Soral répond sur ERFM !


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2017

Après deux ans de questions-réponses en vidéo sur ERTV, l'émission Soral répond revient sous un nouveau format sur ERFM, la radio en ligne et en continu d’Égalité & Réconciliation.
Le principe : les auditeurs qui le souhaitent posent leurs questions sur le répondeur du polémiste qui choisit ensuite les meilleures et y répond !

Que reste-t-il de la liberté de penser ? Avec Natacha Polony et Elisabeth Lévy pour les Eveilleurs d'Espérance à Versailles.


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16.01.2018

Mais que se passe-t-il au pays de Descartes et de Voltaire ? Pourquoi, sous couvert de démocratie, la liberté d'expression s'amenuise-t-elle toujours plus ?
Pour en débattre, sont rassemblées Natacha Polony, journaliste, essayiste et directrice de la chaîne Polony TV, ainsi qu'Elisabeth Lévy, journaliste, essayiste et directrice du journal Causeur.

Rebatet, Morand, Chardonne ont-ils mis de l'eau dans leur vin après-guerre ? Avec Bruno de Cessole, Gilles de Beaupte, François Bousquet, Philippe d'Hugues et Michel Déon sur Radio Courtoisie.


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14.01.2014

Une fois la Seconde guerre mondiale passée, qu'est-il resté de la réalité de l'engagement de Lucien Rebatet et Jacques Chardonne en faveur de l'Allemagne nazie d'une part, et de Paul Morand en faveur du gouvernement de Vichy d'autre part ?

Émission du "Libre Journal des enjeux actuels", animée par Arnaud Guyot-Jeannin.

Pierre-Yves Rougeyron : grand entretien pour le Cercle Aristote.


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02.2018

Pour ce grand entretien, Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'actualité politique et géopolitique de janvier 2018.
Une analyse où les actualités nationale et internationale sont passées au crible de l'intérêt français souverain.

 PARTIE 1 :
 - Actualité du Cercle Aristote
POLITIQUE INTERIEURE
 - Notre-Dame-des-Landes
 - Réforme du BAC, réforme de l'enseignement
 - L'état du souverainisme en France
 - L'obligation vaccinale
 - Harcèlement sexuel et le renversement de la charge de la preuve
 - Censure de Céline et de Maurras et épuration de la culture française
 - Le délire des Fake news

 PARTIE 2 :
POLITIQUE EXTERIEURE
 - La question Kurdes
 - Élection anticipée vénézuélienne
 - Que faire en cas d'explosion sociale en Algérie ?
 - Perspective d’une alliance militaire latine et méditerranéenne
 - La France doit-elle s’engager dans la nouvelle route de la soie ?
 - Hypothèse d'un contre axe France/Grande-Bretagne/Sud de l’Europe
 - Le retour de Berlusconi
 - Les enjeux pour la formation du gouvernement Allemand
 - L'obligation des pesticides dans le Bio
 - Macron en Chine
 - Libre-échangisme et partenariat économique UE/Japon
 - La réforme fiscale de Trump et la crise systémique à venir
 - L'avenir de l’Euro à court terme.
 - Doctrine : Chaban-Delmas
 - Disparition de Dolorès O'Riordan chanteuse de The Cranberries
 - Digression sur la sortie du film Les heures sombres consacré à Winston Churchill
 - Hommage à Daniel Lindenberg et Christian Malis

"Dernier tango à Paris" : le film interdit. Avec Jean Gili sur France Inter.


