Pour comprendre l'oeuvre de Karl Marx. Avec Francis Cousin sur Meta TV.


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08.01.2015

Francis Cousin, animateur d'un cabinet de philo-analyse, nous présente ses travaux portant principalement sur l'étude de l’œuvre de Karl Marx dans une perspective radicale et révolutionnaire, à l'opposé de la majorité de ceux qui s'en réclament encore.
Il insiste particulièrement sur les vues que Marx revendiquaient sur l'état et l'argent, formes nécecessaires à la perpétuation de la société marchande, à l'opposé des communautés de l'êtres où le fétichisme de la marchandise n'avait pas encore fait son oeuvre.
Un auteur méconnu et une vision iconoclaste des écrits de Karl Marx à découvrir !

Les aventures du sujet moderne : société marchande et narcissisme. Séminaire d'Anselm Jappe à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales.


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2014

La société contemporaine apparaît dominée par ce que Marx a appelé le "fétichisme de la marchandise".
Mais on y observe aussi une montée du narcissisme au sens de Freud : les individus ne connaissent qu’eux-mêmes et nient la réalité extérieure.
Y-a-t-il un lien entre ces deux phénomènes ? Le narcissisme est-il le côté subjectif du fétichisme ? On y trouve toujours le vide, la négation du monde extérieur dans sa multiplicité, la reductio ad unum.
On propose ici un retour sur la naissance historique du sujet moderne dans son opposition au monde et sur le rôle du "travail abstrait" qui se représente dans la valeur marchande, ainsi que sur la dimension anthropologique et psychanalytique du problème - jusqu’aux formes extrêmes de narcissisme que sont la destructivité et la violence aveugle.

Remarque : les cours n°01, 03 et 20 n'ont pas été enregistrés.

À partir de Marx. Avec Francis Cousin à Nancy.


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21.06.2014

Pour une compréhension radicale de la crise du capital et pour l’abolition révolutionnaire de l’économie et de la politique, Francis Cousin rappelle le philosophe Karl Marx à la rescousse !
C'est à une lecture radicale de cet auteur - et donc anti-marxiste - que nous sommes conviés, dans une démarche réellement révolutionnaire.
Un éclairage bienvenue que nous invite à combattre de front les aliénations que sont la marchandise, le salariat, l'état et l'argent, produits du développement capitaliste.

Crédit à Mort : la décomposition du capitalisme et ses critiques. Avec Anselm Jappe pour La Vie Manifeste.


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07.06.2012

C’est à partir de la critique du fétichisme de la marchandise et de la valeur qu'Anselm Jappe cerne notre moment social-historique.
S’il s’agit bien d’une critique marxiste, celle-ci abandonne la centralité du concept de luttes de classes considérant qu’il ne peut plus suffire de changer les modes de distribution des richesses. Cela, parce que la critique de la valeur révèle une contradiction dynamique et interne au capitalisme, dont la crise ouverte en 2008 en serait l’accomplissement. Une contradiction qui conduit nécessairement le capitalisme à la diminution continue de la valeur produite. De richesse il n’y en à plus suffisamment pour relancer le capitalisme social des années 60 : un capitalisme de plein emploi, de salaires élevés et de l’école ascenseur.
Comment comprendre la constitution de la valeur à travers le concept de travail abstrait ? Et quel est le rôle de la technologie dans la diminution de la valeur ? A quoi sert le crédit et la finance dans la prolongation de l’agonie du capitalisme ?
Anselm Jappe, en plus de répondre à ces questions, propose également une critique de la culture, de la modernité et du sujet, s’appuyant sur la théorie du fétichisme de la marchandise comme structure déterminante des formes même de l’agir et de la pensée. Ce que le capitalisme emportera avec lui dans son écroulement, c’est la socialisation telle qu’elle s’est constituée depuis la révolution du capitalisme anglais de Manchester. Un écroulement susceptible de mettre à nu le "sujet automate" du capitalisme incapable de se socialiser autrement que par l’échange d’unité de valeur...

Chroniques marxiennes. 5 émissions sur France Culture.


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10.2009

Le personnage et l'oeuvre de Marx revisités par Gérard Duménil, André Tosel, Bruce Bégout, Isabelle Garo, Jean-François Kervegan, Lucien Sève et Jean-Marie Harribey.

Emission "Les nouveaux chemins de la connaissance".

La société marchande et le narcissisme. Avec Anselm Jappe sur France Culture.


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09.01.2014

La société contemporaine apparaît dominée par ce que Marx a appelé le "fétichisme de la marchandise".
Mais on y observe aussi une montée du narcissisme au sens de Freud.
La négation de la réalité extérieur et la montée en puissance de la société marchande sont les deux volets de l'analyse sociologique et psychologique que propose Anselm Jappe pour comprendre notre monde contemporain.

De l'utilité de la théorie marxienne de la valeur pour comprendre le présent. Avec Anselm Jappe à Ottawa.


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12.03.2013

La crise mondiale du crédit survenue à l’automne 2008 aurait conforté la théorie marxiste orthodoxe d’une crise tendancielle du capitalisme : ce dernier porterait en germe sa propre faillite.
Les tenants de la "critique de la valeur" ne se satisfont pas de cette théorie, pas plus qu’ils ne se réjouissent véritablement de sa récente et apparente vérification. Car ainsi que l’expose Anselm Jappe, la question théorique principale doit demeurer celle de l’émancipation sociale.
Or, jusqu’à preuve du contraire, la crise financière mondiale n’a nullement contribué à son progrès.
Cette conférence présente clairement l'histoire et les points théoriques fondamentaux du courant allemand de la critique de la valeur, développé au sein des revues "Krisis" et "Exit !" à la fin des années 1980, notamment autour de l'oeuvre de Robert Kurz, le principal fondateur de ce courant.

Après l'économie de marché. Débat entre Anselm Jappe et Bernard Friot au Festival des Libertés à Bruxelles.


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19.10.2012

La majorité des critiques économiques actuelles portent sur le néolibéralisme et la bulle financière. Et si la financiarisation de l’économie avait paradoxalement permis au modèle capitaliste de durer au-delà des limites qu’on pouvait lui prévoir ?
Dans quelle mesure peut-on penser dépasser aujourd’hui le système capitaliste ? Ne devons nous pas envisager un changement radical de paradigme économique, de système de répartition des ressources ?
Un changement qui concerne autant nos catégories de pensée que nos habitudes de comportement.