Les stratégies de la tension, hier et aujourd’hui. Avec Michel Drac et Gabriele Adinolfi en Lorraine.


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25.01.2014

En s’appuyant sur la période qui va de 1965 à 1985, pendant laquelle la rue devint le terrain d’affrontement entre l’extrême gauche, l’extrême droite et les forces de l’ordre (et appellée communément "années de plomb"), Gabriel Adinolfi et Michel Drac abordent le thème brûlant de la stratégie de la tension.

L'imprévu dans l'histoire : treize meurtres exemplaires. Avec Dominique Venner chez Emmanuel Ratier sur Radio Courtoisie.


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04.04.2012

L'histoire contemporaine, à l'image de toute l'Histoire, s'est construite sur des imprévus fulgurants.
Les meurtres politiques sont une manifestation éclatante et dramatique de ces inattendus qui changent brutalement le cours des événements. L'enjeu de ces meurtres à répétition qui décapitent un Etat ou un symbole fort est incommensurable.
Ainsi l'assassinat, en 1911, de Pierre Stolypine, Premier ministre de Nicolas II, va-t-il ouvrir la voie à la révolution bolchevique de 1917.
C'est cet événement que Dominique Venner nous raconte, au travers de sa vision de l'histoire.

L'eurasisme : politique, géopolitique et philosophie. Avec Stéphane Blanchonnet à Lyon.


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05.11.2013

L’oeuvre d’Alexandre Douguine nous invite à la fois à un dépassement des trois idées politiques caduques que sont le libéralisme, le socialisme et le fascisme, à une réflexion géopolitique sur la théorie des grands espaces et à une tentative de transposition politique de la pensée métaphysique d’Heidegger.
Ces réflexions d’un penseur majeur de la Russie contemporaine peuvent-elles et doivent-elles inspirer les nationalistes français ?

La désinformation autour de l'immigration. Par Arnaud Raffard de Brienne au Local.


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28.06.2012

La submersion migratoire qui étouffe la France et le spectacle désolant de la tiers-mondialisation de nos villes ne peut plus échapper à quiconque, et pourtant une stupéfiante passivité, un engourdissement mortel semble paralyser les Français.
De doctes personnages et leurs études nous expliquent le naturel et l’universalité dans le temps et l’espace des phénomènes migratoires qui devraient d’ailleurs, selon eux, s’intensifier encore avec les années.
Pourtant, Arnaud Raffard de Brienne affirme qu’aucune fatalité ne présidait à cette immigration massive qui n’est, bien au contraire que la résultante dramatique d’une énorme tromperie appuyée sur une désinformation intense et multiforme mise au service de l’idéologie libérale du laissez-faire, laissez-passer.
Il a fallu mentir sur les faits et les chiffres quand ils n’étaient pas dissimulés, piéger les mots et, souvent, les employer à contresens, légiférer pour faire taire les Français de souche. Statistiques inexistantes ou truquées, arguments spécieux, périphrases, vocabulaire dévoyé, néologismes opportunistes et images judicieusement choisies ont été utilisés à temps et à contretemps afin de soumettre nos compatriotes à une pensée unique forgée dans les cénacles où l’on pense à la place du peuple et souvent contre lui.
Ceci dit, impossible de taire qu’il a fallu aussi beaucoup d’égoïsme, de passivité voire de lâcheté, d’individualisme forcené et de désintérêt des Français pour leur propre destin, pour en arriver là.
Il a fallu aussi calomnier inlassablement, à défaut de les réduire au silence, les rares compatriotes clairvoyants qui percevaient les drames qu’engendrerait inévitablement une immigration incontrôlée. Procédures, censure et calomnies furent et demeurent leur lot quotidien.
Quant au peuple de France, il n’a jamais eu à s’exprimer politiquement sur ce sujet capital pour son devenir et celui de ses enfants.

Où s'arrête l'Europe ? Avec Pierre Behart et Jean-Claude Casanova à Répliques sur France Culture.


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18.01.2003

Alors que le processus d'intégration de la Turquie au sein de l'Union Européenne avance, il est bon de s'arrêter et de se poser la seule question qui compte : où s'arrête l'Europe ?
Ceci nous conduit évidemment à nous intéroger sur la nature et le devenir de l'Europe et de la construction politique qu'est l'Union Européenne.

Les racines de l'Europe. Avec Rémi Brague et Dominique Urvoy à Répliques sur France Culture.


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28.06.2008

Les deux invités de l'émission débattent des racines culturelles et religieuses de l’Europe, suite à la polémique liée à la parution du livre "Aristote au Mont-Saint-Michel" de Sylvain Gouguenheim.

Comment sortir de la catastrophe ? Avec Slavoj Zizek au Theâtre des Idées du Festival d'Avignon.


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11.07.2011

De la crise financière à l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, la société du risque est devenue le modèle de notre monde contemporain sans cesse menacé d'effondrement écologique, économique ou politique.
Comment échapper à la fois à la catastrophe et au catastrophisme ? Quelles alternatives collectives construire pour faire face à cette crise de l'avenir ?
Slavoj Zizek analyse les différentes façons d'appréhender la crise du capitalisme. Car les quatre cavaliers de l'Apocalypse (désastre écologique, révolution biogénétique, marchandisation démesurée et tensions sociales) sont, selon lui, en train de le décimer.
Face à cette situation catastrophique, quatre attitudes semblent s'imposer : le déni (l'idée que la misère ou les cataclysmes, "cela ne peut pas m'arriver"), le marchandage ("laissez-moi le temps de voir mes enfants diplômés"), la dépression ("je vais mourir, pourquoi me préoccuper de quoi que ce soit") et l'acceptation ("je n'y peux rien, autant m'y préparer").
Or, il est possible de sortir collectivement de cette mondialisation malheureuse.

Cette étrange idée du Beau. Avec François Jullien questionné par Jean-Jacques Melloul à Citéphilo.


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21.11.2012

Quelles que soient ses critères ou les variations dans la manière de le concevoir, il y a en occident un "impérialisme" du Beau auquel la création, l’oeuvre ou la réception se soumettent.
On peut faire l’archéologie de cet impérialisme pour en dégager les partis pris théoriques et travailler l’écart avec la pensée chinoise qui, elle, n’a pas isolé ou abstrait le Beau.
D’autres possibles s’ouvrent alors, donnant un accès différent à l’art, particulièrement par la médiation de l’art contemporain.