Pierre-Yves Rougeyron : grand entretien pour le Bréviaire des Patriotes.


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03.2015

Comme à son habitude, Pierre-Yves Rougeyron, pour le Bréviaire des patriotes, revient sur l'actualité du mois précédent.
De l'analyse des résultats des élections départementales 2015 à l'affaire RATP/Chrétiens d'Orient, en passant par les projets d'armée européenne ou la question kurde, Pierre-Yves Rougeyron nous dresse un tableau de l'état de la France dans le monde contemporain.

La vision chrétienne de l'écologie. Avec Patrice de Plunkett sur Canal Académie.


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09.11.2008

"Catho" rimerait-il avec "écolo" ? Si l'on en croit Patrice de Plunkett, journaliste, écrivain et ancien directeur de la rédaction du Figaro magazine, les chrétiens qui se mettent au vert seraient une espèce en voie d'apparition !
Otage de manipulations partisanes qui font d'elle le prétexte à un progressisme forcené, l'écologie est généralement mal perçue dans l'univers catholique.
Patrice de Plunkett nous invite à dépasser cette appréciation à courte vue : l'attention portée à la nature se rattache fondamentalement à l'héritage biblique et à l'enseignement des papes.

La Gauche du Capital. Avec Charles Robin, Alain de Benoist et David L'Epée à Montpellier.


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05.12.2014

À la suite de Jean-Claude Michéa, Charles Robin, qui a milité dans le passé au Nouveau parti anticapitaliste (NPA), invite à remonter aux sources du projet libéral afin d’en saisir la genèse intellectuelle.
Il montre en quoi l’individualisme économique qui définit le modèle anthropologique de la droite rejoint une conception de l’individu dont le cadre d’épanouissement serait fourni par la société "plurielle" et "progressiste" tant célébrée par la gauche et l’extrême gauche. Il explique du même coup pourquoi la gauche privilégie désormais le "sociétal" au détriment du social, sans souci des catastrophes engendrées dans les classes populaires par l’application forcenée des principes du Marché.
Olivier Besancenot et Laurence Parisot, même combat!
Seule la prise en compte de ces deux "faces" du libéralisme permet de saisir le rôle essentiel du discours culturel de la gauche dans le processus de domination capitaliste marchand.

L'homme sans liens. Avec Pierre-Yves Rougeyron au Cercle Aristote.


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10.11.2014

L’anomie de nos sociétés est aujourd’hui un fait sinon largement admis du moins globalement constaté avec une sorte de trépignement qui peut inquiéter. Ces germes de pourrissement social attirent à intervalles réguliers tout ce que la France et les sociétés dites avancées possèdent comme faune sociologique, entomologistes sociaux et autres inspecteurs de dépôt de bilan civilisationnel. Il y a quelque chose d’impudique – comme un fantasme de ruine – à contempler la tragédie avec gourmandise en priant de pouvoir abaisser le puce comme dans les arènes romaines devant la grande curée terminale censée emporter notre communion humaine dégradée en vulgaire vivre-ensemble.
C’est de cet homme délié car déraciné et par la même désincarné que Pierre-Yves Rougeyron nous esquisse ici un portrait.
Délié face à ses semblables, face à tout destin collectif, il est désorienté dans le temps et de l’espace ; venu de rien, il n’entend aller nulle part. Déraciné car ne pouvant plus avoir de rapport à la terre et aux morts ; inapte à se figurer dans une société qui, comme l’avait souligné Auguste Comte, est faite de "plus de morts que de vivants". Désincarné car ce qui fait de nous des êtres charnels, c’est ce qui nous distingue de l’autre à l’échelle individuelle, comme notre peau, ou à l’échelle collective, comme les clans, les nations, les frontières.
Comment en sommes-nous arrivés là ?

Éloge des frontières. Avec Régis Debray pour l'association Présence et Action Culturelles à Bruxelles.


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03.12.2010

En France, tout ce qui pèse et qui compte se veut et se dit "sans frontières".
Et si le sans-frontiérisme était un leurre, une fuite, une lâcheté ?
Partout sur la mappemonde, et contre toute attente, se creusent ou renaissent de nouvelles et d'antiques frontières. Telle est la réalité.
En bon Européen, Régis Debray choisit de célébrer ce que d'autres déplorent : la frontière comme vaccin contre l'épidémie des murs, remède à l'indifférence et sauvegarde du vivant.
D'où un plaidoyer à rebrousse-poil, qui étonne et détonne, mais qui, déchiffrant notre passé, ose faire face à l'avenir