vivent au rythme de guerres, de génocides, de pillages et de trafics en tous genres.
Pourquoi ces conflits et ce chaos indescriptible ? Pourquoi cette tragédie est-elle ignorée des grands médias ? Pourquoi les différentes agressions répétées du Congo et le pillage de ses ressources naturelles par les armées rwandaise et ougandaise n’ont-elles jamais été sanctionnées par la "communauté internationale" ? Pourquoi les différentes résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU sur le pillage du Congo ne sont jamais suivies d’effet ? Pourquoi les différentes tentatives politiques pour mettre fin au carnage en cours dans ce pays, depuis près de deux décennies, n’ont jamais abouties ?
Se fondant sur une parfaite connaissance de la région des Grands Lacs africains, Charles Onana Patrick Mbeko brossent un tableau documenté de la situation qui nous permet de comprendre la réalité de l’effroyable tragédie qui déchire cette région.
Un entretien qui jette une lumière crue sur l'arrivée au pouvoir de François Mitterand en 1981. Ces années révèlent le rôle que le Parti Socialiste a joué dans la mise en place de l'idéologie néolibérale.
Les années 80 ou le remplacement d'une vielle bourgeoisie par une nouvelle classe gestionnaire branchée !
Comment, en l'espace de trente ans, le Parti socialiste et le monde ouvrier sont-ils passés de l'amour fou au mépris ?
Bertrand Rothe nous explique pourquoi, en 1981, 70 % des ouvriers avaient contribué à la victoire du PS, alors que c'est aujourd'hui le FN qui est qualifié de "premier parti ouvrier de France".
Depuis cette date, au fil des choix politiques engagés par les hiérarques du PS, et des réactions plus ou moins avisées des représentants de la classe ouvrière, le couple, de plus en plus mal assorti, doit faire face à l'effondrement du monde communiste, à l'arrivée de la "deuxième gauche", à la montée du chômage et à la conversion des socialistes à l'Europe, au libéralisme et à la société postindustrielle.
Les noms de François Mitterrand, Jacques Delors, Laurent Fabius, Pierre Bérégovoy, Dominique Strauss-Kahn, Lionel Jospin et François Hollande, entre autres, marquent les étapes de ce désamour, de l'abandon au mépris.
M. Raffard de Brienne retrace les conditions de création de SOS Racisme et l’histoire de cette association subversive.
En effet, SOS Racisme est une officine créée et financée par le parti socialiste en vue de la destruction de l’identité française et l’acceptation par la force d’une immigration pléthorique.
Et même si SOS Racisme est en perte de vitesse médiatiquement, ses membres se portent bien : ainsi son ancien président est aujourd’hui le numéro un du parti socialiste.
Pour toutes ces raisons, et parce que SOS Racisme vit majoritairement de subventions publiques, exigeons sa dissolution !