En 2017, le Pouvoir gouverne toujours par le chaos et le pilotage de la guerre de tous contre tous. Autrement dit, le Pouvoir ne fait plus la guerre directement, mais il veut nous faire faire la guerre à sa place, c’est-à-dire qu’il cherche à nous entraîner au moyen d’appâts dans des conflits dont il sera le chef d’orchestre inapparent. Application systématique d’un "diviser pour régner" furtif, ni vu, ni connu.
Pour ne pas se laisser hameçonner et entraîner de manière subliminale dans des conflits triangulés, un travail de ré-information est nécessaire. La notion de ré-information, qui succède à l’information et à la désinformation, est bien connue, mais pourquoi parler de "ré-information active" ? Parce que, dans un premier temps, la ré-information est seulement "défensive". On se ré-informe en partageant des informations entre gens qui pensent la même chose. Or, ce n’est plus suffisant aujourd’hui et il faut passer à la vitesse supérieure : chacun doit devenir lui-même un agent actif de ré-information autour de lui, dans la famille, chez les amis, au travail, sur les réseaux sociaux.
Il faut devenir un agent d’influence, un spin doctor, en se formant aux méthodologies de retournement de l’opinion et d’ingénierie sociale appliquées dans les think tanks. Cela revient à fonctionner sur le mode du réseau de Renseignement, comme le font les lobbies et les sociétés de pensée, qui ont quelques longueurs d’avance sur le bon peuple, peu habitué à ce qui ressemble fort à une double vie et à des relations empreintes de faux-semblants. Mais nous n’avons pas le choix : reprendre le pouvoir se fera dans l’institution, en élaborant une vraie stratégie d’infiltration du Système et de contamination virale et capillaire.
Ce second atelier a pour objectif de poursuivre une dynamique stimulante de passage à l’action, appuyée sur l’observation des bonnes pratiques de communication qui permettent de se réarmer mentalement, et surtout de réarmer notre entourage afin de gagner la guerre culturelle, au sens de Gramsci, qu’on appelle aussi guerre de l’information, guerre psychologique, guerre cognitive.
Le but final est simple : imposer notre hégémonie culturelle pour endiguer celle du mondialisme et de ses diverses facettes morbides. Concrètement, localement, appliqué au cas français, cela signifie en finir totalement avec la pensée libérale-libertaire issue de Mai 68 et donc de "dé-soixante-huitariser" définitivement les esprits, au nom de la lutte contre le capitalisme et ses dérives transhumanistes.
N’attendez plus, ré-informez !
Méridien Zéro nous propose une émission à la confluence de la philosophie et de la gestion des organisations.
Baptiste Rappin, universitaire, spécialiste des questions de la cybernétique et du management, auteur de Heidegger et la question du Management ainsi que de Au Fondement du Management (éditions Ovadia), est reçu pour traiter du formidable outil de contrôle social que représente le management.
À la barre et à la technique, Jean-Louis Roumégace.
Dans tous les domaines, les réseaux Open Society veulent changer le monde et y parviennent en partie depuis plus de 40 ans. Du "capitalisme inclusif" à l' "uberisation" du travail, des campagnes pour la "transparence des Etats" à la soi-disant lutte contre la corruption, de la mondialisation financière à l'anarchie migratoire, du reformatage civilisationnel aux lois et à la propagandes anti-familles, de la guerre des monnaies à la spoliation des populations, des lois de surveillance généralisées à la déstabilisation par le terrorisme, de l'ingéniérie sociale et sanitaire à la géoingénierie environnementale, les réseaux Open Society nous ont déclaré la guerre.
Connaître son adversaire est primordial si nous voulons défendre un avenir pour nos enfants et notre civilisation. Laurent Ozon nous fait ici un exposé de la situation et répond ensuite aux questions du public.
Les guerres irrégulières, guérillas et terrorismes, ont grandement contribué à transformer le monde de la seconde partie du XXe à nos jours.
Depuis le retrait du Vietnam, le bilan militaire de la puissance américaine et de ses alliés occidentaux est sans conteste négatif : conflits coûteux, résultats militaires médiocres, conséquences politiques désastreuses.
Comment pouvons-nous expliquer ce déclin ?
La crise économique de 2008 n'a toujours pas été résolue, et ne le sera probablement jamais. En partant de ce donné, que pouvons-nous attendre de la part des classes dirigeantes ?
La stratégie de la tension, comprise dans un sens assez large, est une réponse classique en période de déclin économique. Il importe donc d'en comprendre les mécanismes pour se prémunir des comportements qui seront attendus de nous lorsque les événements traumatisants surviendront.
Quatre mois avant de démarrer ces chroniques, Alban Dousset était un "brave type". Il se figurait (naïvement) que le combat politique gauche/droite était le combat réel entre "plus de justice sociale" et "plus d’individualisme". Ou, le combat du "progressisme-laïque" avec les pauvres-lucides alliés aux riches généreux contre le "conservatisme-religieux-réactionnaire" avec des pauvres-idiots/xénophobes/religieux alliés aux riches cupides/xénophobes/religieux : le théâtre politico-médiatique offert en pâture à la populace.
Mais en décembre 2013, l’affaire Dieudonné éclata après la quenelle d’Anelka. En très peu de temps, le monde politico-médiatique en avait fait le diable en personne - un ennemi public.
Cet épisode a inauguré le processus de prise de conscience qui a amené Alban Dousset à s'interroger sur un grand nombre de sujets qui, après investigation, n'offraient plus la même image qu'avant.
De la fabrique de l'information dans les média au fonctionnement de l'Union européenne, des méthodes d'ingénierie sociale aux théories monnétaires, c'est l'histoire d'un éveil citoyen qui nous est ici conté.
Partir du présent pour juger le passé au lieu de le comprendre, voilà ce qu’est l’historiquement correct. L’histoire devient un écran où se projettent nos passions contemporaines, où l’on multiplie anachronismes et jugements de valeur.
Cette émission, à la suite du livre de Jean Sévillia, entend remettre les pendules à l’heure en rappelant des faits oubliés ou dissimulés et les mécanismes de manipulation historique tels qu'utilisés par les pouvoirs en place (notamment le pouvoir médiatique).
On verra ainsi que le mal n’est pas toujours où l’on dit, le bien pas toujours où l’on croit, et la manière dont nous pouvons apprendre à nous prémunir de ces manipulations.
Une émission menée par Jean Ferré.
Qu'est ce que la cybernétique ? Comment cette science du contrôle est-elle née et quelles en sont les conséquences concrètes ?
Nathanaël Leroy, spécialiste du domaine, nous montre comment les technoilogies de contrôle se mettent en place et indique des moyens concrets de résistance pour lutter contre les tendances liberticides du cybercapitalisme.