L'évolution politique de la Résistance. Avec Christian Franchet d'Espèrey et André Pertuzio sur Radio Courtoisie.


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05.08.2013

Durant l'occupation allemande, la résitance était plurielle, et les raisons de s'engager fort différentes.
C'est de l'évolution politique de la résistance pendant la seconde guerre mondiale qu'André Pertuzio traite durant cette émission du "Libre Journal d'Henry de Lesquen", dirigée par Dominique Paoli.

Sur la délinquance, par Charles Robin.


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08.2014

Une analyse fouillée de la fonction, des modalités et des conséquences du phénomène de la délinquance du point de vue de la domination libérale.

Actualité de l'aliénation. Entretien de Francis Cousin avec Bhû.


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04.02.2016

De la question du militantisme au cas Theodore Kaczynski, de la doctrine Eurasiste à la philosophie de Spinoza, Francis Cousin répond aux nombreuses questions qui lui sont posées, dans un esprit radical, toujours animé par la recherche d'une conscience vraie.

Quand la gauche agonise. Avec Paul-François Paoli au Cercle Aristote.


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01.02.2016

Pourquoi la gauche a-t-elle perdu le soutien des classes populaires et celui des intellectuels ? Parce qu'elle a fait l'impasse sur ce qui constitue l'identité de la France, brutalisée par la mondialisation. La gauche ne s'est pas seulement ralliée au libéralisme, elle a adhéré à une vision post-nationale de la République qui trahit l'héritage de Clemenceau et De Gaulle.
Paul-François Paoli rappelle que la question de l'identité de la France, marquée par la tradition chrétienne et l'héritage gréco-romain, et celle de sa souveraineté sont liées.
S'il existe un peuple français, celui-ci a des droits historiques sur la France, laquelle n'est pas qu'une idée mais une terre et un pays. C'est cette réalité que certaines élites occultent alors qu'elles reconnaissent ce principe pour d'autres pays, de la Russie à Israël...
C'est à une décolonisation des esprits que nous convie Paul-François Paoli, afin que nous tous, membres du peuple françuis, puissions nous réapproprier notre souveraineté.

Science et désinformation. Avec Marc Le Menn au Cercle Aristote.


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18.01.2016

Si la désinformation est, et a été, l’arme des dictateurs pour guider le peuple, elle est aujourd’hui l’outil indispensable des démocraties pour modeler l’opinion. Pour ce faire, elles ont élevé la communication et le marketing au niveau d’un art. Désormais, communiquer c’est tenter de désinformer avec toute la subtilité qui s’impose...
L'information scientifique sensée être rigoureuse, absolue et indépendante, est tombée dans les mêmes travers, et les exemples sont multiples pour ne pas dire quotidiens. Ils font l’objet de cette conférence conduite par Marc Le Menn.

Le gallicanisme ou l'indépendance du roi de France vis-a-vis du pape. Avec Bernard Hours sur la Radio Chrétienne Francophone.


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24.09.2014

Le terme "gallicanisme" apparaît au XIXème siècle. Il décrit un courant de contestation du pouvoir du pape qui naît dès le Moyen Age.
Invité de Véronique Alzieu, Bernard Hours décrit les enjeux de l'opposition entre pouvoir temporel et spirituel.

L'Etat, le capital, l'internationalisme : leçons de Grèce. Avec Frédéric Lordon et Panagiotis Sotiris pour le collectif Penser l'émancipation à Paris.


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02.04.2015

Le dispositif austéritaire doit être brisé en Europe. Cette tâche est à l'ordre du jour. Mais elle ne l'est pas partout : aujourd'hui, le maillon faible du néolibéralisme se trouve en Grèce. Au-delà de la situation grecque, cette situation impose une réflexion et un questionnement. Comment trancher le nœud gordien eurolibéral à partir d'un seul pays (ou d'un seul groupe de pays) ? Face au capital mondialisé, la "souveraineté populaire" a-t-elle encore un sens ? Les institutions qui combattent l'austérité peuvent-elles s'incarner dans l'État tel qu'on le connaît en Europe, avec ses sédiments capitalistes et autoritaires ?
Face à ces questions, Frédéric Lordon, économiste, et Panagiotis Sotiris, philosophe et dirigeant du Front de la gauche anticapitaliste en Grèce (Antarsya), tous deux favorables à une sortie de la Grèce de la zone euro, proposent d'interroger ces trois termes, État, capital et internationalisme, au prisme des défis et des promesses que portent la résistance du peuple grec aux diktats européens et néolibéraux.

