Histoire et signification de la République en France. Avec Thomas Branthôme pour La France insoumise.


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23.02.2019

La République est un idéal, gorgé du désir d'un monde meilleur, plus juste, plus démocratique et plus égalitaire. En ce sens, elle est aussi une promesse.
Pourtant, le concept de "République" apparaît aujourd'hui vidé de son sens pour bon nombre de nos concitoyens : à force d'entendre les mêmes grandes déclarations faites d'un assemblage d'éléments de langage désincarnés, tout ceci apparaît comme de la comédie.
Il faut, pour revitaliser la République, procéder à un travail de resignification. Dire d'où elle vient, quelle est sa spécificité, ce qu'elle engage et qu'elle exige.
C'est ce à quoi s'emploie l'historien du droit Thomas Branthôme, afin que la République retrouve son sens perdu et que ceux qui s'en réclament participent à une transformation réelle du monde.

Contre le libéralisme. Avec Alain de Benoist sur Radio Courtoisie.


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12.03.2019

Une société libérale est une société où dominent la primauté de l'individu isolé, l'idéologie du progrès, l'idéologie des droits de l'homme, l'obsession de la croissance, la place disproportionnée des valeurs marchandes, l'assujettissement de l'imaginaire symbolique à l'axiomatique de l'intérêt. Le libéralisme a acquis en outre une portée mondiale depuis que la mondialisation a institué le capital en tant que réel sujet historique de la modernité. Il est à l'origine de cette mondialisation, qui n'est jamais que la transformation de la planète en un immense marché. Il inspire ce qu'on appelle aujourd'hui la "pensée unique" libérale-libertaire. Et bien entendu, comme toute idéologie dominante, il est aussi l'idéologie de la classe dominante.
Le libéralisme est une doctrine philosophique, économique et politique, et c'est comme tel qu'il doit être étudié et jugé. Le vieux clivage droite-gauche est à cet égard de peu d'utilité, puisque la gauche morale, oubliant le socialisme, s'est ralliée à la société de marché, tandis qu'une certaine droite conservatrice ne parvient toujours pas à comprendre que le capitalisme libéral détruit systématiquement tout ce qu'elle veut conserver.
Alain de Benoist nous propose d'aller à l'essentiel, au coeur de l'idéologie libérale, à partir d'une analyse critique de ses fondements, c'est-à-dire d'une anthropologie essentiellement fondée sur l'individualisme et sur l'économisme - celle de l'Homo oeconomicus.

Émission "Libre journal de la nouvelle droite", animée par Thomas Hennetier.

Pierre-Yves Rougeyron : grand entretien pour le Cercle Aristote.


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05.2019

Dans ce grand entretien, Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'actualité politique et géopolitique des mois d'avril et mai 2019.
Une analyse où les actualités nationale et internationale sont passées au crible de l'intérêt français souverain.

PARTIE 1 :
 - Notre-Dame : le fait, le symbole, la France
 - Marion Maréchal le Pen et l'échec du conservatisme français
 - un grand débat pour rien

PARTIE 2 :
 - Attentat au Sri Lanka
 - Elections européennes
 - Au revoir Juncker et santé
 - L'Algérie
 - Xinjiang chinois
 - Ukraine
 - Pourquoi les élites détestent la France ?
 - 1969, de Gaulle l'autre révolution. NB le leader de 68 est Rondeau
 - Mort de Jean-Pierre Marielle

L'avenir du conservatisme. Avec Frédéric Rouvillois aux mardis de Politique Magazine.


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13.03.2018

Alors qu'Emmanuel Macron et son mouvement "En Marche" incarnent le progressisme jusqu'à la caricature, la sortie récente du Dictionnaire du conservatisme arrive à point nommé pour organiser la résistance.
Car le conservatisme, qui évoque des hommes comme des valeurs, des moments historiques comme des institutions, des perspectives futures comme des mythes, est divers mais cohérent : à la fois éternel et actuel, pensée qui structure face au monde de l'éphémère et du relatif, opposant d'indispensables certitudes à la désagrégation moderne.

Contre le libéralisme. Avec Alain de Benoist au Cercle Pol Vandromme.


