L'identité malheureuse. Avec Alain Finkielkraut au Centre Universitaire Méditerranéen à Nice.


(0)
1090 Vues
0 commentaire
19.11.2014

Le philosophe Alain Finkielkraut poursuit sa confrontation passionnante avec la modernité.
Sur les questions de l’identité nationale, de l’immigration et de la laïcité, de l’école, du style de vie, de l’inégalité des civilisations, des mœurs, il tient un discours qui tranche avec la bien-pensante ambiante et qui nous aide à comprendre les grandes enjeux de notre temps.

L'actualité sans langue de bois ! Avec Adrien Abauzit sur Méta TV.


(0)
1251 Vues
0 commentaire
03.03.2015

Identité et devenir de la France, immigration, tutelle de l'Union européenne : Adrien Abauzit -avocat, conférencier et essayiste- nous présente ses analyses.
Sa grille de lecture additionne le point de vue catholique traditionnel et la vision d'une France rattachée à sa mission historique de fille aînée de l'Eglise.
Un franc-parler qui détonne au sein de la "dissidence".

La France d'hier et d'aujourd'hui. Avec Eric Zemmour et Alain Duhamel à Répliques sur France Culture.


(0)
1094 Vues
0 commentaire
10.01.2015

La France est malade. Il semblerait qu'aux problèmes économiques nés de la crise de 2008 vienne se surajouter un sentiment étrange de malaise identitaire.
Comment l'expliquer ? D'où vient-il et est-il envisageable de penser un retour à la normal ?

Turgot ou les Lumières au pouvoir. Avec Marion Sigaut à Reims.


(0)
1250 Vues
0 commentaire
07.02.2015

Marion Sigaut nous propose une conférence sur Turgot, contrôleur général des finances de Louis XVI, ayant joué un rôle clé dans l’essor du libéralisme en France pendant le XVIIe siècle.

Vive la faillite ! Avec Michel Drac chez E&R Alsace à Strasbourg.


(0)
1323 Vues
0 commentaire
30.11.2014

Alors que le contexte économique international semble toujours plus incertain, il est intéressant de s'interroger sur la place que la France occupe au sein de l'économie-monde, avec ses avantages et ses faiblesses.
Après avoir livré un état des lieux, Michel Drac tente d'imaginer les scénarii d'évolution possibles et leurs conséquences les plus plausibles, sans oublier qu'elles seront grandement conditionnées par des ruptures qui ne sont pas prédictibles.
En effet, les tendances économiques lourdes, tout comme les psychologies collectives, suivent des évolutions relativement linéaires. Ce n'est pas le cas des comportement des classes dirigeantes, qui conditionnent pour une part non négligeables le déroulement de notre futur, et qui restent très difficiles à anticiper.
Un exposé magistral pour comprendre la marche de nos économies.

Néolibéralisme(s). Avec Serge Audier sur France Culture.


(0)
1244 Vues
0 commentaire
03.03.2012

Pour beaucoup, le néo-libéralisme constitue le phénomène majeur de notre temps. C’est lui qui donnerait la clé de la crise économique et financière, des nouvelles formes de management, ou encore de la "privatisation du monde". Il est pourtant difficile d’y voir clair à travers cette notion. Le néo-libéralisme, est-ce le "laisser-faire" ou bien l’avènement d’un Etat fort au service de la concurrence ? S’agit-il d’un modèle hyper-individualiste et libertaire, ou bien d’un nouveau conservatisme normalisateur ?
Pour s’y retrouver, Serge Audier nous propose une généalogie internationale des idées néo-libérales depuis les années 1930, à travers ces moments que furent le Colloque Walter Lippmann (1938) et la Société du Mont Pèlerin (1947). Il montre comment la crise du libéralisme, après le krach de Wall Street, a entraîné des révisions et des réaffirmations doctrinales visant à sauver les idées libérales. Mais, loin de toute vision complotiste et linéaire, il soutient aussi que la redéfinition du libéralisme a fait l’objet de conflits féroces entre ceux que l’on appellera les "néolibéraux".
Sur cette base sont établies des distinctions historiques et conceptuelles entre des mouvements que l’on confond trop souvent : le conservatisme, le néoconservatisme, le libertarisme et le néolibéralisme.
Emission "La suite dans les idées".

L'imposture du génocide vendéen, par Philippe Landeux.


(0)
1837 Vues
0 commentaire
26.10.2014

La Vendée, un fratricide, un drame national ! Ce n’est pas assez ! Certains y voient un génocide, le premier génocide de l’histoire moderne, perpétré par des idéologues au nom de la Révolution, matrice de tous les totalitarismes. Pas moins !
Il est vrai qu’au mois de mars 1793, alors que la jeune République française (née le 22 septembre 1792) s’apprête à entamer sa première campagne de guerre — une guerre contre toute l’Europe, dans laquelle la France a été plongée au mois d’avril de l’année précédente par les Girondins et la Cour —, il est vrai que c’est alors qu’une large part de la population des départements de l’Ouest, en majorité paysanne, se soulève ; elle refuse de marcher à l’ennemi commun ; elle s’oppose au recrutement ; elle s’arme contre les villes, contre les gens des bourgs, contre les républicains ; elle massacre les patriotes locaux.
Que cette fureur soit justifiée ou non, la République n’a pas le choix, et doit faire face, comme le ferait n’importe quel régime dans pareille situation. Mais comment réagit-elle ? A-t-elle fait son devoir ou est-elle allée bien au-delà ? Pragmatisme ou fanatisme ? C’est là toute la question, tout le débat. Et la réponse est dans les décrets de la Convention nationale, dans les arrêtés du Comité de salut public, dans la correspondance des représentants en mission.

Maximilien Robespierre. Avec Henri Guillemin sur France Culture.


(0)
1627 Vues
0 commentaire
1970

On pourrait voir la trajectoire d'un Robespierre comme celle d'un mystique assassin ; et, comme le disait très bien Mathiez, d'un certain côté on lui eût presque pardonné la Terreur, mais l'Être suprême, jamais.
Il est temps de rétablir la vérité historique sur ce personnage emblématique dont le destin est confondu avec celui de la Révolution française.