Qu'est ce que le populisme ? Avec Chantal Delsol et Dominique Reynié à Répliques sur France Culture.


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14.03.2015

Partout en Europe, les partis populistes renaissent et fleurissent, rencontrant des succès électoraux surprenants et de plus en plus souvent spectaculaires.
Mais le vocable "populiste", jamais revendiqué par ceux-la qui sont désignés sous cette étiquette, est d'abord une injure.
Est-il alors possible de donner une définition et d'analyser correctement ce phénomène contemporain qui s'est imposé dans notre paysage médiatique ?

Peut-on s’émanciper du fétichisme ? Avec Anselm Jappe à Lausanne.


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26.10.2012

Le concept marxien de "fétichisme de la marchandise" n’indique pas seulement une mystification de la conscience, un "voile". Il est également un phénomène réel : dans la société capitaliste, toute l’activité sociale se présente sous forme de valeur et marchandise, de travail abstrait et d’argent.
Mais cela veut aussi dire que les antagonismes sociaux dans la société marchande ne concernent plus l’existence même de ces catégories, mais regardent essentiellement leur distribution entre ceux qui contribuent à la création de la valeur à travers le travail abstrait.
En prendre acte met la théorie de l’émancipation sociale face à un dilemme : les "luttes de classe" au sens traditionnel, et celles de leurs substituts ("subalternes" de tout genre, femmes, populations colonisées, travailleurs précaires, etc.), apparaissent comme des conflits "immanents", qui ne portent pas au-delà de la logique de la valeur. Au moment où celle-ci semble avoir atteint ses limites historiques, ces luttes risquent souvent de se borner à la défense du status quo et à la recherche de meilleures conditions de survie pour soi-même au milieu de la crise.
Il est évident que ce dont il faudrait s’émanciper ce sont l’argent et la marchandise, le travail et la valeur, le capital et l’État en tant que tels.
Il semble cependant difficile d’attribuer cette tache à des groupes constitués par le développement de la marchandise même.
Dans les années 1960, les mouvements de protestation étaient dirigés justement contre la réussite du capitalisme, contre l’ "abondance marchande", et s’exprimaient au nom d’une autre conception de la vie.
Les luttes sociales et économiques d’aujourd’hui se caractérisent souvent par leur désir d’un capitalisme qui maintient ses promesses. Dans la problématique écologique semble se poser un peu plus la question du sens de l’ensemble, mais le manque d’une vision globale fait glisser les écologistes rapidement vers des propos de gestion alternative du capitalisme. Vouloir se débarrasser de la colonisation de nos têtes, que ce soit à travers le rejet de la publicité ou l’exploration des liens entre l’inconscient et le fétichisme marchand est assez important, mais risque de se cantonner à la sphère individuelle.
Si l’on se tient à une lecture globale et radicalement critique du présent, comme la propose la critique de la valeur, où une émancipation pourrait-elle commencer ?

L'intervention se fait dans le cadre du colloque "Penser l'émancipation", réuni à l'Université de Lausanne.


Réflexions et débats autour de la révolution anglaise. Avec Bernard Cottret sur Radio Courtoisie.


