Alors que les manuels d'histoire -depuis la fin de la deuxième Guerre Mondiale- nous dépeignent tous un de Gaulle libérateur et volontaire quand Pétain ne serait que collaboration et résignation, plusieurs personnes s'élèvent contre cette interprétation et cherchent à réviser la compréhension que nous avons de cette période troublée de l'histoire de France.
Ce débat rassemble deux contradicteurs qui s'affrontent sur les rôles respectifs du Général de Gaulle et du maréchal Pétain pendant la seconde Guerre Mondiale.
Après une première émission consacrée aux mythes entourant le rôle du général de Gaulle pendant la 2e Guerre Mondiale, Adrien Abauzit revient pour aborder plusieurs sujets qu'il n'avait pas eu le temps de traiter.
Question juive, Service du Travail Obligatoire et Révolution Nationale : ce deuxième volet est un peu plus orienté sur le régime de Vichy proprement dit, et sur le rôle objectif que l'État français a joué pendant cette période troublée de l'histoire de France.
Le travail de réinformation continue.
Adrien Abauzit nous livre le résultat de ses recherches qui portent sur les roles véritables du maréchal Pétain et du général de Gaulle pendant la seconde guerre mondiale.
Sa démonstration s'appuie sur de nombreux ouvrages rédigés par des témoins directs et d'anciens acteurs importants de cette période.
Cette analyse suscitera le débat, car le mythe de la France résistante rangée derrière de Gaulle pour combattre l'infâme régime collaborationniste reste encore intacte !
Pierre de la Coste, homme au parcours complexe et varié, témoin privilégié des coulisses du pouvoir de la 5ème République et observateur des évolutions de notre modernité tardive, vient nous exposer son essai "Apocalypse du progrès" dans lequel il remet en cause le sens de l’évolution technologique.
La sortie de ce livre est également un prétexte pour aborder d'autres thèmatiques, comme l'appartenance de la France à l’UE et à l’Euro, la liberté d'expression ou la question de l'impérialisme américain.
Étudiant en lettres, section histoire romaine, Gabriele Adinolfi a débuté ses activités politiques durant les mouvements étudiants de la fin des années 1960. En 1968, il rejoint le Mouvement social italien (MSI), dans sa section "Filippo Anfuso" de Rome.
Exilé de son pays d'origine pendant de longues années, il a continué à mené une réflexion politique ancrée dans le leg de l'expérience fascite italienne.
Sa vision du monde a le mérite de s'opposer frontalement à la logique capitaliste néoliberale, qui reste le seul et vrai impérialisme aujourd'hui.
Une conversation radicale et hors des sentiers battus.
Alain Soral, l’essayiste le plus connu de la mouvance dissidente, adulé par les uns et honni par les autres, marque l’époque par ses analyses et ne laisse personne indifférent.
De l’UPR à Moualek en passant par Marine Le Pen et toutes les autres polémiques, il répond à tout avec sincérité, et sans langue de bois.
La cohérence de son discours et de son action sur la longueur ont enfin l'air de porter leurs fruits. Par son travail, il a notamment contribué à réintroduire une idée de la France chez des gens qui en avaient été privés.
Alain Soral : gauche du travail et droite des valeurs, pour une réconciliation nationale !
Gilles Lartigot auteur de l’ouvrage "EAT" nous donne un aperçu des techniques catastrophiques utilisées par l’industrie agro-alimentaire.
Il nous donne des pistes pour transformer notre alimentation vers une consommation plus saine privilégiant la qualité des aliments et des préparations culinaires.
Une rencontre entre résistance et survivalisme.
C'est à un véritable retour aux sources de l'agriculture comme fondement de la civilisation humaine que nous avons droit tout au long de cet entretien avec Claude et Lydia Bourguignon.
Une entrevue enrichissante sur l'état de l'agriculture française et les solutions à mettre en œuvre pour surmonter le défi d'arriver à l'auto-suffisance alimentaire.
La France est devenue un pays importateur de denrées alimentaires à cause des mesures libérales qui ont contraint le secteur de l'agriculture à entrer en concurrence avec des pays ou les salaires sont très bas et ne supportant pas les mêmes normes et obligations sanitaires.
L'agriculture française est en perdition et le suicide constant des personnes dans cette profession n'inquiète pas les autorités qui sont soumises aux règles édictées par Bruxelles dans le cadre de la Politique Agricole Commune.
Un retour aux sources serait salutaire pour le futur des prochaines générations qui hériteront des sols contaminés et d'une agriculture aux mains des grandes multinationales qui auront transformé les agriculteurs et les consommateurs en esclaves modernes.