Alain Soral met ici en lumière les logiques absurdes et les ravages du capitalisme néolibéral en France.
Contre la standardisation et contre l'extension de la sphère marchande, remettons la différence à l'honneur !
Alain Soral est ici invité par David Rachline, Conseiller Municipal de Fréjus et membre de la fédération du Front National du Var.
Figure du nationalisme français, Maurice Barrès acquit rapidement une autorité intellectuelle dans les premières décennies de la 3 République. Son influence sur sa génération fut réelle, c'est pourquoi on en fit le Prince de la jeunesse.
En effet, à droite de l'échiquier politique, cette figure semble incontournable. Nénamoins, il serait erroné d'en faire un doctrinaire, tant les facettes de sa personnalité et de son champ intellectuel sont nombreuses.
Il fut un passeur, à la différence d'un Maurras chez qui on aboutissait dans l'ordre des idées.
Le barrésisme -si barrésisme il y a- est en quelque sorte "un château à plusieurs ailes et aux multiples tours (…) plutôt qu’une bâtisse construite par l’auteur suivant des plans rigoureusement ordonnés".
C'est dire la complexité de cette oeuvre littéraire et politique que décortiquent ici Olivier Dard et Michel Leymarie.
Emission "Un jour dans l'Histoire", menée par Christophe Dickès.
Ce long entretien donne l'occasion à Adrien Abauzit d'analyser en détail la dérive oligarchique des classes dirigeantes françaises, et ce dans une vision historique du destin de la France.
D'autres thèmes sont égalements abordés, comme l'immigration, les racines catholiques de la France, et le problème du déracinement.
Et si nos sociétés ne se distinguaient des totalitarismes passés que par la perfection méthodologique de l’oppression ?
C’est la plus grande mystification de l’histoire : l’Occident prétendument démocratique est devenu une dictature parfaite, le premier totalitarisme viable.
Emission animée par Wilsdorf, Jean-Louis Roumégace et Gérard Vaudan.
Adrien Abauzit nous entraîne dans les mécanismes de la ” servitude volontaire" et tente d'expliquer les mécanismes qui permettent au système de maintenir une autorité illégitime mais pourtant “consentie” par les masses.
Au delà de ces conceptions, il adresse une sévère critique à la dissidence française dite identitaire en démontrant la fausseté de leurs analyses.
Le thème de l’Islam en France est également abordé sans détour par l’auteur.