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26.09.2015

Cent trente-quatre ans avant les Etats-Unis, un siècle et demi avant la France, l'Angleterre accomplit sa révolution religieuse, politique, sociale. A mi-chemin entre la Renaissance et l'âge industriel, cet événement fut de toute première importance pour l'histoire des mondes modernes, en facilitant l'accouchement d'une société caractérisée par son régime parlementaire, son hostilité à l'arbitraire, son attachement irrévocable à la propriété privée et ses profondes réticences face aux prélèvements fiscaux. 
Dès les premières années du XVII esiècle, les frémissements de ce changement se firent sentir, et le mouvement s'amplifia avec l'avènement de Charles Ier en 1625, son exécution en 1649, le protectorat de Cromwell et, en 1660, la restauration des Stuarts dans une Grande-Bretagne profondément transformée par la conquête, encore provisoire, de l'Ecosse et de l'Irlande. 
Par son insistance sur la durée, cette approche originale renouvelle les perspectives et éclaire notre présent, au moment où l'Europe elle-même est entrée dans l'âge du soupçon. Elle permet ainsi de mieux comprendre notre voisin le plus proche et pourtant le plus dissemblable.

Emission du Libre Journal des Lycéens, animée par Hugues Sérapion.

La philo-analyse. Entretien de Francis Cousin avec Bhû.


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16.12.2015

Le terme philo-sophie provient du grec ancien philosophia qui est composé de philein (aimer, rechercher, poursuivre) et de sophia (le savoir de l’être, la sagesse des causes profondes). Il signifie littéralement le mouvement du rechercher qui, à partir du fond du cœur, tend à la vérité de l’être et il désigne l’activité du creuser critique telle que celle-ci est née au milieu du VII° siècle avant Jésus-Christ en Grèce d’Asie mineure.
La définition de la philo-sophie peut ainsi être présentée comme celle d’un savoir totalisant, articulée sur une réflexion de fond visant une interprétation globale des fondements du monde et un questionnement sur l'existence susceptible de dé-celer tous les celer qui dissimulent l’homme à lui-même.
La philo-analyse en tant qu’exploration du philein, est donc là le commencement de tous les commencements puisque c’est elle qui explore le chemin de toutes les ouvertures à la satisfaction du vrai vivre.
En tant qu’approfondissement du se rechercher dans l’amour de l’être, elle propose de comprendre les racines de l'humain en faisant ressortir la vérité historique des expériences conscientes et inconscientes qui font le réel du vécu quotidien.En tant que dé-couverte des véritables parcours objectifs de la totalité sociale qui configure pulsions et motivations, envies et aversions, craintes et joies, rêves et cauchemars, conduites et personnalités, la philo-analyse approche la souche de ce par quoi chacun se déploie typiquement tel qu’en la détermination de son soi propre.
L’essence logique de la vérité caractérise l’essence historique de l’être lui-même. C’est pour cela que la philo-analyse peut parler avec consistance de la vérité de l’essence du vivre puisque la consistance de son parler tient tout entier dans l’essence de la vérité vivante laquelle renvoie originellement à l’obligation pour se trouver de s’arracher d’abord à tout ce qui occulte la nature de l’être humain.
Par delà tous les déguisements sociaux qui ont déformé et dégradé historiquement le sens du sens, la philo-analyse expose que la question de toutes les questions ce n’est pas la nature, la logique où l’homme considérés séparément mais les trois dans leur connexité d’essence vitale. En effet, l’essence de la vérité en son authenticité originelle se ramène exclusivement au mouvement réel du développement de la vie de l’être que la philo-analyse distingue et retrouve en sa totalité en le dégageant des distorsions opérées par les connaissances infirmes qui le divisent et le morcellent.

Eschatologie : l'attente de l'Eglise, par Henri Blocher.


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1984

Les questions d'avenir, de fin des temps, de jugement et d'au-delà, sans parler d'Israël, du millénium et de l'Anti-Christ, font l'objet de nombreux débats dans le monde chrétien.
Mais ces thèmes ne sont pas seulement des sujets de controverses : ils sont aussi porteurs d'inquiétudes et d'espérances.
Henri Blocher, au travers de cette série de neuf conférences, se propose de faire le point en parcourant les données bibliques et en guidant le lecteur dans sa réflexion sur les différentes facettes de l'espérance chrétienne.