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02.03.2016

Notre époque n’est plus à la censure des tableaux et sculptures mais des films. Oui, depuis que les Frères Lumière ont inventé le cinématographe, les pouvoirs, quels qu’ils soient, ont toujours pensé à limiter cette magie en la contrôlant. Tous les grands réalisateurs ont eu la chance de recevoir un jour un courrier des censeurs leur annonçant que telle ou telle scène n’était pas acceptable aux yeux de la loi. Alors c’est selon… Selon la période, le scandale change de nom, de rite, et de forme. En 1966 par exemple, c’est La Religieuse de Jacques Rivette que le pouvoir gaulliste, sous commandement de l’Eglise, refuse de montrer au public pendant plus d’un an. Aujourd’hui, la censure tombe sur des films divers. On interdit au moins de 18 ans Love de Gaspard Noé parce que des corps s’enlacent, ou le documentaire Salafistes parce qu’on y rencontre des terroristes.
Mais censurer, interdire, limiter, ce n’est rien d’autre que mettre un voile sur une angoisse…
En 1972, déjà, c’est la guerre et les corps qui étaient dans la mire des censeurs. On interdit Avoir 20 ans dans les Aurès de René Vauthier, mais aussi le Dernier tango à Paris qu’on cache aux moins de 18 ans. En Italie, la censure ira jusqu’à condamner le film à la destruction par les flammes… Autodafé pour le 7e art. Mais enfin, De quoi ce film était-il coupable ? D’oser le choc des corps, de filmer des scènes de sexe violentes, dominantes, consenties ou non, entre un homme et une jeune femme.
Interdit, coupé et détruit, Le Dernier tango à Paris est à la fois un succès auprès de la critique et des spectateurs et un film pestiféré.
Nous retournons sur les pas de ce film, aux côtés des acteurs du Dernier tango, des critiques et des spectateurs, qui ont encensé ou non ce film, mais aussi auprès du réalisateur Bernardo Bertolucci.

Émission "Affaires sensibles", animée par Fabrice Drouelle.

Médias, mensonges et propagande. Avec Pierre de Brague et Dimitri Korias chez E&R à Nantes.


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08.04.2017

Les médias dominants salissent votre esprit ? Chaque mois, Pierre de Brague et Dimitri Korias nettoient l'actualité pour la rendre plus propre sur l'émission de radio ERFM "On nettoie l'info".
Et c'est fort de cette expérience que les deux acolytes nous introduisent aux enjeux liés au contrôle et à la distribution de l'information en France.
Aspects économiques, poids de l'idéologie dominante, fonctionnement de l'autocensure : tous ces paramètres sont analysés afin de nous permettre de comprendre comment le système médiatique fonctionne.

Le sort des auteurs ayant créé sous l'Occupation. Avec Jacques Boncompain sur Radio Courtoisie.


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14.12.2016

Après l'épuration sauvage ou officieuse, le général de Gaulle, par décret du 30 mai 1945, afin de mettre un peu d'ordre au milieu de la confusion, institua une Commission nationale d'épuration qui centralisa enquêtes et jugements déjà rendus, et décida en dernier ressort. Plus de 2500 dossiers furent constitués, avec des issues très différentes selon les cas examinés.
Comment l'arsenal répressif de l'occupant a-t-il fonctionné durant l'occupation ? Et pourquoi certains auteurs ont-ils continué de créer alors que d'autres se sont abstenus ? Qu'en est-il de la reconnaissance du principe de la responsabilité des intellectuels durant cette période ?

Émission du "Libre journal de la crise", animé par Laurent Artur du Plessis.

Baise-moi, de Virginie Despentes : déflagration littéraire, scandale cinématographique. Avec Catherine Breillat et Sylvain Broumeau sur France Inter.


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13.07.2016

En 1994, elle publie ce premier roman au titre pour le moins accrocheur. Le public découvre alors cette jeune romancière au style hard et singulier. Les thèmes du livre : ultra-violence et sexe sans détour, cru diront certains. En tout cas, une écrivaine est née. Au rythme des interviewes, les Français apprennent à connaître cette jeune femme, très vite cataloguée de rebelle et punk, porte-voix d’une génération qui ne veut pas s'en laisser compter par le politiquement correct qui devient un principe dans le courant des années 90, comme une sorte de retour à un ordre moral qui ne veut pas dire son nom et qui aujourd'hui impose sa loi.
Quelques années après, en 2000, Virginie Despentes décide de réaliser elle-même l’adaptation cinématographique de ce premier roman. La caméra supplée le verbe, mais la radicalité reste la même. Scènes de sexe non simulées, assassinats sommaires et flot d’hémoglobine. Les images en choquent plus d’un. Le film est classé X et interdit de projection.
Ce scandale soulève, sur la place publique, la question du cinéma pornographique. À un point tel que la justice est saisie et la loi modifiée.
Alors, que montre et que dit ce film ? Pourquoi le roman a-t-il pu être publié et le film interdit ? Que nous dit cette affaire des rapports entre l’art et la représentation du sexe et de la mort ? Que nous dit-elle aussi de la censure en France ?

Émission "Affaires sensibles", animée par Fabrice Drouelle.