Le "poison allemand" est celui que la politique du gouvernement Merkel diffuse dans l’économie de ses voisins. Un poison asphyxiant qui condamne ceux-ci à la misère, au chaos social et politique.
Dans cette conférence, Jean-Luc Mélenchon appelle à assumer une confrontation franche des points de vue avec l’Allemagne actuelle pour stopper la marche au chaos en cours. Le but est de percer le blindage des béatitudes de tant de commentateurs fascinés par l’Allemagne.
Terre et Famille est une association qui a pour objet de faire grandir le bagage culturel des participants en restaurant l’esprit médiéval hérité de la France chrétienne. Ce projet est parfaitement résumé par l'énoncé "S'enraciner pour s'élever".
Pierre Magnard, dans cette conférence inaugurale, nous livre une réflexion sur ce qui relie l'homme à la terre, à sa terre.
Puissons-nous entendre ce message, reconquérir nos âmes de paysans et devenir ce que nous sommes vraiment.
Voici une occasion de découvrir la voix de l'un des penseurs les plus visionnaires du XXe siècle : celle d’André Gorz, un des pères de l’écologie.
Également considéré comme l’un des premiers théoriciens de la décroissance, André Gorz a esquissé de nouvelles perspectives sur la place du travail dans nos vies et la relation entre écologie et travail, remettant l’homme au centre d’une éthique du temps libéré et non le profit.
Un entretien mené par Marie-France Azar pour l'émission "A voix nue".
Un nombre croissant d’auteurs, de scientifiques et d’institutions annoncent la fin imminente de la civilisation industrielle telle qu’elle s’est constituée depuis plus de deux siècles. Pourquoi est-il devenu si difficile d’éviter un tel scénario ?
En évitant toute posture pessimiste ou optimiste, Pablo Servigne décortique les ressorts d’un possible effondrement et propose un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet fort inconfortable.
L’effondrement est-il l’horizon de notre génération ? Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer et à vivre…
Depuis une trentaine d'années, les grands projets technologiques suscitent des critiques croissantes et de nombreux conflits. Le rapport des sociétés au "progrès" et aux techniques semble basculer, alors que la collusion entre capitalisme et science met chaque jour un peu plus en péril l'équilibre écologique de notre planète.
Pourtant, les critiques des trajectoires technologiques n'ont rien d'inédites, elles n'ont cessé d'accompagner et de modeler les sociétés industrielles.
Du XVIIIe siècle à nos jours, le langage pour dire le refus des techniques a évolué en permanence, les raisons de craindre la prolifération des artefacts se sont modifiées sans cesse au fur et à mesure des transformations des régimes de production et des milieux techniques. Il ne s'agit ni de dresser une galerie de portraits des prophètes incompris, ni de rechercher dans le passé des justifications aux inquiétudes d'aujourd'hui. L'enjeu est de montrer l'historicité des attitudes de refus face à la technique, par-delà les répressions et les disqualifications qui n'ont cessé de les accompagner, jusqu'à les rendre invisibles.
"Vous voulez un monde dont la température augmente de plus de 2°C, vous aurez la guerre. C'est comme ça que se pose l'équation. Moi je pense que la guerre va arriver.Et vous comprendrez pourquoi : j'en veux tant aux écologistes bon teint qui pensent qu'il est urgent de dépenser nos milliards dans les panneaux solaires, parce que c'est la meilleure preuve qui soit qu'on ne croit pas aux problèmes.
Si vous croyez vraiment qu'on est en train de risquer la guerre, vous ne commencez pas par mettre vos milliards dans un truc qui ne sert à rien. Vous commencez par les dépenser dans un truc qui va servir à éviter ce qui va causer la guerre.
Et entre vous et moi, entre l'insurrection généralisée dans tous les pays limitrophes de l'Europe et les conséquences chez nous, et le fait qu'une fois tous les vingt ans on évacue 100'000 personnes parce qu'on n'est pas foutu de gérer nos centrales nucléaires, je préfère très nettement la deuxième option, y compris pour moi. Je préfère très nettement être évacué une fois tous les vingt ans plutôt que nos enfants vivent dans un pays en guerre." Jean-Marc Jancovici
Francis Cousin, bien connu pour ses prises de position radicales contre la dictature du fétichisme de la marchandise, répond à nouveau à une série de questions.
Du problème de l'éduction au sein des communautés de l'être jusqu'à l'imposture de l'écologie en passant par l'aliénation du sport, c'est dans une logique révolutionnaire et sans compromission qu'il aborde ces thématiques.
Dans cet entretien où Pierre-Yves Rougeyron passe en revue l'actualité du mois d'octobre 2015, les sujets suivants sont abordés : le souverainisme et Hollande, Air France, la racialisation du débat, Philippe Verdier licencié, Hollande hué à la Courneuve, le rapport de force avec les gens du voyage, un tour d'horizon géopolitique (États-Unis, Syrie, Pologne, Allemagne, Turquie, Asie) et une réponse au droitards !