M. Raffard de Brienne retrace les conditions de création de SOS Racisme et l’histoire de cette association subversive.
En effet, SOS Racisme est une officine créée et financée par le parti socialiste en vue de la destruction de l’identité française et l’acceptation par la force d’une immigration pléthorique.
Et même si SOS Racisme est en perte de vitesse médiatiquement, ses membres se portent bien : ainsi son ancien président est aujourd’hui le numéro un du parti socialiste.
Pour toutes ces raisons, et parce que SOS Racisme vit majoritairement de subventions publiques, exigeons sa dissolution !
- Sommes-nous en démocratie ? La Suisse est-elle plus démocratique que la France ?
- Le Référendum d’Initiative Populaire permettra-t-il de changer de régime ? et suffit-il à nous protéger des abus de pouvoir ?
- A quelle échelle (Commune, Fédération, etc.) doit être traitée une loi ?
- Qu’est-ce qui a rendu possible l’existence du RIP et de la Démocratie Directe (encore présente dans deux cantons) en Suisse ?
- Le revenu de base s’accompagnerait-t-il d’un changement de paradigme politique ?
A l'opposé d'un monde moderne dominé par une grande homogénéisation et ce dans l'ordre du social, de l'économie ou du politique, ce dont rend bien compte les grandes institutions qui se sont constituées au siècle dernier, nombreux sont les indices actuels qui soulignent une, non moins importante, hétérogénéisation.
L'émergence, dans tous les domaines, des "tribus" postmodernes, en témoigne. Reposant sur une sorte "d'affinité élective", celles-ci mettent l'accent sur le sentiment d'appartenance. Une telle fragmentation des sociétés mérite attention en ce qu'elle est, peut-être, l'annonce d'un idéal en gestation : celui d'un nouvel "idéal communautaire".
Une introduction à gallicanisme, soit la doctrine défendant les libertés de l'Église catholique en France contre le centralisme de la papauté, traduit par une forte influence du roi de France sur le clergé français.
Communication prononcée lors du colloque organisé pour commémorer le centenaire de la loi 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat.
Une présentation du parcours et de l'oeuvre d'Édouard Berth, disciple de Georges Sorel, théoricien et acteur majeur du syndicalisme révolutionnaire.
Son parcours fut original : formmé à l’école de Proudhon et de Marx, admirateur des valeurs héroïques de l’Antiquité, il participa aux côtés de Georges Valois à l’aventure du Cercle Proudhon, et fut successivement séduit par Maurras et Lénine, qu’il entreprit ensuite de critiquer vigoureusement.
Marion Sigaut nous propose d'étudier la guerre intestine à l'Eglise de France entre les jésuites, représentant l'Eglise traditionnelle, et les jansénistes, incarnant une sorte de protestantisme qui n'aurait pas rompu avec Rome.
C'est la compréhension du siècle de Louis XV qui est ici en jeu : cette période ne peut en effet être comprise sans analyser les conflits qui opposèrent le pouvoir judiciaire (janséniste) et le pouvoir royal.
L'identité de la France est aujourd'hui attaquée sur le plan physique (dénatalité, immigration), morale ("la France est un conglomérat" et non un territoire ni une langue ni un peuple, culture de repentance), sur le plan institutionnel (droit européen) et sur le plan économique (désindustrialisation).
La lame de fond qui déferle sur la France a un nom : le mondialisme.
Comment comprendre les attaques sur la souveraineté française ? Comment y réagir ?