Le modèle suisse et l'esprit de la démocratie directe. Avec David L'Epée sur le LibreTeamSpeak.


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15.01.2012

Alors que la France et l'Union européenne souffrent d'un déficit démocratique manifeste, le modèle suisse, avec ses outils de démocratie directe et ses instances de pouvoir décentralisées, pourrait constituer un modèle alternatif intéressant.
David l'Epée, intellectuel et citoyen helvétique, vient nous présenter le système politique de son pays et nous propose une réflexion sur l'esprit qui anime ses institutions.

Islam sunnite et islam chiite, une guerre de religions. Avec Antoine Sfeir à l'espace Les Champs Libres.


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19.01.2013

Lorsque les observateurs occidentaux se penchent sur l’Orient, ils commettent fréquemment une erreur en lisant les événements égyptiens, syriens, iraniens ou irakiens à travers la grille "démocrates contre intégristes".
Selon Antoine Sfeir, ce partage n’est pas pertinent. La vraie ligne de fracture qui divise le monde arabo-islamique est celle, fort ancienne, qui sépare les deux branches de l’islam, à savoir le sunnisme et le chiisme.
Mais qu’est-ce qui distingue l’un de l’autre ? Et comment comprendre cette "guerre de religions" qui dure depuis treize siècles ?

Quel avenir pour le processus de paix au Moyen-Orient ? Débat entre Jacob Cohen et Charles Meyer sur Enquête&Débat.


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2010

Alors que la résolution du conflit israélo-palestinien semble toujours plus improbable, Jacob Cohen et Charles Meyer débattent de la question et des remèdes possibles à y apporter.
Leurs points de vue radicalement différents donnent lieu à un débat viril, qui s'apparente parfois à un dialogue de sourds. Cela permet en tout cas de mesurer la difficulté d'arriver à un consensus en la matière.

Mexique : 200 ans de complots anti-catholiques. Avec Alain Sanders sur Radio Courtoisie.


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22.06.2014

Si nous devions nous souvenir d'un seul pays où la franc-maçonnerie aurait combattu de front l'église catholique, il s'agirait du Mexique !
De la laïcisation forcée du pays jusqu'à la guerre des Cristeros, les petites gens (souvent catholiques) ont beaucoup souffert des assauts répétés de l'état libéral et des ingérences américains, et ce pour conserver la pratique de leur religion.
Cette émission nous enseigne une double leçon : d'abord d'histoire politique, et ensuite de resistance populaire.
Que celui qui a des oreilles pour entendre...

De Gaulle, la grandeur et le néant. Avec Dominique Venner aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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10.11.2004

Alors que tout semblait avoir été dit sur de Gaulle, Dominique Venner se propose d'analyser la part de responsabilité du général dans la mort de notre nation, sa transformation en société anonyme réduite à un marché, de surcroît envahie et profanée.
La thèse qu'il propose se résume ainsi : le rêve de grandeur personnel du premier président de la 5e République s'est souvent retourné contre la nation qu'il était censé incarner.
La santé d'une nation se juge à l'énergie vitale de son peuple, à sa cohésion et à la conscience forte de son identité. Et l'honnêteté nous oblige à dire que le Général, à l'heure de son départ, a laissé le pays exsangue.
Au-delà du mythe, que reste-t-il de De Gaulle ?

Dominique de Roux : approches d'un aventurier littéraire et politique. Avec Pierre-Guillaume de Roux, Julien Meynaut et Olivier François sur Méridien Zéro.


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04.07.2014

L'émission est consacrée à la vie d'une figure contemporaine et trop méconnue de la littérature : c'est le grand passeur et écrivain Dominique de Roux dont il est question, cet aventurier aux goûts artistiques éclectiques et aux engagements politiques affirmés qui changea le paysage littéraire français de la deuxième moitié du XXe siècle.

L'émission est menée par Gérard Vaudan.

Peut-on réinventer l'école ? Avec Marcel Gauchet et Philippe Meirieu au Théâtre des idées du Festival d'Avignon.


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13.07.2010

L'école est devenue la chambre d'écho des problèmes moraux, la caisse de résonance de la casse sociale, l'amplificateur des révolutions qui s'accomplissent à l'intérieur des maisons et derrière les écrans de télévision. Autorité contestée, tyrannie de l'immédiateté, ennui, apathie, décrochage ou phobie scolaire, incivilité et désenchantement face à une société où pistons et relations semblent compter davantage que les parcours exemplaires.
Loin d'être à l'abri du bruit du monde, l'école bénéficie de la modernité tout en subissant de plein fouet les métamorphoses de ce que l'écrivain Michel Leiris appelait la "merdonité". Et nombre d'enseignants ont l'impression que la société défait le soir après la classe ce qu'ils ont patiemment tenté d'élaborer dans la journée. Le sentiment d'appartenance à un projet qui transcende les individualités s'est évaporé. Le sens du "nous" s'est dispersé. Comment l'école peut-elle fédérer une collectivité à l'ère de l'entre-soi tribal et de l'individualisme intégral?
La famille, ensuite, a largement cessé d'être l'alliée naturelle de l'école. La cellule structurante de l'enfant se décharge souvent de sa fonction éducative sur l'institution publique. Autrefois convergentes, les deux instances sont passées de la connivence à la discorde.
Autre signe des temps : le sens des savoirs scolaires s'est diffracté et un mouvement de "désintellectualisation" gagne une frange de l'Europe, pourtant construite sur la culture humaniste.
Ce constat ne doit pourtant pas conduire à une rhétorique de la déploration, ni au recours à l'incantation d'un passé mythifié.
Comment redonner du sens à la scolarité et aux disciplines enseignées ? Comment retrouver le plaisir des apprentissages ?
Tels sont les défis pédagogiques de cet entretien croisé entre deux intellectuels soucieux du devenir de l'école publique.

Le sac du Palais d’Eté de Pékin (Octobre 1860). Avec Bernard Brizay sur Canal Académie.


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11.05.2006

Les 7 et 8 octobre 1860, le fabuleux Palais d’Eté de Pékin, le Versailles chinois, est pillé par les Français et les Anglais, au terme d’une expédition militaire destinée à ouvrir la Chine au commerce occidental... et surtout à l’opium que les Anglais produisent aux Indes ! Dix jours plus tard, sur ordre de Lord Elgin, il est incendié en représailles aux tortures et à la mort de prisonniers, otages des Chinois.
Pour la Chine -et pour le patrimoine de l’Humanité-, la perte est immense, incalculable, irréparable. Le Palais d’Eté, le Yuanming yuan (qu’il ne faut pas confondre avec l’actuel Palais d’Eté de Pékin) était une des merveilles du monde. Il abritait en outre une extraordinaire collection d’œuvres d’art, amassée sur cent cinquante ans, et une inestimable bibliothèque. Tout fut pillé ou brûlé.
Nous devons garder à l'esprit que l'Empire du Milieu n'a, lui, jamais oublié cet épisode tragique de son histoire. Est-ce à dire qu'il alimenterait toujours une volonté de revanche dans la compétition qu'il existe aujourd'hui -de fait- entre la Chine et le monde occidental ?