Du pacte germano-soviétique à Barbarossa. Avec Dominique Venner et Philippe Conrad chez Bernard Lugan sur Radio Courtoisie.


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05.09.2001

Dans le cadre du "Libre journal de Serge de Beketch", les trois compères Bernard Lugan, Philippe Conrad et Dominique Venner évoquent l'un des points majeurs de la seconde guerre mondiale, à savoir les relations conflictuelles entre l'Allemagne et l'URSS, du pacte germano-soviétique à l'opération Barbarossa.

L'Europe de Bruxelles survivra-t-elle à la crise grecque ? Avec Roland Hureaux au Cercle Aristote.


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2010

La crise grecque illustre la fragilité de l'euro. Malgré les efforts de colmatage, il n'est pas sûr que la monnaie unique résiste au choc. Et après ? L'édifice européen tout entier risque de s'en trouver fragilisé. Avec quelles conséquences ?

Comment fonctionne l'Union européenne ? Avec Valerie Bugault à l'Université d'Evryle.


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02.2015

Valérie Bugault, avocate spécialisée en fiscalité internationale et militante à l'UPR, nous présente une double conférence où est exposé le fonctionnement des institutions de l'Union européenne.

Conférence n°1 : les institutions de l'UE
 1. Comparaison de la répartition et de l'exercice des pouvoirs exécutif, juridictionnel et législatif dans la Ve République française et dans l'UE
 2. Analyse juridique et géopolitique des pouvoirs "fédéralistes" spécifiques à l’UE : l’organisation régionale et le pouvoir financier
 3. Détails des processus décisionnels au sein de l’UE

Conférence n°2 : les grandes tendances de l’UE
 1. La liberté professionnelle
 2. La liberté de circulation des marchandises
 3. La liberté de circulation des capitaux et son corrolaire, l’organisation des paradis fiscaux
 4. L’assujettissement militaire à l’OTAN et ses conséquences pour la France

Les guerres franco-allemandes au service de l'empire. Avec Yves Caron pour E&R.


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01.2016

Le professeur Yves Caron, né dans la Somme entre les deux Grandes Guerres, est originaire d'un lieu façonné par sa géographie et son histoire. Durement touchée par le conflit franco-prussien de 1870 d’abord, par la Première Guerre mondiale ensuite, sa terre natale est parsemée de nécropoles, cimetières de la jeunesse européenne qu’il ne peut évoquer sans émotion. Ses recherches et sa carrière l’ont ensuite mené aux quatre coins de la France et ailleurs, mais c’est elle qui décida de sa vie et de son engagement.
Enfant balloté par la guerre, il ne va que très peu à l’école. Muni du seul brevet élémentaire, qui à l’époque donnait capacité d’enseignement, il devient instituteur, puis reprend en autodidacte ses études, passe son bac, obtient plusieurs licences, et soutient finalement une thèse de doctorat en histoire. Polyglotte, grand lecteur, Yves Caron a amassé une impressionnante quantité d’informations, puisées à différentes sources, qui l’ont mené à une certitude qu’un impérieux besoin de justice a transformée en combat : la réhabilitation de ceux qu’il appelle "nos cousins germains". Qui sont les véritables responsables du déclenchement des trois guerres qui nous ont opposés à eux ? La guerre de 14, "d’où vient tout le mal", était-elle évitable ? Quels en étaient réellement les enjeux ? Après avoir brossé le tableau des relations internationales d’alors, en particulier entre les grandes puissances de l’époque – France, Allemagne, Grande-Bretagne et Russie –, le professeur Caron nous rappelle que le terrain de leurs rivalités était en réalité bien plus grand que celui de la seule Europe. C’est en Afrique et dans la péninsule arabique que les plus importantes luttes impérialistes se jouaient. C’est là que se nouèrent pendant la Première Guerre mondiale, sur la dépouille de l’Empire ottoman, les drames qui sont la cause, aujourd’hui encore, des innombrables conflits qui émaillent la région. Déclaration Balfour, Traité de Versailles, cette guerre s’acheva en semant les graines de la suivante.
De même que deux générations de Français avaient été élevés dans la haine de leurs voisins avant la première Grande Guerre, on prépara les esprits pour la Seconde. La propagande américaine disposait pour cela d’une formidable machine : Hollywood. Une fois de plus, on attisa les foules pour les faire consentir au sacrifice suprême. Mais ceux qui ont vécu là, ceux qui ont vu, lorsqu’on les laisse parler, racontent parfois une tout autre histoire. Chercheur de vérité, le professeur a quitté ses livres et est allé dans les villages questionner ceux que l’on a fait taire ; criant dans le désert, résistant à sa manière, il veut faire entendre leurs voix devenues muettes.
Indigné par tous les silences de l’histoire – cette mythologie des vainqueurs – le professeur Caron nous rappelle aussi le martyre des Allemands. Ceux de la Volga d’abord, communauté piégée au sein de l’Union soviétique, considérée comme ennemie et déportée en août 41 en Sibérie. Mais le centre de ses intérêts, tellement tabou qu’il ne put trouver un professeur prêt à l’accepter comme sujet pour sa thèse de doctorat, concerne le calvaire des Allemands de Prusse orientale, Poméranie et Silésie, victimes de ce qu’il considère comme l’un des plus grands génocides de l’histoire. Le nettoyage ethnique de ces terres, planifié lors de la conférence de Yalta en janvier 45, fut mis en œuvre par l’Armée rouge. Beaucoup furent massacrés, les plus chanceux réussirent à fuir vers l’ouest, les autres furent déportés, les femmes violées, les maison pillées. Cette épuration, qui visait à vider ces régions de ses habitants pour les offrir aux Polonais, aux Russes et aux Tchèques, fut entérinée par les accords de Potsdam en 46. Seize millions d’Allemands en furent victimes. Seize millions, dont trois millions périrent et dont plus personne ne parle aujourd’hui.
Oubliés, comme ont été oubliées les victimes allemandes des troupes françaises et américaines après la Libération. Oubliés, comme ont été oubliées les victimes françaises de l’épuration. Ce sont tous ces oubliés, morts une seconde fois de ne pas exister dans nos mémoires, qui donnent à ce professeur si attachant la force de témoigner encore de ce qu’il a vu, de ce qu’il a entendu, de ce qu’il a compris. Entouré de ses 30'000 livres, vibrant à l’évocation de ses souvenirs, érudit et tellement sincère dans ses indignations comme dans ses attendrissements, le professeur Caron est lui-même un livre vivant, que nous avons l'honneur d'écouter.

