Les banques ont provoqué la crise la plus grave survenue depuis 1929.
Eric Laurent nous entraîne dans les coulisses de Wall Street et de certaines banques européennes et nous révèle les secrets les plus inavouables d'un scandale financier sans précédent : falsifications des comptes, contournement des lois, systèmes clandestins.
Un seul but : l'enrichissement des dirigeants.
Eric Laurent nous permet de mieux comprendre pourquoi les banques sont aujourd'hui les seules bénéficiaires de la crise qu'elles ont provoquée.
Cette avidité, ce cynisme ont conduit le monde au bord du gouffre. Et maintenant ?
Face à la crise interne de la zone Euro, Frédéric Lordon propose la sortie de la monnaie unique et le retour à une monnaie nationale.
Il paraît en effet impossible de transformer l'Euro actuel en une monnaie au service des peuples. L'Euro est une construction monétaire au service des intérêts des financiers et des investisseurs, et rien d'autre.
Le problème de l'Allemagne et ses principes monétaristes est également abordé : vu l'état actuel du débat politique outre-Rhin, il y aura certainement divergence sur la feuille de route à suivre pour sortir de l'impasse actuelle.
Frédéric Lordon pense enfin qu'il faut en finir avec les crispations à gauche lorsque les termes de souveraineté et de nation sont employés. La souveraineté, c'est la capacité d'une communauté humaine à contrôler son destin collectif, ni plus, ni moins. Il s'agit donc de ressaisir ces idées et de les mettre au service d'un projet progressistes.
D’abord dominée par des logiques mécaniste puis énergétique, l’économie est à présent soumise à des forces motrices qui se situent dans le champ de l’immatériel.
Doit-on alors parler de crise -d’un problème à régler pour rétablir une normalité momentanément rompue- ou d’une mutation, c’est-à-dire d’une nouvelle normalité à laquelle on doit durablement s’adapter ? Les principales approches de l’économie qui, à chaque fois, se sont déployées à la suite d'une mutation sont-elles encore pertinentes ?
L’enjeu est considérable : il ne s’agit pas de revenir aux équilibres du passé, mais de construire -et pour cela de comprendre- le monde de l’avenir.
L'Europe est en crise.
Mais quelle en est la cause ? Et quelles actions prioritaires devrions-nous entreprendre pour commencer à inverser la tendance ?
Doit-on d'abord mettre en place des lois garantissant nos modes de vie contre les revendications de populations étrangères à notre histoire (Oskar Freysinger et l'initiative contre les minarets) ? Ou doit-on pointer du doigt les réseaux sontenant les politique néolibérales destructrices de nos écnomies et appelant une telle immigration massive (travail d'Alain Soral) ?