L'intellectuel dissident bien connu des internautes répond à plusieurs questions qui lui ont été posées :
- La situation Palestinienne
- L’ananassurance ou la dissidence jusqu'au bout
- Kim et Mhedy, la réconciliation antifa/faf en direct ?
- Marine Le Pen : stratégie ou épicerie ?
- Le transhumanisme
- Le bitcoin
- La scène musicale aujourd’hui ?
- Un retour à la monarchie en France ?
- Le centenaire de la Grande Guerre
- Chemtrails, théories du complot, etc...
- Mind Kontrol
- Coupe du monde
- François Asselineau ?
- Des projets pour la rentrée ?
- Soral au pouvoir !
- Soral millionnaire ?
- Dernières sorties Kontre Kulture : "Grandeur de l'Islam" et "Le commando de Hebron"
L'Union Européenne traverse aujourd'hui une crise. Son modèle est en effet unique au monde, mais sa légitimité et son avenir sont en question.
Les citoyens de se vaste ensemble politique doivent s'interroger sur la nécessité de continuer le processus d'unification des peuples du continent ou d'arrêter cette démarche entamée depuis les années 1950.
François Asselineau, fidèle à ses habitudes, procède à une déconstruction implacable des arguments européistes et plaide pour le retour à l'Etat-nation français souverain, alors que Yann Moulier-Boutang parie sur le dépassement des égoïsmes nationaux par la mise en place d'un fédéralisme européen réel.
Deux positions irréconciables pour un débat passionné et passionnant !
Alain Soral, l’essayiste le plus connu de la mouvance dissidente, adulé par les uns et honni par les autres, marque l’époque par ses analyses et ne laisse personne indifférent.
De l’UPR à Moualek en passant par Marine Le Pen et toutes les autres polémiques, il répond à tout avec sincérité, et sans langue de bois.
La cohérence de son discours et de son action sur la longueur ont enfin l'air de porter leurs fruits. Par son travail, il a notamment contribué à réintroduire une idée de la France chez des gens qui en avaient été privés.
Alain Soral : gauche du travail et droite des valeurs, pour une réconciliation nationale !
Discussion animée sur la question de la censure dans les média.
Certains des interlocuteurs expliquent cet état de fait en raison du réflexe d'autocensure animant la plupart des journalisme (esprit moutonnier, manque de culture) alors que d'autres soutiennent que les grands organes d'information sont, à des degrés divers, directement contrôlés par des réseaux d'influence (états, lobbies).