Impostures politiques. Avec Marie-France Garaud sur Radio Courtoisie.


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03.03.2015

Henri Fouquereau reçoit dans son "Libre Journal de la France Libre" la piquante et trop rare Marie-France Garaud.
L'occasion d’écouter cette grande dame de la vie politique de la 5e République nous conter de savoureuses anecdotes, et mettre sur la table le sujet de la perte de souveraineté de la nation française, réduisant le rôle des parlementaires, ministres et Président de la République à celui de simples exécutants de décisions prises ailleurs, par des oligarques non élus au sein des instances de l'Union européenne.
Quel malheur que des responsables politiques de ce calibre n'existent plus... Revenez, Marie-France !

Retour sur l'affaire Pétain. Avec Adrien Abauzit sur Meta TV.


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04.03.2016

L'affaire Pétain n'a pas finit d'agiter les consciences des uns et des autres, et le rôle définitif que le Maréchal français a joué pendant la Seconde Guerre mondiale reste à définir.
Qui se souvient qu'il fut l'initiateur de la création de l'armée d'Afrique qui deviendra ensuite -pour partie- l'armée française engagée à la libération ?
Adrien Abauzit, en défenseur de la mémoire de Pétain, rappelle son rôle ainsi que celui de Weygand ou Darlan et tente, au travers des nombreuses informations délivrées, une réhabilitation historique en bonne et due forme !

Les grands empires d'aujourd'hui. Avec Jean-Michel Quatrepoint aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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16.09.2014

États-Unis, Chine, Allemagne : trois pays, trois empires qui dominent désormais l'économie mondiale. Les grandes crises rebattent toujours les cartes, renforcent les uns, affaiblissent les autres. Celle que nous vivons, depuis la faillite de Lehman Brothers, ne déroge pas à la règle. 
La Chine poursuit méthodiquement sa longue marche pour redevenir la première puissance mondiale qu'elle était au XVIIIe siècle, avant la première révolution industrielle. 
Les États-Unis ont pris conscience qu'une alliance privilégiée avec la Chine risquait d'être un marché de dupes. Pour maintenir leur rang, il leur faut prendre le virage de la troisième révolution industrielle, investir, innover, reconstruire leur appareil de production, et, à l'international, fédérer les voisins de la Chine -du Japon au Vietnam- inquiets de sa montée en puissance. 
L'Allemagne, depuis sa réunification, bâtit pas à pas une Europe allemande, consacrant ainsi le retour, sur la scène mondiale, de la Germanie. 
Chacun de ces empires s'appuie sur ses grandes entreprises et se voit au centre du monde. La Chine rééquilibre ses voies commerciales vers l'Europe, via la Russie. Les États-Unis poussent à des accords de libre-échange transpacifique et transatlantique, pour offrir à leurs multinationales les marchés qu'elles n'auront pas en Chine. En imposant son modèle économique, l'Allemagne a fait de l'Europe un nain politique. Elle ne veut pas avoir à choisir entre ses principaux clients, la Chine et les États-Unis. Quant à la France, elle est absente de ce nouveau kriegspiel mondial...

Une émission présentée par Patrick Péhèle.

Le poison allemand. Avec Jean-Luc Mélenchon à l'Université Populaire de Toulouse.


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15.06.2015

Le "poison allemand" est celui que la politique du gouvernement Merkel diffuse dans l’économie de ses voisins. Un poison asphyxiant qui condamne ceux-ci à la misère, au chaos social et politique.
Dans cette conférence, Jean-Luc Mélenchon appelle à assumer une confrontation franche des points de vue avec l’Allemagne actuelle pour stopper la marche au chaos en cours. Le but est de percer le blindage des béatitudes de tant de commentateurs fascinés par l’Allemagne.