Et le marché devint roi. Avec Olivier Pétré-Grenouilleau à Nantes.


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28.10.2013

Du Nouveau Testament aux philosophes de la Renaissance et jusqu'aux économistes du début du XXe siècle, Olivier Pétré-Grenouilleau retrace plus de deux mille ans de discours contradictoires sur la légitimité du marché et dessine en même temps l'histoire du capitalisme.
De quoi alimenter le débat sur ce que peuvent et doivent faire les gouvernements à une époque où l’économie mondialisée semble imposer à tous sa loi – ou son absence de loi.

L'effacement du politique. Avec Alain de Benoist, Michel Maffesoli, Marco Tarchi et Pierre Le Vigan sur TV Libertés.


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07.02.2015

Le politique est un domaine autonome, qui a ses règles propres.
Attaqué par les feux croisés du marché et du droit, fruits du déploiement de la logique libérale, il semble de moins en moins visible.
Comment comprendre que le politique, autrefois si flamboyant dans notre tradition européenne, soit aujourd'hui réduit à peau de chagrin ?

Pierre-Yves Rougeyron : grand entretien pour le Bréviaire des Patriotes.


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01.2015

Après une longue introduction où la signification et les conséquences politiques de l'attentat contre Charlie Hebdo sont traités, Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'actualité du mois de janvier. Entre les secousses populaires dans l'Union européenne (Siriza) et la "révolte des élites" (QE de la BCE), entre les différents dossiers géopolitiques (Ukraine, Boko Haram), il reste encore quelques temps pour analyser l'actualité intellectuelle (Houellebecq, l'émission Répliques d'Alain Finkielkraut).
Une analyse bienvenue qui essaie de comprendre le sens des événements qui nous submergent.

Jérôme Kerviel, la Société Générale et l'impasse de la critique morale. Avec Frédéric Lordon chez Daniel Mermet sur France Inter.


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25.01.2008

Une émission dans laquelle Frédéric Lordon démonte le piège de la personnification d'une crise qui est d'abord le résultat d'un réarrangement des structures économiques, soit du réseau de lois et d'institutions ayant permis l'emballement financier qui s'est ensuite transformé en crise économique.

Pourquoi les intellectuels n'aiment pas le libéralisme ? Débat entre Raymond Boudon et Marc Guillaume sur Canal Académie.


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2005

Etre qualifié de "libéral" est souvent assimilé à une insulte.
Utilisé par les anglais du XVIIIe siècle pour parler de la gauche en terme peu élogieux, il désigne aujourd’hui une partie de la droite.
Pourquoi observe-t-on une attitude générale de rejet de la part des intellectuels alors que ce mouvement d’idée fut activé par de grands noms tels que Tocqueville ou Adam Smith ?
Réponses contradictoires du sociologue Raymond Boudon et de l'économiste Marc Guillaume

Le grand bond en arrière. Avec Serge Halimi chez Daniel Mermet.


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02.07.2004

Comment est-on passé à un nouveau capitalisme orienté par les seuls verdicts de la finance ?
Serge Halimi retrace l'histoire de la montée des idées "néolibérales" au XXe siècle en expliquant l'essor des idées de penseurs libéraux comme Friedrich Hayek ou Milton Friedman. Il s'attache à montrer comment leurs idées ont pu recevoir un écho dans le monde politique conservateur américain (Ronald Reagan), puis anglais (Margaret Thatcher), et par quelles médiations ces idées y sont parvenues (cercles de personnalités soigneusement sélectionnées pour en faire la promotion, financement de think tank conservateurs, grands dirigeants d'entreprises, et par la concentration des médias détenus par des capitaux privés).
Emission France Inter "Là-bas si j'y suis".

Pour comprendre l'oeuvre de Karl Marx. Avec Francis Cousin sur Meta TV.


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08.01.2015

Francis Cousin, animateur d'un cabinet de philo-analyse, nous présente ses travaux portant principalement sur l'étude de l’œuvre de Karl Marx dans une perspective radicale et révolutionnaire, à l'opposé de la majorité de ceux qui s'en réclament encore.
Il insiste particulièrement sur les vues que Marx revendiquaient sur l'état et l'argent, formes nécecessaires à la perpétuation de la société marchande, à l'opposé des communautés de l'êtres où le fétichisme de la marchandise n'avait pas encore fait son oeuvre.
Un auteur méconnu et une vision iconoclaste des écrits de Karl Marx à découvrir !

Maurice Allais et l'économie. Avec Bertrand Munier, Philippe Bourcier de Carbon et Raoul Charreton chez Paul Deheuvels sur Radio Courtoisie.


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14.03.2014

En 1988, le prix Nobel est décerné à un Français : Maurice Allais est récompensé pour ses travaux théoriques sur les marchés et l’allocation optimale des ressources. Né en 1911 à Paris, polytechnicien, Maurice Allais est représentatif de la tradition des ingénieurs-économistes qui ont fortement influencé l’économie française, surtout dans les années 60. A la fin de sa vie, il aura milité contre les excès de la mondialisation des échanges.
Convaincu que, comme en physique, l’économie obéit à des règles invariantes dans le temps et dans l’espace, il tentera de construire un modèle d’analyse global. Résolument libéral, disciple de Léon Walras et de Vilfredo Pareto, il est connu pour sa reformulation de la théorie de l’équilibre général.
Il ne dénie pour autant pas toute place à la planification économique : celle-ci peut également être un élément conduisant à une situation d’équilibre et d’efficacité maximale.
Théoricien de très haute volée, Allais aura principalement souffert de ne pas être anglo-saxon. Ses idées, notamment sur la croissance, ont souvent été reprises par d’autres.
Retour sur un géant de l'économie, volontairement écarté de l'histoire des idées économiques.