L'Etat comme facteur principal du maintien de la paix. Avec John Laughland au Cercle Aristote.


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07.10.2013

John Laughland nous parle du rôle de l'Etat dans le maintien de la paix dans les relations internationales et de la manière dont on veut ignorer et faire disparaître ces acteurs par idéologie de substitution des organisations internationales.

Progrès technique et répression sociale. Avec Herbert Marcuse au Club 44 à La Chaux-de-Fond.


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10.05.1962

Le philosophe et sociologue Herbert Marcuse s'intéresse ici aux tendances lourdes des sociétés contemporaines que sont principalement caractérisée par leur technicisme : il cherche ainsi à établir les liens entre la technique, l’homme et la nature.
Pour Herbert Marcuse, la société contemporaine se soumet aux règles de la libéralisation économique et d’une administration de plus en plus totalitaire. Cependant son avenir dépend surtout du devenir de l'appareil technologique.
Deux tendances contraires sont alors analysées : l’abolition ou la perpétuation du travail pénible. En effet, la défense contre tout ennemi extérieur, l’accélération du progrès technique, une productivité toujours plus grande et une augmentation du niveau de vie mènent, par souci de contrôle de l’individu, à la répression sociale par un travail pénible. Herbert Marcuse poursuit sa démonstration philosophique en discutant la théorie freudienne de la civilisation.
Aurons-nous la capacité de modifier la structure de la société afin de reconstruire un monde qui se rapproche de la rationalité et de la liberté ?

La loi du 3 janvier 1973. Avec Pierre-Yves Rougeyron et André-Jacques Holbecq sur Radio Ici et Maintenant.


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27.03.2013

En 1973, chaque français était endetté à hauteur de 808 euros par personne. En 2012, cette dette était déjà d'environ 26 108 euros par personne, soit 32 fois plus. Que s'est-il passé ?
Pendant la campagne présidentielle de 2012, quatre candidats (Jacques Cheminade, Nicolas Dupont-Aignan, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon) totalisant 30 % des suffrages exprimés ont avancé une explication : l'État français pouvait pour réaliser ses grands travaux, utiliser sa monnaie à travers sa Banque centrale, mais il aurait perdu cette possibilité par une loi votée le 3 janvier 1973.
À partir de là, l'État se serait endetté auprès de banques privées, payant des intérêts pharaoniques qui laisseraient aujourd'hui nos finances exsangues pour menacer le patrimoine des Français et leur indépendance.
Pierre-Yves Rougeyron a pris l'initiative de retrouver les témoins et participants encore vivants de l'élaboration de cette loi pour comprendre leurs motivations. Il a voulu vérifier si cette loi a bien eu les effets qu'on lui prête...

Pierre-Yves Rougeyron : grand entretien pour le Bréviaire des Patriotes.


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02.2015

Le Bréviaire des patriotes nous propose son grand entretien mensuel en compagnie de Pierre-Yves Rougeyron, dans le but de décrypter l’actualité (tant française qu'internationale).
D'Hollande et l’arme atomique aux attaques de Manuel Valls contre Michel Onfray en passant par l'affaire Alstom et l'assassinat de Boris Nemtsov à Moscou, Pierre-Yves Rougeyron décripte les points chauds du moment.

La grande dévalorisation. Avec Ernst Lohoff et Norbert Trenkle à Paris.


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30.05.2014

Suite à la sortie de leur ouvrage "La Grande dévalorisation. Pourquoi la spéculation et la dette de l'Etat ne sont pas les causes de la crise", Ernst Lohoff et Norbert Trenkle se prêtent au jeu des questions/réponses afin de préciser leurs positions théoriques au sein du mouvement de la critique de la valeur.
 1. Les divergences avec Moishe Postone
 2. Les divergences avec Robert Kurz dans son double article "La substance du capital"
 3. Concept et crise du capital fictif
 4. Perspectives politiques, transformation sociale et postcapitalisme (distinction entre valeur d’usage et richesse sensible matérielle)

Vive la faillite ! Avec Michel Drac chez E&R Alsace à Strasbourg.


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30.11.2014

Alors que le contexte économique international semble toujours plus incertain, il est intéressant de s'interroger sur la place que la France occupe au sein de l'économie-monde, avec ses avantages et ses faiblesses.
Après avoir livré un état des lieux, Michel Drac tente d'imaginer les scénarii d'évolution possibles et leurs conséquences les plus plausibles, sans oublier qu'elles seront grandement conditionnées par des ruptures qui ne sont pas prédictibles.
En effet, les tendances économiques lourdes, tout comme les psychologies collectives, suivent des évolutions relativement linéaires. Ce n'est pas le cas des comportement des classes dirigeantes, qui conditionnent pour une part non négligeables le déroulement de notre futur, et qui restent très difficiles à anticiper.
Un exposé magistral pour comprendre la marche de nos économies.

Néolibéralisme(s). Avec Serge Audier sur France Culture.


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03.03.2012

Pour beaucoup, le néo-libéralisme constitue le phénomène majeur de notre temps. C’est lui qui donnerait la clé de la crise économique et financière, des nouvelles formes de management, ou encore de la "privatisation du monde". Il est pourtant difficile d’y voir clair à travers cette notion. Le néo-libéralisme, est-ce le "laisser-faire" ou bien l’avènement d’un Etat fort au service de la concurrence ? S’agit-il d’un modèle hyper-individualiste et libertaire, ou bien d’un nouveau conservatisme normalisateur ?
Pour s’y retrouver, Serge Audier nous propose une généalogie internationale des idées néo-libérales depuis les années 1930, à travers ces moments que furent le Colloque Walter Lippmann (1938) et la Société du Mont Pèlerin (1947). Il montre comment la crise du libéralisme, après le krach de Wall Street, a entraîné des révisions et des réaffirmations doctrinales visant à sauver les idées libérales. Mais, loin de toute vision complotiste et linéaire, il soutient aussi que la redéfinition du libéralisme a fait l’objet de conflits féroces entre ceux que l’on appellera les "néolibéraux".
Sur cette base sont établies des distinctions historiques et conceptuelles entre des mouvements que l’on confond trop souvent : le conservatisme, le néoconservatisme, le libertarisme et le néolibéralisme.
Emission "La suite dans les idées".

Et le marché devint roi. Avec Olivier Pétré-Grenouilleau à Nantes.


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28.10.2013

Du Nouveau Testament aux philosophes de la Renaissance et jusqu'aux économistes du début du XXe siècle, Olivier Pétré-Grenouilleau retrace plus de deux mille ans de discours contradictoires sur la légitimité du marché et dessine en même temps l'histoire du capitalisme.
De quoi alimenter le débat sur ce que peuvent et doivent faire les gouvernements à une époque où l’économie mondialisée semble imposer à tous sa loi – ou son absence de loi.