L'abbé Thierry Gaudray (FSSPX) nous donne une conférence sur la position de l’Eglise catholique face à l'idéologie nazie durant la seconde guerre mondiale, position qui a été depuis quelques années la cible de diffamations et de distorsions historiques ayant contribuées à créer un certain nombre de mythes populaires (l'exemple typique étant le film Amen de Costa-Gavras).
Une émission qui revient sur le travail de l'historien Karl-Heinz Frieser, qui révolutionne l’historiographie militaire.
Il démontre en effet qu’Hitler, contrairement au mythe de la "Blitzkrieg", n’était pas prêt à entreprendre une campagne aussi rapide que le fut la victoire de 1940 contre l'armée française.
Emission "Un jour dans l'Histoire", animée par Christophe Dickès.
L’Agence Info Libre nous propose de nous replonger dans l’histoire de la création des États-Unis d’Amérique.
Comment ce peuple qui n’a qu’une histoire de deux siècles est-il parvenu à contrôler la politique internationale ? En quoi ses idées de liberté et d’égalité peuvent être considérées comme fallacieuses et iniques quand elles sont rapportées aux différents éléments de l’histoire sciemment occultés par les élites depuis la création des États-Unis ? Pourquoi ce pays est-il devenu le chantre du mondialisme, gouverné par des gens qui ne sont élus par personne mais au nom des valeurs démocratiques ?
L'amiral Darlan a été l'un des personnages clefs dans la France de la seconde guerre mondiale. Il a joué un rôle décisif depuis la signature de l'armistice jusqu'à son ralliement à la cause alliée en Afrique du Nord durant les deux derniers mois de 1942.
Son action en tant que chef du Gouvernement a donné lieu à des commentaires souvent contradictoires et insuffisamment étayés par les documents, pourtant très nombreux, qu'il a laissés.
Claude Huan nous présente le travail qu'il a mené en rassemblant pour la première fois tous les écrits personnels et les plus importantes notes gouvernementales ou de service de l'amiral Darlan, qui ont pu être retrouvées dans divers dépôts d'archives, publics ou privés.
Sur la réorganisation de la marine française dans l'entre-deux guerres, la stratégie alliée durant la drôle de guerre, le processus qui a conduit à l'armistice, la politique de collaboration et l'action du gouvernement de Vichy, l'organisation de l'Afrique du Nord en novembre-décembre 1942, mais aussi sur l'affaire du Massilia ou les rapports avec le Comte de Paris, les notes de l'Amiral de la flotte constituent une source dont on ne pourra dorénavant plus se passer lorsqu'on voudra connaître l'histoire de la période.
Émission "Les mardis de la mémoire", animée par Pierre Chaunu.
Pour ce 41e numéro de "L’Heure la plus sombre", Vincent et Xavier, en compagnie d’Anne Lucken, recevaient maître Pascal Junod pour évoquer la réédition, chez Kontre Kulture, de l’ouvrage Nuremberg de Maurice Bardèche.
Au sommaire de l’émission :
0'00'00 : Introduction
0'01'04 : Maurice Bardèche
0'03'24 : Un écrivain de talent
0'06'00 : Les premiers pas du révisionnisme
0'07'40 : L’intuition fondamentale
0'10'21 : La naissance de l’Empire du Bien
0'13'52 : Nuremberg contre le Droit
0'18'00 : L’Allemagne seule coupable ?
0'23'11 : La Pologne : le prétexte
0'26'15 : Vers la disparition des Nations
0'28'55 : Bardèche, un militant ?
0'33'30 : La France à Nuremberg
0'36'35 : Le mythe de la Résistance
0'40'25 : Les fondements d’Israël
0'46'30 : La stratégie du dédouanement
0'52'36 : Les conséquences pour Bardèche
0'56'46 : Le bannissement du révisionnisme
1'05'46 : Chaman’Jo, album Et après, "Victoire", Kontre Kulture Musique
Voici une conférence consacrée aux relations pendant la guerre entre le chef de la France libre et les communistes – tant français que soviétiques – qui révèle l’alliance secrète contractée à partir de juillet 1941 entre De Gaulle et Staline, et l’alliance privilégiée qui, à partir de novembre 1942, a uni De Gaulle et le Parti communiste français.
Nous mesurons ensuite ce que fut concrètement l’application de cette double alliance : sur le plan international, avec la caution apportée par le général De Gaulle aux projets des Soviétiques concernant le lieu d’ouverture du second front, le règlement de la question polonaise et celui du statut futur de l’Allemagne, sur le plan national, avec l’adhésion du général De Gaulle à l’épuration et la participation de deux puis de cinq ministres communistes au gouvernement.
Le règlement de la "question algérienne" est à inscrire dans cette problématique pour en comprendre pleinement le sens.
Cette série d'émissions met en scène deux soldats que la houle de l'histoire avait réunis avant de les séparer dans un naufrage.
L'un, dont la gloire militaire demeure impérissable, s'identifiait aux français.
L'autre, dont l'arme redoutable fut le Verbe, s'identifiait à la France.
L'un, dont Vigny eût immortalisé la grandeur et le sacrifice, eut pour maître le devoir.
L'autre, dont l'exemple fut suivi par des "soldats perdus" qu'il condamna, eut pour maîtresse sa conscience.
L'un fut, selon le mot de Clemenceau, toujours prêt au sacrifice personnel.
L'autre, fut, sa vie durant, animé d'une volonté impérieuse de dominer.
L'un et l'autre s'affrontèrent dans le culte d'un même amour, un amour qui obsédait l'un, lorsqu'au soir de son agonie sa voix s'était élevée, haute et claire : "La France, je n'ai jamais aimé qu'elle".
Émission du "Libre Journal des auditeurs et des musiciens" de Didier Rochard.
Dans le cadre du "Libre journal de Serge de Beketch", les trois compères Bernard Lugan, Philippe Conrad et Dominique Venner évoquent l'un des points majeurs de la seconde guerre mondiale, à savoir les relations conflictuelles entre l'Allemagne et l'URSS, du pacte germano-soviétique à l'opération Barbarossa.