Abstraction faite des toutes dernières minutes consacrées à nos amis les extra-terrestres, cette émission présente, dans les moindres détails, le scénario ayant mené à l'assassinat du 35e président des Etats-Unis d'Amérique, John Fitzgerald Kennedy.
Un document important pour comprendre les enjeux de politique intérieure de la première puissance mondiale dans la période d'après-guerre.
Passage en revue de la période des années de plomb en Italie, avec un de ses acteurs, Gabriele Adinolfi.
La réflexion s'oriente sur le sens à donner à ces événements, autant dans la compréhension des grands bouleversements de la deuxième partie du XXe siècle en Europe que dans le déchiffrage des stratégies de la tension aujourd'hui à l'oeuvre.
Peter Dale Scott, universitaire canadien, professeur émérite de Littérature anglaise à l'Université de Berkeley, Californie, décrit avec précision la façon dont, depuis les années 1960, les choix en matière de politique étrangère états-unienne ont conduit à la mise en œuvre d’activités criminelles, et à leur dissimulation, tantôt partielle parfois totale.
Il montre comment l’expansion de l’Empire américain depuis la seconde guerre mondiale a conduit à des processus de décisions iniques et dangereuses dans le plus grand des secrets, souvent à l’insu des responsables démocratiquement élus : c'est la mise en place d'un "état profond".
À leur pays déjà surendetté et en déclin, les chefs d’État français ajoutent les guerres.
Afrique noire, Palestine, Yougoslavie, Irak, Afghanistan, pays du Caucase et du Maghreb, Iran… De François Mitterrand à François Hollande, les dirigeants de l’État français pactisent en secret avec des organisations terroristes pour engager la France dans les guerres planifiées et commandées par Washington.
Jean-Loup Izambert nous fait part de cette enquête sans compromis qu'il a menée sur les coulisses des guerres contre la Libye et la République Arabe Syrienne, riche en révélations surprenantes, en documents inédits et en témoignages accablants.
Il met ainsi à jour le puzzle de vingt années de complicités criminelles contre le monde arabo-perse, l’Eurasie et l’Afrique.
Laurent Glauzy s’interroge sur l’implication de la CIA qui, dans l’ombre, participerait à un programme militaire lié à une technologie des OVNIS. Il s’agirait d’un environnement énigmatique autour duquel s’articuleraient de puissants groupes "supra-gouvernementaux" et maçonniques.
Tendons-nous alors vers une religion mondialiste et "syncrétiste" établie sur les dogmes de l’ufologie ?
Entretien réalisé par Gérard Marin.
Si le grand public connaît les noms des syndicats des autres salariés, des étudiants et du patronat, si chacun sait ce que recouvrent les sigles CGT, UNEF, MEDEF, qui peut dire comment les journalistes sont organisés ? Qui a entendu une déclaration d’un de leurs syndicats quand un grand reporter est enlevé ou tué ou licencié, ou contraint par l’actionnaire principal de jeter son papier dans la corbeille ?
Un usurpateur s’est substitué à eux, un coucou a pondu un oeuf dans leur nid, un intrus y est né, y a grossi démesurément. Il s’appelle Reporters Sans Frontières, aberration génétique dont le bec s’ouvre sur un estomac insatiable qui engloutit argent des contribuables français et européens, dons de richissimes sponsors privés, contributions d’anonymes compatissants et, plus discrètement, les billets verts de l’Oncle Sam qui n’a jamais confondu organisation humanitaire et relais médiatique de sa politique guerrière.
Parce que Reporters sans frontières ne répugne pas à propager des fausses nouvelles utiles à l’Empire, parce qu’elle s’évertue à minimiser les crimes de l’US Army contre les grands reporters, parce qu’elle revendique son mutisme sur les effets pervers de la concentration de la presse dans les mains des puissances financières, parce qu’elle dirige l’essentiel de ses tirs idéologiques sur les plus faibles, elle n’aide ni ne protège les journalistes, elle participe à la déconsidération dont ils souffrent. Elle les met en danger.
En s’appuyant sur la période qui va de 1965 à 1985, pendant laquelle la rue devint le terrain d’affrontement entre l’extrême gauche, l’extrême droite et les forces de l’ordre (et appellée communément "années de plomb"), Gabriel Adinolfi et Michel Drac abordent le thème brûlant de la stratégie de la tension.