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19.03.2019

Une société libérale est une société où dominent la primauté de l'individu isolé, l'idéologie du progrès, l'idéologie des droits de l'homme, l'obsession de la croissance, la place disproportionnée des valeurs marchandes, l'assujettissement de l'imaginaire symbolique à l'axiomatique de l'intérêt. Le libéralisme a acquis en outre une portée mondiale depuis que la mondialisation a institué le capital en tant que réel sujet historique de la modernité. Il est à l'origine de cette mondialisation, qui n'est jamais que la transformation de la planète en un immense marché. Il inspire ce qu'on appelle aujourd'hui la "pensée unique" libérale-libertaire. Et bien entendu, comme toute idéologie dominante, il est aussi l'idéologie de la classe dominante.
Le libéralisme est une doctrine philosophique, économique et politique, et c'est comme tel qu'il doit être étudié et jugé. Le vieux clivage droite-gauche est à cet égard de peu d'utilité, puisque la gauche morale, oubliant le socialisme, s'est ralliée à la société de marché, tandis qu'une certaine droite conservatrice ne parvient toujours pas à comprendre que le capitalisme libéral détruit systématiquement tout ce qu'elle veut conserver.
Alain de Benoist nous propose d'aller à l'essentiel, au coeur de l'idéologie libérale, à partir d'une analyse critique de ses fondements, c'est-à-dire d'une anthropologie essentiellement fondée sur l'individualisme et sur l'économisme - celle de l'Homo oeconomicus.

Le savoir comme fin en soi. Avec Normand Baillargeon pour les Affaires universitaires du Canada.


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02.2012

Normand Baillargeon ne compte plus ses livres. Il peut maintenant ajouter à sa bibliographie un manifeste bien ficelé en faveur d'une culture générale émancipatrice et contre-doctrinaire. Mieux vaut penser un programme d'enseignement dans un sens plutôt que dans l'autre ; parce que l'éducation est une arme qui libère autant qu'elle asservit.
L'anarchiste derrière le livre le dit : la culture est un objet problématique à circonscrire, c'est un "peu de tout, mais pas n'importe quoi". Évitons surtout les erreurs qui ont été commises dans le passé ; l'école s'éloigne de son dessein lorsqu'elle fait du dogme le contenu de son instruction.
Voilà pourquoi son livre, Liliane est au lycée, sied si bien dans la collection Antidote des éditions Flammarion.

Qui sont les conservateurs ? Avec Eugénie Bastié au Café Philo de La Garde.


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14.09.2018

Alors que le mot "conservateur" était absent de notre vocabulaire, on parle de plus en plus des conservateurs français. Mais qui sont-ils vraiment ? Ne faut-il pas renoncer à des étiquettes qui n’ont peut-être plus guère de signification ?
Bien que le terme de "conservateur" semble avoir déserté le domaine politique, il est important de se rappeler que c’est un Français, Chateaubriand, qui l'a inventé au début du XIXe siècle avec son journal Le Conservateur qui fut publié de 1818 à 1820.
Qui est "réactionnaire" et qui est "conservateur" aujourd’hui ?
Eugénie Bastié, journaliste au Figaro et co-fondatrice du magazine Limite, nous présente sa conception du conservatisme en répondant aux questions de Philippe Granarolo qui l’interroge successivement sur les quatre dimensions essentielles de ce courant que sont ses formes politiques, eligieuses, sociétales et écologiques.

George Orwell, écrivain des gens ordinaires. Avec Kévin Boucaud-Victoire à la Nouvelle Action Royaliste.


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07.11.2018

Professeur de sciences économiques et sociales, journaliste et écrivain, cofondateur de la revue Le Comptoir, Kévin Boucaud-Victoire présente ici son deuxième essai, consacré à George Orwell. Auteur du célèbre 1984 qui l’a établi comme écrivain antitotalitaire, George Orwell fait aujourd’hui l’objet de maintes récupérations.
Spécialiste de l’ensemble de son œuvre, Kévin Boucaud-Victoire retrace le cheminement de la pensée de celui qui se définissait comme un anarchiste conservateur avant de se déclarer socialiste. Mais c’est un socialisme complexe dont il parlait, patriotique et révolutionnaire, rigoureusement anarchiste, méritant une ample discussion...